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Les “Pogues” j’ai adoré…

Plusieurs fois annoncé comme étant décédé dernièrement, cette fois c'est hélas la bonne. Shane MacGowan a rejoint le paradis des canettes...

Les années 80 commencent à avoir de sérieux trous dans les rangs des groupes et musiciens qui ont bercés nos vies de cette époque.

Son sourire édenté et ses dents gâtés avaient séduit bien avant Jacquouille dans "Les visiteurs".
Mon souvenir reste d'avoir fait 100 km pour aller à Lyon acheter les premiers albums des Pogues à la FNAC et les cassettes TDK chrome ont bien tourné dans l'autoradio de la R14, puis de la 205 de nombreuses années durant.

Lu à l'époque dans "Best" et "Rock & Folk" , lors de certains concerts, ils avaient pour habitude de faire remplir la baignoire de l'hôtel de bières et certains fois de monter sur scène bien bourrés...

Et en bas dans la playlist , vous verrez si vous avez adoré "Les Enfants du Rock " de Philippe Manoeuvre , y'a un beau collector avec De Caunes !

Shane MacGowan, chanteur du groupe de punk celtique The Pogues, est mort le 30 Novembre 2023

Publié le 30/11/2023

Le leader du groupe de punk celtique est mort à 65 ans. Malade et fragilisé par des décennies d’excès, Shane MacGowan avait marqué l’histoire du rock avec un répertoire de chansons irlandaises populaires et son timbre vocal de baladin alcoolisé.

Le sourire, dentition aussi peu disciplinée que les mèches rousses, s’affichait sans aucun complexe : Shane MacGowan, dont on a appris ce jeudi la mort à 65 ans, avait les dents violemment abimées par l’alcool, la drogue et une enfance de prolétaire irlandais, et c’était encore sa meilleure façon d’afficher son pedigree. Né en Angleterre à la fin des années 50 dans une famille irlandaise, il racontait la coutume selon laquelle les garçons, dès l’âge de cinq ans, recevaient deux bouteilles de Guinness en guise de cadeau à Noël.

Shane MacGowan, dont le jeu de scène le voyait souvent tituber en s’accrochant au micro, confiait ainsi n’avoir plus jamais réussi à être sobre depuis l’âge de ses 14 ans, même si son état de santé l’avait obligé, en 2016, à rayer l’alcool et autres substances de la liste de ses derniers plaisirs sur terre.

Les marginaux dans le premier rôle

Malgré tout, lui et son groupe The Pogues (pour "póg mo thóin" - "embrasse mon cul", en gaélique irlandais) auront réussi à marquer, durant la décennie des années 80, l’histoire du rock, par l’alliage improbable du mouvement punk, de chansons dans laquelle les opprimés et les marginaux ont le premier rôle, et de musique irlandaise traditionnelle, dans laquelle il baigne tout jeune, alors que ses parents reviennent s'installer plusieurs années durant dans leur pays natal.
"Je prends le chant pour acquis : depuis que j'ai trois ans, en Irlande, les gens m'ont poussé à me lever et à chanter aux hooleys( fêtes locales). J’ai appris les chansons des personnes âgées. Et tout le monde m’a toujours dit que j’étais bon, donc je n’ai jamais eu l’occasion de douter de moi", expliquait le chanteur.
Musique irlandaise pour public pop

Shane MacGowan, qui avouait avoir tenté le punk à la sortie de l'adolescence, uniquement par fainéantise et appât du gain, s’est tout de même retrouvé propulsé assez rapidement sur le devant de la scène de ce nouveau courant musical qui bousculait le pays. L'aventure mènera son groupe jusqu’au tube des Pogues en 1987, Fairytale of New York, chanté avec Kirsty Mc Coll et devenu aujourd'hui un classique de Noël en Irlande ou au Royaume Uni. "On voulait faire de la musique irlandaise, mais pour un public de pop", expliquait le chanteur, dont le succès a dépassé ses espérances.

Shane MacGowan cultivait aussi bien l’image de l’anti-héros que celle du sale gosse, capable de rater, pour cause de gueule de bois monumentale, un concert de première partie de Bob Dylan. Et son allure de poète déglingué ne sera pas qu’une posture : renvoyé dès son adolescence d’une grande école londonienne pour consommation de drogues, il se familiarise très tôt avec les cures de désintoxication.

Son abus de substances illicites et son comportement erratique le font renvoyer de son propre groupe en 1991 : "Je suis heureux de m'en être sorti vivant", confie-t-il en 2022 au journal The Guardian. Très diminué depuis une dizaine d'années, il se consacrait néanmoins au dessin, à travers livres et expos, soutenu par sa compagne de longue date Victoria Clarke, qu'il avait épousée en 2018.

Il avait même accepté de se faire refaire les dents, mais cultivait une lancinante nostalgie de ses tournées avec les Pogues. En 2021, un long-métrage Crock of Gold, réalisé par Julian Temple et produit par son ami Johnny Depp, retraçait la vie du chanteur, qui résumait, à l'écran, les chansons des Pogues avec ces quelques mots : "Tous les morceaux parlaient de se battre, de boire, de mourir, et de vivre".

Carrière musicale
En 1976, à l'âge de 19 ans, Shane MacGowan découvre les Sex Pistols, sur scène et se rebaptise Shane O'Hooligan3 et ne rate aucun des concerts de la nouvelle scène punk londonienne. MacGowan se fait connaître lors d'un concert des Clash, alors que son lobe d'oreille est mordu par une fille qu'il vient d'embrasser. Contrairement à ce qui a été rapporté, il s'avère que ce n'est pas la guitariste Kate Korus qui est coupable, mais une membre du groupe Mo-dettes, Jane Crockford. Un photographe a pris une photo de lui couvert de sang et fait un article, avec le titre « Cannibalism At Clash Gig ».

