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Athènes mise sur Moscovici pour sortir de l'impasse

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moicmoi moicmoi
15/02/2017 20:50:51
3
Ô les pôvres.
Quand Tsipras s’apercevra à quel genre de pinpin il a affaire, il n’aura plus le même sourire.

  
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aliqujus aliqujus
15/02/2017 11:29:03
6

Il me semble qu'il a déjà opéré en FRANCE avec le succès que l'on connaît ; bon courage les GRECS

  
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jipes jipes
15/02/2017 11:19:23
5

Monsieur Moscovici ne faisait-il pas partie de ceux (avec Hollande et Valls) qui ont dit un jour
"on a sauvé la Grèce" ?

Message complété le 15/02/2017 11:19:58 par son auteur.

Et où en est-elle à présent ?

  
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RIGLET RIGLET
15/02/2017 11:12:44
4
Ah c'est le drame. Aucun homme politique français et surtout pas MOSCOVICI ne peut solutionner un problème. Il suffit de voir ce qui se passe en FRANCE hélas.
  
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RIGLET RIGLET
15/02/2017 11:12:44
0

Le Premier ministre grec Alexis Tsipras (g) et le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici (dr), à Athènes, le 28 novembre 2016 (AFP/Archives/LOUISA GOULIAMAKI)

La Grèce comptait mercredi sur le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici, en visite à Athènes, pour l'aider à sortir de la nouvelle impasse avec ses créanciers, à cinq jours d'une réunion de l'Eurogroupe.

Les négociations tournent en rond depuis des mois entre Athènes et ses bailleurs de fonds, zone euro et FMI, sur la poursuite des réformes réclamées au pays.

Avant de rencontrer le ministre des Finances grec Euclide Tsakalotos, M. Moscovici a considéré que "malgré le fait qu'il y ait des convergences, nous avons encore du chemin à parcourir pour un accord final".

A la sortie, il a constaté "des progrès, et des progrès permanents". "Nous voulons une Grèce forte au cœur de l'Europe", et "quant on veut, on peut", a assuré le Commissaire, ancien ministre des Finances français.

La visite de M. Moscovici intervient avant la réunion le 20 février des ministres des Finances de la zone euro (Eurogroupe) à Bruxelles sur ce sujet.

Athènes a besoin d'un accord avec ses créanciers pour s'assurer de la poursuite du versement des tranches du prêt accordé au pays en juillet 2015, et cela avant les échéances électorales aux Pays-Bas, en France ou en Allemagne, qui pourraient changer la carte politique de l'Europe et priver le pays de ses alliés actuels, dont fait notamment partie le président français François Hollande.


Un agriculteur tient une pancarte lors d'une manifestation contre de nouvelles mesures de rigueur, le 14 février 2017 à Athènes (AFP/LOUISA GOULIAMAKI)

Encouragée par le retour à une croissance de 0,3% en 2016 annoncé mardi, et des prévisions de croissances favorables de la Commission européenne pour 2017 (2,7%) et 2018 (3,1%), Athènes a encore rejeté mardi "les réclamations aberrantes" en vue d'une poursuite de la rigueur après la fin du plan actuel en 2018, prônée par le FMI et Berlin.

"L'économie a renoué définitivement avec la croissance" et "le pays n'adoptera pas un euro de plus de mesures de rigueur", a souligné le porte-parole du gouvernement grec Dimitris Tzanakopoulos.

- Accord 'impensable' le 20 -

"Il est impossible d'imposer plus de mesures d'austérité au peuple grec. Mais il est nécessaire et légitime d’avoir plus de réformes afin de rendre la Grèce plus compétitive et d'avoir un système économique plus solide", avait tempéré M. Moscovici lundi sur Euronews.

De son côté, le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem a exclu la conclusion d'un accord lundi prochain: "c'est impensable (...) il faut plus de temps", "les représentants des créanciers doivent revenir à Athènes pour continuer les discussions", a-t-il dit lors d'un entretien mardi à la télévision néerlandaise RTLZ.


Le Premier ministre grec Alexis Tsipras lors d'une réunion du comité central de son parti Syriza, à Athènes le 11 février 2017 (AFP/Angelos Tzortzinis)

Le Premier ministre grec Alexis Tsipras avait haussé le ton samedi, accusant ouvertement le FMI et le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble de "jouer avec le feu".

Selon le FMI, Athènes n'atteindra pas les objectifs budgétaires fixés par les Européens de dégager un excédent primaire (hors service de la dette) à 3,5% du PIB après 2018 sans un allègement de la dette, une question qui divise la zone euro, l'Allemagne en première ligne s'y opposant.

Le vice-président de la Commission européenne Valdis Dombrovskis a indiqué mercredi au journal allemand Handelsblatt que les prévisions du FMI sur la Grèce étaient "très pessimistes", mais qu'il espérait que cet écart avec celles de la Commission pourrait être comblé.

Pour sa part, le Premier ministre français Bernard Cazeneuve, qui devrait à son tour être à Athènes dans les prochaines semaines, a appelé mardi à une solution, à l'issue d'un entretien à Berlin avec la chancelière allemande Angela Merkel.

"Nous devons poursuivre le travail engagé, qui nous a permis de maintenir la Grèce à bord de la zone euro, c'est une nécessité", a-t-il estimé.

La France prend régulièrement la défense de la Grèce face à l'alarmisme, notamment de M. Schäuble, qui a encore récemment agité la menace d'une sortie du pays de la zone euro, faute de réformes supplémentaires.

"Il n’est pas question d'un Grexit, c'est impossible et cela ne serait pas juste au regard des performances de l'économie grecque", a insisté Pierre Moscovici sur Euronews.

© 2017 AFP

  
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