Mort de François Chérèque, ancien secrétaire général de la CFDT

plutot que dictature du consensus ,je préfère parler de "dictature de l'appartenance ". en France c'est l'opposé .

en ce qui concerne les extrêmes , c'est selon rejet de l’extrême gauche ( Luxembourg , Liebknecht ) en début de siecle dernier et intégration de l’extrême droite pas besoin de préciser les dates

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@ Antoine,
...Il est des moyens qui ne s'excusent pas.
Et un des moyens inscrit dans la conscience allemande est la ""dictature"" du consensus. Alors est ce que le consensus est le milieu entre les extrêmes ou l'ignorance des extrêmes?

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@ Fraxinus

Merci pour ton commentaire posé et argumenté . J'avoue que mon qualificatif de c... est totalement nul mais malheureusement il est du niveau des commentaires précedents , c'est pour cela que je me suis "laché " ... a tort

en ce qui concerne l'attitude allemande ,j'ai un avis un peu plus nuancé ; dans le domaine économique elle est acceptable , par contre dans d'autres domaines nettement moins, c'est ce que A . Camus dénonce dans "lettre a un ami allemand ,1ére lettre " , j'avais conservé cet extrait dans mes résonances de lecture

"Non, vous disais-je, je ne puis croire qu’il faille tout asservir au but que l’on poursuit….." A camus

Au plaisir





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@ toutes et à tous, mais à Antoine en particulier,
Moins c.., je ne sais pas s'il faut ou si l'on peut appeler cela de la c...., mais fondamentalement une différence culturelle dans le sens manière d'être et de penser, une volonté ou une obligation de trouver une solution, un consensus, dans l'intérêt de tous ou d'un maximum.
La devise française n'est pas ou peu vécue, me semble - t-il. Mais la devise allemande qui est"" le groupe avant une partie"" domine l'esprit allemand

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robindesbois201
++..les syndicats devenus minoritaires partout se cherchent une voie de sortie....mais il faut toujours attirer des cotisants pour faire vivre des "permanents"..++
Aurais-tu réellement des illusions ? Ou tu fais semblant ?
Crois-tu réellement que les syndicats ne vivent que sur leurs cotisations ? As-tu fais le calcul de ce que leur rapportent le très faible volume de cotisants , et les dépenses faramineuses des syndicats ? ( payes des dirigeants, des salariés, investissements, ….etc)
Les syndicats ont d’autres sources de revenus , officielles et/ou occultes – subventions d’Etat, magouilles en tous genres dans les divers organismes qu’ils co-dirigent, Comités d’entreprises….. Les cotisations ne sont que la partie congrue, la valeur d’un misérable grain de sable. La chasse aux cotisations n’est pas du tout leur tasses de thé. Trop peu rentable.
Je te conseille la lecture des livres écrits sur ce sujet par R. Lenglet et J.L. Touly.

Message complété le 02/01/2017 12:41:10 par son auteur.

Cherèque : Paix à son âme. Il est parti bien jeune (60 ans)

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Mr Chérèque

Le syndicalisme allemand fonctionne pas mal. : tout a fait ;peut etre parce qu’en face de lui il y a un patronat nettement moins c....

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Bonjour à toutes et à tous,
Que François Chérèque repose en paix.
Il y aurait beaucoup à dire à propos du syndicalisme et du syndicalisme français en particulier.
Le syndicalisme allemand fonctionne pas mal. Hélas pour beaucoup de français il n'est pas à suivre parce qu'il a un handicap rédhibitoire: il est allemand.

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la CFDT signe tout ce qu'on lui propose, ce n'est pas un syndicat

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Les luttes syndicales ont totalement changé leurs objectifs depuis la libération.
Initialement destinées à défendre les "travailleurs" dans les usines, elles ont evolué vers de la gestion et de l'opposition systématiques en abusant de leur pouvoir de bloquage. Maintenant les syndicats devenus minoritaires partout se cherchent une voie de sortie....mais il faut toujours attirer des cotisants pour faire vivre des "permanents" qui se trouveraient inevitablement chez Pole emploi a moins qu'un politique viennent a les recaser dans une obscure commission où ils seraient grassement payés pour l'"intérêt général".

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François Chérèque, ancien secrétaire général de la CFDT, est décédé lundi à l'âge de 60 ans, "à la suite d'une longue maladie", ont annoncé un proche de la famille et la centrale syndicale dans des communiqués séparés.

Né le 1er juin 1956 à Nancy (Meurthe-et-Moselle), François Chérèque a dirigé le deuxième syndicat français entre 2002 et 2012.

Il avait suspendu ses activités en septembre 2015 pour suivre un traitement de chimiothérapie et quitté ses fonctions à la tête du Haut commissaire à l'engagement civique en juin 2016 pour "raisons de santé".

Celui qui se disait "réformiste mais impatient" - le titre de son livre publié en 2005 -, a été souvent critiqué pour sa "volonté de signer". Il avait plongé la CFDT dans une longue crise interne en signant la réforme des retraites en 2003.

Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a estimé lundi que le syndicalisme français perdait "une grande figure" avec le décès de son prédécesseur François Chérèque, qui a fait de la lutte syndicale "un engagement personnel", selon lui.

"La CFDT perd une grande figure, le syndicalisme français perd une grande figure qui a fait de la lutte syndicale un engagement personnel", a-t-il dit à l'AFP, très ému. "J'espère que tout le monde reconnaîtra son engagement. Je ressens un grand sentiment d'injustice, car il est parti trop tôt", a ajouté M. Berger, qui a succédé à M. Chérèque à la tête de la centrale fin 2012.

© 2017 AFP

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