Son intérêt pour la musique, et notamment la musique punk, l'entraîne à créer le fanzine Bondage et à monter son propre groupe The Nipple Erectors, rebaptisé The Nips, avec lequel il écrit Gabrielle.
Shane MacGowan en 2006.

En 1982, il participe à la création des Pogues, qui va devenir un des groupes majeurs de la scène rock européenne des années 1980. Il écrit de nombreuses chansons pour ce groupe. Shane MacGowan souffre d'une sévère dépendance à l'alcool, d'où lui vient sa voix rauque ; il est d'ailleurs célèbre pour ses performances scéniques ivre[réf. nécessaire]. Au début des années 1990, son ivresse quasi quotidienne et l'abus de drogues (amphétamines et acides) mettent en péril les tournées des Pogues, créent des tensions au sein du groupe et rendent interminables les sessions d'enregistrements. Le journaliste anglais Nick Kent décrit le personnage : « Il fait preuve d'un attachement très romantique à son héritage celtique, mais ses manières, son attitude, sont celles du zonard punk londonien typique. Disons qu'il y a chez lui un délicat mélange d'aristocrate et de crétin, de dandy et de dadais. Il n'a pas son pareil pour faire rimer académique avec bordélique4. »

Il quitte les Pogues en 1991, et forme un nouveau groupe, Shane MacGowan and The Popes, avec lequel il enregistre de nouveaux disques et réalise plusieurs tournées, on l'a vu en duo avec la chanteuse Sinéad O'Connor.

Au fil des disques collectifs et compilations, son nom côtoie ceux de Cocteau Twins, Elvis Costello, Dave Stewart, Siouxsie, Madness, Yello, Police… En 1993, Alan Stivell l'invite (comme Kate Bush ou Doudou N'diaye Rose entre autres) sur son album Again qui remporte un vif succès. Il figure dans le même temps sur Stoned Dethroned, album de Jesus and Mary Chain, et en 1996 Nick Cave le convie sur Death Is Not the End avec Kylie Minogue et PJ Harvey notamment.

En 2001, Shane MacGowan rejoint les Pogues pour une tournée à guichets fermés, A Parting Glass with The Pogues. Les Pogues instaurent le rituel des « Tournées de Noël » (Christmas Tours) à partir de 2004, tout cela accompagné de quelques tournées en Europe et aux États-Unis, avec Shane MacGowan comme chanteur officiel.
Shane MacGowan en 2008.

En novembre 2010, Shane MacGowan forme un nouveau groupe nommé The Shane Gang avec lequel il enregistre un nouvel album, plus de dix ans après la sortie du dernier. Les sorties du premier album de The Shane Gang et d'un best-of de Shane MacGowan nommé Rakes, Rats, Pricks & Kicks sortent en 2011.

La même année, il chante sur l'album From Gainsbourg to Lulu (album hommage à Serge Gainsbourg fait par son fils Lucien, auquel participent également Scarlett Johansson, Vanessa Paradis et Johnny Depp, Marianne Faithfull, Matthieu Chedid…) une reprise de Sous le soleil exactement à sa façon.

À l'été 2012, les Pogues fêtent leur 30e anniversaire par une tournée européenne de 8 dates commençant au Royaume-Uni en août et s'achevant en France par un double concert donné les 11 et 12 septembre à L'Olympia. Enregistré et filmé pour l'occasion, ce double concert est publié le 19 novembre 2012 en double CD, DVD, Blu-Ray et triple vinyle ainsi qu'en édition limitée sous la forme d'un coffret regroupant, outre les double CD et DVD, un livret contenant une présentation exclusive et des photos inédites ainsi qu'un DVD bonus comprenant des interviews et extraits de concerts issus des archives de la télévision française (en particulier de l'émission culte Les Enfants du Rock datant de 1986). Dans le prolongement de leur tournée de célébration de leur 30e anniversaire, les Pogues donnent le 20 décembre 2012 un unique concert au Royaume-Uni à l'O2 de Londres, Frank Turner and the Sleeping Souls assurant la première partie du groupe.

Un concert est organisé à Dublin le 15 janvier 2018 à l'occasion de son 60e anniversaire, en présence de nombreux invités, notamment Bono, Carl Barât, Nick Cave, Johnny Depp ou Magda Davitt (précédemment connue sous le nom de Sinéad O'Connor).

PLAYLIST ALBUM

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• Le premier album "Red Roses for Me" (Expanded Edition 19 titres)

https://www.youtube.com/watch?v=jBJ8C6jWhVA&list=OLAK5uy_l5r9rSwVOee89QkAlVjQrijNkYgZqch3U

• "Rum Sodomy & The Lash" (Expanded Edition 18 titres)

https://www.youtube.com/watch?v=CAKZ9eyuhiY&list=OLAK5uy_kxSqtbngPzvPeVsGjqGSG0_UCM_5XB7tU

• "If I Should Fall From Grace With God (Expanded Edition 19 titres)"

https://www.youtube.com/watch?v=B4v6aNjGFFk&list=OLAK5uy_m_0ygJDif8AyxMLpLARUB5v33vrvouLi4

• " Hell's Ditch " (Expanded Edition 20 titres )

https://www.youtube.com/watch?v=PFarc3yjSC8&list=OLAK5uy_m2KrQXGEFRQIZqAWx3D47xt3EsZifBf1A

THE POGUES > LIVE

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• The Pogues - At TV "Les enfants du rock" (1986)

https://www.youtube.com/watch?v=XGL8SZxX6QM

• "The BBC Sessions 1984 -1986 (Live)" – 23 titres

https://www.youtube.com/watch?v=81qmCm_QGNQ&list=OLAK5uy_kDj52lXYajY6bon_SMfQzJzbGh-25RyTU

