Valls met en garde contre une victoire "possible" de Le Pen en 2017

la misère politique ; c'est maintenant !

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les citoyens l'avaient mis en garde election après election perdu mais il n'a pas écouter !!!
aujourd'hui il vient donné des leçons !!!!

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Ray,
Je dirais plutôt, l'homme qui convient au pays. Malheureusement, il ou elle n'est ni à gauche, ni à droite et pas aux extrêmes. Donc, la personne qui devrait prendre les commandes du pays ne fait pas parti du paysage politique.

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Ray,
Je dirais plutôt, l'homme qui convient au pays. Malheureusement, il ou elle n'est ni à gauche, ni à droite et pas aux extrêmes. Donc, la personne qui devrait prendre les commandes du pays ne fait pas parti du paysage politique.

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le FN est passé au second tour des présidentielles sous Chirac président il me semble non ?
mais il a surtout pris du poil de la bête depuis quand Marine en a pris la tete et encore plus après l’échec de Sarko et on verra bientôt je pense de Hollande successivement .<p>le peuple les petites gens ( comme ils nous considèrent) ne votent plus pour la gauche encore moins pour la droite et les écolos alors ils cherchent un refuge .
la droite et le PS n'ont plus que leurs fidèles partisans ceux qui ont pris parti aveuglément pour l'un ou pour l'autre se disant de droite ou de gauche


chose que je ne pense pas je choisit l'homme qui convient le mieux a mes idées sans m'occuper de la droite ou la gauche ..</p>

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Une fois encore, preuve nous est apportée que la seule préoccupation des partis installés est la lutte contre le FN. (Sauf le FN, qui lui, lutte pour le pouvoir.) C’est récurrent dans tous les discours, de tous les partis. Tout le reste est secondaire, ou passé sous silence.
Par contre, aucun ne pose (ou se pose) la question : pourquoi cette montée du populisme (Ô , comme ils disent)?
Ce n’est pas l’œuvre du St Esprit. Est-ce que, depuis 40 ans au moins, l’incapacité des pseudo-z’élites , auto-proclamés comme tels, d’apporter des réponses aux problèmes des Peuples n’y est pas un peu ( ?) pour quelque chose ? Est-ce les promesses non tenues….. Est-ce les inégalités entretenues par la noblesse (les politiciens) au détriment de la plèbe ( le Peuple) n’est pas un catalyseur justifié ? Les électeurs FN (plusieurs millions - dont je ne suis pas) sont-ils des traitres à la Nation ? ou des gens tout simplement révoltés, écœurés ?
Mais, tout comme au temps des cerises, nous voici temps des promesses (qui, bien évidemment, ne seront pas tenues). Pendant 6 mois, on va nous appeler à rêver à une vie meilleure. Ce n’est que après les élections que nous allons perdre, une fois de plus, nos belles illusions. Ou du moins, des illusions de ceux qui auront voté pour eux….comme en 2012.
La montée du populisme (mis en place par Mitterrand) : à balancer de la merde avec un élastique, il faut s'attendre à en prendre dans la gueule.

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Par ailleurs le FN a été remis en selle par la gauche , par un président dont je préfère oublier le nom dans les années 80 mais qui se souvenait de ses amitiés de jeunesse et d'après et à titre de réciprocité les élus FN ont au niveau des régions et des départements votés à gauche car pour eux l'ennemi numéro 1 est la droite.
Beaucoup de spécialistes attribuent la montée du FN à des transfuges de la gauche et il ne faut pas oublier que les extrêmes se rejoignent

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Mr VALLS , comme son Président , traitant les problèmes internes à la FRANCE à l'étranger , une proposition : présentez-vous pour les prochaines élections ALLEMANDES , le vous assure que beaucoup de Français vous féliciteront.

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Manuel Valls a mis en garde jeudi à Berlin contre la victoire "possible" de Marine Le Pen à la présidentielle, quelques jours après le choc provoqué par celle de Donald Trump aux Etats-Unis, et en a profité pour se poser encore un peu plus en recours pour 2017.