• The Pogues live 18-Dec-1984 Labour Club, Newport, Wales - Full Concert

https://www.youtube.com/watch?v=_JjFHP4OJ50

• " THE POGUES @ Munich, Germany München 1985 Live Full Concert"

https://www.youtube.com/watch?v=21C-I-SwxJ4

• The Pogues ‎– Live At The Town And Country Club London (1988 - durée : 58:48)

https://www.youtube.com/watch?v=j8NuElXf5WI

• The Session: The Pogues & The Dubliners (Special Guest Joe Strummer) (1987)

https://www.youtube.com/watch?v=n4FQQ-9r2d4

• The Pogues and Katy Melua - Fairytale of New York (live) 2005

https://www.youtube.com/watch?v=ql0_oZSdnXM

Mort de François Turcas, ex-patron de la CPME et célèbre chef d'entreprise à Lyon

François Turcas, 71 ans, est décédé ce mercredi 22 novembre 2023. Figure du monde économique à Lyon et au niveau national, il souffrait depuis quelques mois de problèmes de santé.

Le photographe américain Elliott Erwitt est mort à l'âge de 95 ans


Il a notamment documenté des évènements politiques comme la visite de Richard Nixon en Union soviétique en 1959, les funérailles de John F. Kennedy en 1963, ou l'investiture de Barack Obama en 2009.



Publié le 30/11/2023 


Le photographe américain Elliott Erwitt est mort à l'âge de 95 ans, annonce son compte Instagram jeudi 30 novembre. "Nous sommes tristes de vous annoncer qu'après 95 années extraordinaires, Elliott Erwitt est décédé paisiblement chez lui, entouré de sa famille", est-il écrit sur le réseau social.

L'agence Magnum, dont il était une figure emblématique, a également confirmé sa mort : "C’est avec une grande tristesse que nous annonçons la disparition du photographe bien-aimé de Magnum, Elliott Erwitt. Il est mort paisiblement chez lui, entouré des siens", a posté dans la soirée le compte officiel de l’agence. "Ses images nous ont aidés à comprendre ce que nous sommes comme société et comme humains, et ont inspiré des générations de photographes malgré les mutations des tendances et de l'industrie", lui a rendu hommage la présidente de Magnum, Cristina de Middel.

Connu aussi pour ses clichés cocasses



Né le 26 juillet à Paris en 1928 de parents russes, Elliott Erwitt grandit à Milan avant d’émigrer aux États-Unis en 1939 avec sa famille. Après dix années à New York, il déménage à Los Angeles, se met par facilité à la photographie – « on peut faire des images sans effort et sans formation » – et travaille bientôt comme tireur dans un laboratoire spécialisé dans les portraits de stars.



Conscrit dans l’armée en 1951 comme assistant photographe, il peut continuer à travailler pour plusieurs titres alors qu’il est posté dans le New Jersey, en Allemagne et en France. Avant de démarrer son service, il rencontre à New York les photographes Edward Steichen (alors à la tête du département photographique du Musée d’art moderne de New York MoMA), Roy Stryker et Robert Capa qui deviennent ses mentors. À son retour en 1953, ce dernier le parraine pour entrer dans le temple du photojournalisme, l’agence Magnum.


Il a consacré sa vie à la photographie documentaire. Il a notamment documenté des évènements politiques comme la visite de Richard Nixon en Union soviétique en 1959, les funérailles de John F. Kennedy en 1963, ou l'investiture de Barack Obama en 2009. Il était aussi connu pour ses clichés cocasses d'humains et de chiens : "Il croyait fermement que la photographie devait s'adresser aux sens et à l'émotion plutôt qu'à l'intellect", souligne l'agence Magnum. C'est après une rencontre avec le photographe de légende Robert Capa que ce dernier le parraine pour entrer au sein de l'agence Magnum. 


On doit à cette tête de file de la photographie subjective américaine les légendaires instantanés de Castro et du Che en 1964, la robe blanche de Marylin s’envolant au-dessus d’une bouche d’égout, le G.I. tirant la langue en pleine guerre de Corée et le chihuahua coiffé d’un bonnet de laine fixant anxieusement l’objectif de ses yeux asymétriques.
Il était l’un des seuls grands photographes à faire rire avec ses images où il capturait avec espièglerie et tendresse les hasards de la vie.

On doit à cette tête de file de la photographie subjective américaine les légendaires instantanés de Castro et du Che en 1964, la robe blanche de Marylin s’envolant au-dessus d’une bouche d’égout, le G.I. tirant la langue en pleine guerre de Corée et le chihuahua coiffé d’un bonnet de laine fixant anxieusement l’objectif de ses yeux asymétriques.



En 70 ans de carrière, ce « photographe de rue », aussi doué que Cartier-Bresson pour saisir « l’instant définitif » et que Robert Capa pour son sens de l’histoire, a immortalisé hommes politiques, stars de cinéma, couples, enfants et des centaines de chiens qu’il photographiait comme des « gens avec plus de poils ».


« Triste et drôle, n’est-ce pas la même chose ? »



« Certaines personnes pensent que mes clichés sont tristes, d’autres pensent qu’ils sont plutôt drôles. Mais en fin de compte, triste et drôle, n’est-ce pas la même chose ? », affirmait-il sans jamais se prendre au sérieux.



Il n’a jamais dérogé au noir et blanc


« Grand chanceux », il fait le tour du monde plusieurs fois mais choisit de ne pas immortaliser les drames de l’histoire. C’est alors l’âge d’or des magazines : il contribue à Collier’s, Look, LIFE, Holliday.

Il croque un Nixon hargneux pointant un doigt rageur sur Khrouchtchev, Jackie Kennedy sous sa voilette aux obsèques de son mari, un tendre aparté entre sa femme et son nourrisson de fille ou encore une vieille Russe en bigoudis. Avec California kiss – deux amoureux s’embrassant dans le rétroviseur d’une voiture garée le long du Pacifique – il résume en un cliché les promesses de félicité sur la côte ouest américaine.


Dans les années 70, il contracte le virus de la vidéo et commence à tourner des documentaires sur le Japon, la musique country ou le vitrail, puis des programmes de télévision comiques et satiriques pour la chaîne américaine HBO. Il affirmait que son vrai boulot était la publicité (en couleur) et la photographie, son « hobby » (il n’a jamais dérogé au noir et blanc).
« Avec des célébrités, vous ne pouvez pas vous planter »

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Son espièglerie l’avait conduit à s’inventer un alter-ego, André S. Solidor, qui lui permit d’exprimer toutes ses exubérances de photographe contemporain.

Marié quatre fois, père de six enfants et propriétaire de huit chiens, il concédait avoir travaillé jusqu’au bout, par nécessité financière. À 90 ans, il publiait en 2018 un livre sur l’Écosse.



Un conseil pour les débutants ? « Avec des célébrités, vous ne pouvez pas vous planter. Même avec la pire photo du monde. Prenez seulement des photos de personnalités. Elles n’ont pas besoin d’être bonnes. Bien centrée, avec assez de marge pour pouvoir la couper ».

Le travail d'Elliot Erwitt était justement exposé depuis le 21 octobre à La Sucrière à Lyon. Le site du lieu rappelle qu'il a été entre autres "portraitiste de personnalités comme Marilyn Monroe ou encore Jackie Kennedy, Charles de Gaulle, Ernesto “Che” Guevara, Alfred Hitchcock, Nikita Khrouchtchev". L'exposition se tient jusqu'au 17 mars 2024.


Inoubliable…


RIP

il a bien choisi sa saison pour partir, il sera bien au chaud cet hiver là où il va...

L'ancien secrétaire d'État Henry Kissinger, le diplomate aux lunettes épaisses et à la voix rocailleuse qui a dominé la politique étrangère lorsque les États-Unis se sont extirpés du Vietnam et ont fait tomber les barrières avec la Chine, est décédé. Le doyen de la diplomatie américaine est décédé le 29 novembre à l'âge de 100 ans.

Mars Williams, saxophoniste du groupe "Psychedelic Furs" et "The Waitresses", groupes de rock New Wave est décèdé à 68 ans.

Encore une figure du rock des années 80 qui part précipitament.

Certains de ses solos font échos à ceux du célèbre Andy Mackay des Roxy Music dont "Avalon" était sorti en 1982 et au son de sax treès en vigue dans le rock des années 80. The Waitresses rappelleront aussi à certains les vocaux de Debby Harry dans "Blondie". Un vrai bonheur de récouter ça…

21 novembre 2023

Mars Williams, le saxophoniste de jazz de toujours qui a joué dans les groupes Psychedelic Furs et The Waitresses, est décédé, rapporte Le Chicago Tribune. Il est décédé aujourd’hui d’un cancer ampullaire après avoir été diagnostiqué l’année dernière. « Nous avons le cœur brisé », les Psychedelic Furs a écrit sur les réseaux sociaux.

« Au revoir au grand Mars Williams. Reposez-vous bien. » Il avait 68 ans.

« Jusqu’à la fin, l’humour et l’énergie inépuisables de Mars, ainsi que son amour pour la musique, l’ont poussé à avancer », a écrit la famille de Williams dans un communiqué. « Comme il est devenu évident à la fin de l’été que ses options de traitement touchaient à leur fin, il a choisi de passer six semaines du temps qu’il lui restait à vivre comme il le faisait depuis son adolescence : sur la route, en se produisant nuit après nuit. Ces dernières performances avec les Psychedelic Furs perdureront avec toutes les autres contributions incroyables que Mars a apportées en tant que personne et en tant que musicien, et cette énergie illimitée continuera à inspirer.

Né à Evanston, dans l’Illinois, Williams a grandi dans une famille passionnée de jazz, alors que son père jouait de la trompette pour les groupes de pick-up de Gene Kruppa et Tommy Dorsey chaque fois qu’ils s’arrêtaient à Chicago. Williams a rapidement commencé à adorer la musique swing, Eric Dolphy, Ornette Coleman et Charlie Parker. Il suit une formation de clarinettiste classique pendant 10 ans avant de se tourner vers le saxophone lors de sa dernière année de lycée. Il a fréquenté l’Université DePaul avant de suivre les cours d’Anthony Braxton et de Roscoe Mitchell à l’Association pour l’avancement des musiciens créatifs.

En 1980, Williams rejoint les Waitresses, contribuant au premier album du groupe new wave de l’Ohio "Wasn't Tomorrow Wonderful?" et le suivant "Bruiseology" Il a gagné son premier tableau d’affichage avec le hit « I Know What Boys Like », qui a culminé à la 62e place du classement Hot 100. La partie de saxophone la plus reconnaissable de Williams, et peut-être la plus intemporelle en raison de sa rotation régulière en tant que chanson de vacances, est son crochet jubilatoire sur le single « Christmas Wrapping » des Waitresses en 1981.

Un enregistrement live sera réalisé au "King Biscuit Flower Hour (Live)".

Lorsque les Waitresses se séparèrent en 1983, Williams fut rapidement embauché par les Psychedelic Furs pour une tournée avant de rejoindre plus formellement le groupe. Il apparaît sur les albums "Mirror Moves "en 1984 et "Midnight to Midnight" en 1987.