Au terme d'un discours offensif à gauche sur la mondialisation et l'Europe, mûrement préparé à Matignon, le Premier ministre s'est dessiné de façon quasi transparente comme un meilleur candidat que François Hollande pour battre la présidente du Front national.

Marine Le Pen peut-elle l'emporter en 2017? interroge une personne dans l'auditoire du forum économique du Süddeutsche Zeitung. Oui, "c'est possible" répond M. Valls, disant cette fois clairement ce qu'il avait déjà laissé entendre sur la scène française.

"On s'intéresse et c'est normal à la primaire de la droite française, on attend ce qui va se passer pour la primaire du PS, mais on oublie l'essentiel: le danger que représente l'extrême droite", a-t-il averti devant son auditoire allemand. Il a toutefois assuré "ne pas tout confondre" en rappelant que Donald Trump avait pour lui le parti républicain, pilier historique de la vie politique américaine.

Interrogé sur ce que serait "le candidat idéal" pour battre la fille de Jean-Marie Le Pen, que tous les sondages placent au deuxième tour, Manuel Valls s'est permis de ne jamais citer le nom de François Hollande.

Décrivant ce candidat, il a dressé en creux son propre portrait: celui qui peut "préserver le modèle républicain", avec des valeurs "d'autorité, de sécurité, fermeté", mais également "générosité et solidarité".

L'allusion était si transparente que le Premier ministre a lui-même reconnu qu'aller plus loin en présence "de la presse française" risquait de lui valoir "des ennuis".

- 'Mondialisation au service du peuple' -

Le discours de Berlin visait à "répondre aux angoisses et aux colères des peuples" caractérisées par le phénomène Trump ou encore le Brexit, sans tomber "dans la facilité et encore moins dans la démagogie", selon le Premier ministre.

Semblant répondre aussi aux intentions de vote élevées sur sa gauche en faveur de l'ancien ministre de l'Economie Arnaud Montebourg ou de Jean-Luc Mélenchon, Manuel Valls a défendu "une mondialisation au service des peuples, au service du peuple".

Il a notamment appelé l'Europe à dire plus clairement "qui peut et ne peut pas entrer et rester sur notre sol", pour ne pas laisser cette question aux "populistes" dont "le but est de construire des murs".

En matière commerciale, il a réclamé que l'UE "sorte de l'innocence", refusant "de tout laisser faire" car "les peuples ne l'acceptent plus".

"Il n'est pas normal que quand les USA frappent un produit à 300%, l'Europe ne le fasse qu'à 20%", a-t-il lancé, jugeant encore "inacceptable" l'accord controversé de libre-échange transatlantique (TTIP ou Tafta) en cours de négociations entre l'UE et les Etats-Unis.

"Toute forme de dumping social et fiscal au sein de l’Europe est intolérable et sa suppression doit être aujourd’hui une priorité parmi les priorités", a-t-il réclamé, en critiquant à nouveau les "abus" du dispositif des travailleurs détachés.

A la veille d'un passage de François Hollande à Berlin dans le cadre de la tournée d'adieu de Barack Obama, le Premier ministre a à nouveau réclamé davantage de dépenses publiques à l'Allemagne pour relancer la croissance en Europe.

"Si l'Allemagne a attendu la France" pour mener des réformes économiques, la France désormais attend l'Allemagne" sur cette question, a-t-il lancé.

Manuel Valls a également proposé que le couple franco-allemand fasse "converger" les deux principales économies européennes, prenant acte que l'Europe à 28 n'arrivait plus à avancer sur ces questions.

"La France et l’Allemagne doivent d’autant plus montrer l’exemple, en agissant d’abord à deux avant d’entraîner les autres", a-t-il proposé, citant par exemple l'impôt sur les sociétés ou le salaire minimum.

"Je veux mettre toute mon énergie – et j’en ai à revendre ! – pour qu’ensemble, Français et Allemands et tous les Européens, nous relevions l’Europe", dans une nouvelle allusion à ses ambitions.

© 2016 AFP

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