Bien qu’il ait quitté les Psychedelic Furs en 1989, Williams les a rejoints en 2005, continuant à enregistrer du saxophone pour leur album de retour en 2020. Fait de pluie. Leur dernière performance ensemble a eu lieu il y a deux jours au festival de musique "Darker Waves".

Mars Williams est un musicien, compositeur et éducateur ouvert d’esprit qui alterne facilement entre le free jazz, le funk, le hip-hop et le rock, Mars a joué et enregistré avec The Psychedelic Furs, Billy Idol, The Killers, Massacre, Fred Frith, Bill Laswell, Ministry, Power Station, Die Warzau, Kiki Dee, Pete Cosey, Billy Squier, DJ Logic, Wayne Kramer, John Scoffield, Charlie Hunter, Kurt Elling, Swollen Monkeys, Mike Clark, Jerry Garcia, Naked Raygun, Friendly Fires, The Untouchables, Blow Monkeys et pratiquement toutes les grandes figures de la scène "downtown" de Chicago et de New York.

John Zorn estime que Mars est «l’un des vrais saxophonistes—quelqu’un qui prend plaisir à klaxonner. Cet énorme enthousiasme est une partie essentielle de son son, et il vient à travers chaque note chaque fois qu’il joue. Quelle que soit la situation, Mars joue une musique passionnante. À bien des égards, il a réussi à redéfinir ce que signifie la polyvalence pour le saxophoniste moderne. »

En 2001, Mars reçoit une nomination Grammy pour le meilleur disque de jazz contemporain avec son groupe Liquid Soul.

En plus de son horaire de tournée chargé avec Liquid Soul et The Psychedelic Furs, Mars parvient à rester actif sur la scène musicale créative internationale. Au cours des dernières années, il a tourné et enregistré avec Peter Brötzmann Tentet, Switchback, Full Blast, Scorch Trio, Vandermark 5, Michael Zerang & The Blue Lights, Boneshaker, Chicago Reed Quartet, Trio Red Space, Chicago Edge Ensemble, et Cinghiale, avec des musiciens comme Ken Vandermark, Hamid Drake, Michael Zerang, William Parker, Ikue Mori, Kent Kessler, Fredric Lonberg Holm, Peter Brotzmann, Joe McPhee, Jeb Bishop, Tim Daisy, Inget Haker Flaten, Paal Nilssen-Love, Ab Baars, Mike Reed, Jeb Bishop, Harrison Bankhead, Dave Rempis, Kidd Jordan et Matts Gustafson.

Il se produit chaque semaine à Chicago avec Jim Baker, Steve Hunt et Brian Sandstrom dans le quatuor d’improvisation « Extraordinary Popular Delusions ». En tant que chef d’orchestre, il continue de jouer et d’enregistrer des CD avec ses propres groupes de free-jazz, le NRG Ensemble, Witches & Devils, Moments Form Trio, Trio No Mas, Slam, XmarsX, Mars Trio, Boneshaker et The Soul Sonic Sirkus, qui met en vedette des musiciens improvisateurs et des artistes de cirque aérien.

Malgré son horaire de tournée chargé, Mars parvient toujours à se produire, enregistrer et sortir trois CD de son projet expérimental annuel de Noël, « Mars Williams présente : An Ayler Xmas ». Au cours des 10 dernières années, Mars a apporté « An Ayler Xmas » à certaines villes des États-Unis et d’Europe, et a mis en vedette des improvisateurs locaux de chaque ville hôte. Pour ces concerts mémorables, Williams fusionne une variété de chansons de Noël avec le répertoire indélébile du titan du free-jazz Albert Ayler.

En plus de jouer et de créer de la musique, Mars est un éducateur dans le domaine des bois et de l’improvisation jazz depuis plus de trente ans. Mars a occupé le poste d’instructeur de bois au Bard College pendant deux ans. Au cours des dernières années, Mars a présenté des classes de maître et des cliniques à un certain nombre d’institutions privées et publiques, y compris l’Université du Massachusetts, Amherst, l’Université de Chicago, l’Université Roosevelt (Chicago, IL) et June Collins Smith Museum of Fine Art (Auburn, AL).

Je vous souhaite un bon moment musical.

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Avec "The Waitresse "

• The Waitresses : I Know What Boys Like

https://www.youtube.com/watch?v=bsneH0mOq-0

• L'album : "Wasn't Tomorrow Wonderful? " (14 titres)

https://www.youtube.com/watch?v=OeX0wEsCnbo&list=OLAK5uy_mMAmMSG7kag-DDZwO2KSJB6DoFD8AGJuQ

• L'album : "Bruiseology (Expanded Edition) " (13 titres)

https://www.youtube.com/watch?v=zyq6-YrGEBE&list=OLAK5uy_ldgl6Im8ww-ts4hpdAoiXOSiI8EWX06tw

• The Waitresses (channel video)

https://www.youtube.com/channel/UCn0GZ96Qvq8yPKB_KicJvFg

•The Waitresses - Make the Weather

https://www.youtube.com/watch?v=Db0R9bDa9gc

• The Waitresses - No Guilt (Live TV 1982 | Live on the Old Grey Whistle Test in April 1982)

https://www.youtube.com/watch?v=ZMV0I_boVqc

• The Waitresses - I Know What Boys Like (Live TV 1982 |Live on the Old Grey Whistle Test in April 1982)

https://www.youtube.com/watch?v=ElDgM7LWdVI

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Avec The Psychedelic Furs

• Le dernier album : "Made of Rain" (2020)

https://www.youtube.com/playlist?list=PL9nTvaadLQZBxzIHSa2r4yMrwjq-puQ-z

• The Best of The Psychedelic Furs

https://www.youtube.com/watch?v=LNTBfeGren0&list=OLAK5uy_m2AaoyTAyUhcgdu1ciBO7nilY_yWPy9Ug

• The Psychedelic Furs + Live La Edad Doro Spanish TV (1984 - VHS) C'est collector !

https://www.youtube.com/watch?v=TfrFVwFTpfw

Set list

Love My Way 0:00
Pretty in Pink 4:38
Here Come Cowboys 8:46
My Time 13:17
President Gas 18:02
Sleep Comes Down 23:09
The Ghost in You 27:56
Heaven 32:40
Angels Don't Cry 36:43
Sister Europe 41:46
Alice's House 46:25
Heartbeat 50:31
Forever Now 55:21
Imitation of Christ 1:02:28
Into You Like a Train 1:06:23
India 1:13:23

• THE PSYCHEDELIC FURS - Live Valencia, 18 Oct 2019 (Full Concert)

Concierto que ofrecieron THE PSYCHEDELIC FURS en Valencia, el 18 de Octubre del 2019 en la Sala Republicca, dentro de su gira del 2019.

https://www.youtube.com/watch?v=pVKClBUxWZ0

Setlit :

1:27 – Dumb Waiters
5:50 – Mr. Jones
9:56 – Love My Way
14:06 – There’s A World Outside
19:02 – The Ghost In You
24:24 – Like A Stranger
28:38 – Sister Europe
35:02 – Heaven
39:33 – All That Money Wants
43:55 – Into You Like A Train
48:28 – The Boy That Invented Rock & Roll
52:10 – Pretty In Pink
56:30 – President Gas
1:01:40 – Sleep Comes Down
1:06:33 – Heartbreak Beat
1:12:15 – India

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• Mars Williams Presents: An Ayler Xmas (LIVE 2021)

https://www.youtube.com/watch?v=vJTX3xkqTAc

November 29, 2021
Presented by Nameless Sound and Lawndale Art Center
at Lawndale Art Center
Houston, TX

Aaron González - double bass
Stefan González - drums, percussion
Jonathan Horne - guitar
Gaika James - trombone, toys
Mars Williams - saxophone, toys
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• Mars Williams' The Devil's Whistle 5/5/22 (Part 2 of 3) Music Box Village, New Orleans

https://www.youtube.com/watch?v=D1__Cfjb9yE

• Mars Williams' The Devil's Whistle 5/5/22 (Part 3 of 3) Music Box Village, New Orleans

https://www.youtube.com/watch?v=WXrXOJOt7C4

• Mars Williams Quintet - Live at Cafe Strassmair, Wels, Austria, 2017-12-16

https://www.youtube.com/watch?v=vNon4mXpfNo

An Ayler X-Mas. The Music of Albert Ayler and Songs of Christmas

Mars Williams, Saxophon
Thomas Berghammer, Trompete
Christof Kurzmann, Ppooll
Hermann Stangassinger, Bass
DdKern, Drums

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• Car Con Carne Podcast Interview

https://www.youtube.com/watch?v=nUe4J5INcQE

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Donc pas de raison objective à choisir entre la bourse ou la vie ? Non ?

; )

Conclusion : la bourse est un élixir de longue vie.

Charlie Munger, bras droit de Warren Buffet, et un grand nom de l'investissement value est décédé hier à presque 100 ans.

L'eurodéputée écologiste de la Drôme, Michèle Rivasi, est morte des suites d'une crise cardiaque mercredi, indique son entourage. L'élue avait 70 ans.

Il y a quelques jours Karl Tremblay, chanteur des Cowboys Fringants, est décédé d'un cancer.

Le Québec perd un de ses fervents défenseurs. RIP

https://www.youtube.com/watch?v=jZa7FKWyVrE

Voila, j'espère que ça fera plaisir à certains de réécouter une partie de notre jeunesse qui s'en va en lambeaux.

Killing joke fait partie mes souvenirs des premiers "Rock & Folk " acheté l'été 82 au kiosque. Le premier, ce fût pour rentrer en "liaison-car" de Lyon Perrache à la ferme de mes parents de retour des écrits de mon 1er diplôme agricole (=BAC).

Tout "Siouxie and the Banshees", Killing Joke avait quelque chose de captivant dans son "urgence musicale" Punk et post PunK.

Kevin « Geordie » Walker (Killing Joke), guitariste britannique de post-punk et de metal industriel, surtout connu pour sa participation à la carrière du groupe Killing Joke est mort le 26 novembre 2023 à Prague (Tchéquie).

Actualité du 26 novembre 2023

Le guitariste mythique de Killing Joke, Kevin « Geordie » Walker, est mort aujourd’hui à Prague à l’âge de 64 ans, deux jours après un violent AVC.

Il était le seul membre permanent du groupe avec Jaz Coleman (guitare, synthés). Depuis son premier album sans titre en 1980, Killing Joke a sorti la bagatelle de quinze albums, d’abord post punk/new wave avant de basculer progressivement vers le metal indus à partir des années 90. Le dernier en date, Pylon, est sorti en 2015. Le groupe avait sorti un nouveau single, « Full Spectrum Dominance », en mars dernier.

Durant son enfance, sa famille déménage vers le sud de l’Angleterre à Milton Keynes, près de Londres. C'est là qu'il acquiert son surnom, dû à son fort accent « geordie » (du nord-est de l'Angleterre).

Geordie Walker rejoint les membres fondateurs du groupe Killing Joke en 1978 en répondant à une annonce passée par le chanteur du groupe, Jaz Coleman. Walker et Coleman sont les seuls membres récurrents du groupe depuis lors.
Geordie Walker aura également été, au cours de sa longue carrière, membre des groupes de metal industriel Murder, Inc., The Damage Manual et Pigface.

Il est aussi célèbre pour sa guitare dorée, une Gibson à caisse semi-évidée modèle ES-295 (version « goldtop » avec le chevalet trapézoïdal de la ES-175) originellement produite entre les années 1952 et 1959 et récemment rééditée. Cette guitare, accordée un ton plus bas que la normale pour donner D-G-C-F-A-D (ré-sol-do-fa-la-ré) depuis l'album Revelations en 1982, et sur laquelle Geordie ajoute distorsion, chorus et réverbération, a contribué à forger le son du groupe4.
Bien que plus connu pour son jeu de guitare électrique hypnotique et brut, il est aussi adepte de la guitare acoustique, de façon anecdotique sur Outside the Gate (1988) et Pandemonium (1994), et bien plus insistante sur Democracy (1996).

Il a coutume de fumer sur scène, même dans les pays où cette pratique est interdite. Dans une entrevue avec Andrew Bansal pour le magazine Metal Assault en 2013, il déclare avoir cessé, sauf cas exceptionnel.
Geordie Walker vivait à Détroit avec sa femme et son fils, Atticus.

KILLING JOKE

KILLING JOKE est apparu au début des années 1980 dans la mouvance post-punk, leur premier album éponyme présentant des influences heavy rock funky avant que les styles électronique et synth-pop ne filtrent également à travers leur musique. Ils influenceront à leur tour les générations suivantes, notamment METALLICA, NIRVANA et SOUNDGARDEN. "Love Like Blood" donnera à KILLING JOKE son plus grand succès commercial, un succès à travers l'Europe, atteignant la 16e place du classement des singles au Royaume-Uni en 1985.

Walker et Jaz Coleman (chant, claviers) ont été des membres constants du groupe et ont été réunis avec les autres membres fondateurs Paul Ferguson (batterie) et Martin "Youth" Glover (basse) depuis 2008.

Dans une interview accordée à MTV en 2006, Coleman a déclaré à propos de Walker : "Travailler avec Geordie Walker - c'est un joueur magique. C'est mon plus grand plaisir d'avoir passé plus d'années et de temps avec lui que mon propre frère de sang".

Il y a dix ans, Walker a expliqué à Metal Assault comment son style de jeu de guitare avait évolué au fil des ans : "J'ai juste trouvé le bon instrument assez tôt dans le jeu, qui est un corps creux. Il a une vie propre. Je pense que je commence à jouer avec un peu moins de violence à la main droite, ce qui m'a beaucoup aidé en termes de définition, si vous voyez ce que je veux dire, et à ne pas casser autant de cordes non plus. J'avais l'habitude de casser les cordes de ré et d'être méchant avec certains accords.

En mars dernier, KILLING JOKE a sorti un tout nouveau single, "Full Spectrum Dominance", via Spinefarm, pour célébrer le concert à guichets fermés du groupe au Royal Albert Hall de Londres. Le titre épique a été mixé par Tom Dalgety (GHOST, PIXIES, ROYAL BLOOD) et est accompagné d'un remix de Youth et d'une illustration de Mike Coles, designer de longue date.

Sous la bannière "Killing Joke - Follow The Leaders", KILLING JOKE a interprété ses deux premiers albums dans leur intégralité au Royal Albert Hall - le premier album éponyme de 1980 suivi de leur deuxième album complet, "What's This For... !"


Quelques morceaux de cette page d'histoire du rock qui se tourne.

• Killing Joke

https://youtu.be/5s4nz-_CLHM

• Killing Joke | "Eighties"

https://youtu.be/x1U1Ue_5kq8

• Killing Joke | "Intégration"

https://youtu.be/wyatdOE32s4

• Killing Joke | "The Deat and ressurection Show"

https://youtu.be/_Y-a7T7S9eE

• Killing Joke | Automous Zone

https://youtu.be/bAe1p_zXtTs


Un de ses derniers concerts, ça sonne beaucoup métal que le rock punk des débuts.

KILLING JOKE - Live Full Set Performance - Bloodstock Open Air Metal Festival 2022.

https://www.youtube.com/watch?v=mPDQ9s2N-K4


Setlist

1 - Wardance 0:45
2 - The Fall of Because 4:24
3 - I Am The Virus 8:04
4 - Requiem 12:19
5 - We Have Joy 16:16
6 - Eighties 19:15
7 - Change 22:26
8 - Money Is Not Our God 26:27
9 - Bloodsport 31:52
10 - Exorcism 35:36
11 - The Death and Resurrection Show 41:43
12 - Total Invasion 47:44
13 - Loose Cannon 53:03
14 - The Wait 56:50
15 - Pssyche 1:00:45
16 - Pandemonium 1:05:40


Les débuts en live ! dans la mouvance rock punk de Police, des Sex Pistols et de Clash.

Killing Joke – The Peel Sessions 1979 - 1981

https://www.youtube.com/watch?v=fLX4oVELmkI


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A surveiller, il devrait y avoir probablement un hommage cette semaine au cours de l'émission "Very Good Trip" du passionnant et érudit Michka Assayas qui nous fait visiter les contrées magiques du rock, le plus souvent méconnues du grand public… sans oublier les standards !

En 1982, il était critique disque à la revue "Rock & Folk". J'aimais bien ses critiques tout comme celles d'un certain Laurent Chalumeau.

https:// www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/very-good-trip

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Passé un peu inaperçu...

Frank Borman, astronaute américain est mort le 7 novembre 2023.

Actualités du 8 Novembre 2023

Astronaute américain, commandant de la légendaire mission Apollo 8, pionnier de l’exploration spatiale, il avait dirigé la 1ère mission à s’être mise en orbite autour de la Lune en 1968.

Frank Borman, né le 14 mars 1928 à Gary (Indiana) et mort le 7 novembre 2023 à Billings (Montana), est un militaire, pilote d'essai, astronaute et homme d'affaires américain. Commandant de la légendaire mission Apollo 8, ce pionnier de l’exploration spatiale avait dirigé la première mission à s’être mise en orbite autour de la Lune, en 1968.

Peu avant d'obtenir son diplôme de la promotion de l'Académie militaire de West Point en 1950, Borman rejoint l'armée de l'air américaine (USAF). Il devient pilote de chasse et sert aux Philippines.

Diplômé en génie aéronautique au California Institute of Technology (Caltech) en 1957, il devient professeur assistant de thermodynamique et de mécanique des fluides à West Point. En 1960, il est sélectionné pour l'école des pilotes d'essai de l'United States Air Force de la base aérienne Edwards et passe avec succès son examen de pilote d'essai.

Borman est sélectionné comme astronaute de la National Aeronautics and Space Administration (NASA) en 1962 avec le groupe 2. En 1966, il établit un record d'endurance de quatorze jours en vol spatial en tant que commandant de Gemini 7, une mission du programme Gemini.

Intégrant le programme Apollo, il siège au comité d'enquête de la NASA sur le drame d'Apollo 1, puis devient en décembre 1968 le commandant d'Apollo 8, la première mission habitée à voler autour de la Lune. Pour cet exploit, il reçoit la Congressional Space Medal of Honor. Au cours de la première mission d'alunissage, Apollo 11, il est l'agent de liaison de la NASA à la Maison-Blanche et regarde le lancement de la mission à la télévision auprès du président des États-Unis Richard Nixon.

Après avoir pris sa retraite de la NASA et de l'armée en 1970, après quelques missions spéciales, il devient vice-président des opérations chez Eastern Air Lines, directeur général de la compagnie en 1975 et enfin président du conseil d'administration en 1976. Sous sa direction, Eastern Air Lines (EAL) devient particulièrement rentable, mais la déréglementation des compagnies aériennes et l'endettement provoquent des licenciements, puis des conflits avec les syndicats qui entraînent sa démission en 1986. Parti un temps au Nouveau-Mexique, il s'installe finalement en 1998 dans un ranch du comté de Big Horn dans le Montana.

À la mort de John Glenn en 2016, il était l'astronaute américain le plus âgé encore en vie.

Frank Borman est mort le mardi 7 novembre 2023, à l'âge de 95 ans, à Billings (USA, dans le Montana).

Celui qui a été le plus puissant allié d'Emmanuel Macron en 2017 et qui a contribué conjointement avec J.M. Aulas à la gloire de l'Olympique Lyonnais laissera une trace certainement très forte dans les souvenirs de la ville qu'il a conduite pendant près de 20ans.

Même les "Verts" qui l'ont chassé seront obligés de s'incliner et de lui rendre un dernier hommage.

Gérard Collomb, ancien maire de Lyon et ministre de l’intérieur, est mort à l’âge de 76 ans

Le critique et historien du cinéma, Michel Ciment s'en est allé le 13 novembre 2023.

Actualité du 15 novembre 2023

La célèbre voix de l'émission « Le Masque et la Plume » sur France Inter, Michel Ciment, s'en est allé le 13 novembre 2023, il avait 85 ans.

Michel Ciment, né le 26 mai 1938 à Paris, développe une passion précoce pour le cinéma, écrivant des textes sur cet univers qu'il publie dans la revue étudiante "CinémaTexte".

Michel Ciment : de critique de revue étudiante à officier de l'ordre des Arts et des Lettres
Après quelques publications, il devient critique pour la revue "Le Positif" en 1963, puis est nommé directeur de publication quelque temps plus tard. Au cours de sa carrière, il contribue à plusieurs ouvrages collectifs, écrit des livres, des recueils d'entretiens et des biographies, notamment sur Stanley Kubrick et le cinéma américain, comme "Les Conquérants d'un nouveau monde".

Membre et président d'honneur de la FIPRESCI et du Syndicat français de la critique de cinéma, il était surnommé par beaucoup comme le pape de la critique cinématogragraphique en France ». Michel Ciment assure également des cours sur la civilisation américaine en tant que maître de cérémonie honoraire à l'université Denis-Diderot-Paris VII.

Son aisance pour l'écriture lui vaut trois Prix littéraires du Syndicat français de la critique du cinéma en 1977, 1985 et 2014. Il reçoit également des distinctions honorifiques telles que chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'Ordre national du Mérite, et officier de l'Ordre des Arts et des Lettres.

Une longue histoire d'amour avec Radio France
Dans les années 70, Michel Ciment intègre en tant que critique l'une des plus anciennes émissions de radio françaises, « Le Masque et la Plume ». Chaque dimanche, dans cette émission aux thèmes variés, il prête sa voix pour la critique de films.

Parallèlement, cette fois-ci sur France Culture, il produit dans les années 90 "Projection privée". Il dirige cette émission jusqu'en 2016. Tout en restant critique sur « Le Masque et la Plume », il quitte l'émission le 24 septembre 2023 après plus de 40 ans de présence à l'antenne.

La Maison Blanche conserve. L'ancienne première dame Rosalynn Carter, la plus proche conseillère de Jimmy Carter pendant son unique mandat de président des États-Unis et pendant les quatre décennies qui ont suivi en tant qu'humanitaires mondiaux, est décédée à l'âge de 96 ans (dimanche 19 novembre).

Décès de Laurent Greilsamer, journaliste, ancien directeur adjoint du Monde, à 70 ans.