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Brexit: début des grands travaux de sortie pour Londres

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Pedru Pedru
31/03/2017 11:34:12
0
Cela ne va pas être très drôle pour nos « amis » britanniques, mais cela est peut être drôle …..pour les Suisses
  
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realnogains realnogains
30/03/2017 20:44:28
0
Les anglais

Ha les anglais un peuple à part :

Certains sont pète sec et de plus ils ont et font de la cuisine de M....

Il suffit de voir leur jelly ( beau mais beurck,certains aiment pas moi)

Sûr qu'ils commencent à pleurer ( certains ont déjà revendu leur maison en France acheté à la bonne époque de l'Euro)

Allez bonne soirée et bon apétit

Recette - Jelly anglaise | Notée 4.2/5 - 750g [http://www.750g.com/jelly-anglaise-r46914.htm_green]
la jelly anglaise sur www.750g.com
www.750g.com › Desserts › Goûter › Cuisine du monde

@ plus

  
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jipes jipes
30/03/2017 19:48:49
0
Encore plus drôle.
  
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nullos87 nullos87
30/03/2017 19:46:11
1
L'Angleterre avait les avantages de l'ue marché commun sans les inconvénient l 'euro.
Ils ont fait une belle erreur avec le brexit.
  
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Pedru Pedru
30/03/2017 19:37:21
1
La Paix n'a pas de prix
Et la Paix c'est d'abord UE
  
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jipes jipes
30/03/2017 17:06:14
0
Pedru, la liberté n'a pas de prix !
  
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Pedru Pedru
30/03/2017 16:47:24
1
colet
quand la monnaie baisse le pouvoir d'achat aussi, et l'inflation augmente
C'est pas la solution
  
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aliqujus aliqujus
30/03/2017 14:09:28
0

A colet / si j'ajoute que depuis 2012 ce déficit tourne autour de 53 milliards par an avec une belle régularité , c'est devenu un déficit structurel qui va s'accentuer dans un premier temps avec la baisse de la livre.
Si de plus la CITY , grande pourvoyeuse de devis baisse ce qui semble probable ?
  
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aliqujus aliqujus
30/03/2017 14:03:35
1

a colet


certes mais les importations sont plus chère , si l'ECOSSE vote pour l'indépendance pour revenir à l'EUROPE , les puits de pétrole étant majoritairement chez eux la douloureuse pour l'énergie leur sera vraiment douloureuse
  
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colet colet
30/03/2017 11:10:48
1
et avec une monnaie plus faible, les produits GB seront plus compétitifs alors ???
on se tournera plus vers l'est mais l'ouest alors ?
  
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nullos87 nullos87
30/03/2017 11:08:18
0
Je trouve étonnant que le brexit est plus dopé le cac qu autre chose. Il y a eu la panique au lendemain du brexit. Mais depuis, tout le monde est zuphorique.
  
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aliqujus aliqujus
30/03/2017 08:27:47
1
Les ANGLAIS pensent que l'importance de leurs accords commerciaux avec leur ex-colonies et ceux qui les lient aux U S A leur donnera des avantages considérables en quittant l'EUROPE ; ils semblent oublier que ces accords existent déjà en plus de ceux de l'EUROPE;

Si une partie du peuple le pense il semble que ce ne soit pas le cas du gouvernement actuel qui annonce d'ores et déjà les ouvertures pour faire du commerce avec l'EUROPE c'est à dire bénéficier e l'EUROPE sans en avoir les charges.

Mais il semblerai que les EUROPEENS n'aient guère apprécié de les voir quitter le navire pendant la tempête , vieille habitude des ANGLAIS ; il va être passionnant de lire la suite dans les deux ans qui viennent.

  
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aliqujus aliqujus
30/03/2017 08:27:47
1

Un pub d'Edimbourg diffuse la remise de la lettre déclenchant le Brexit au président du Conseil européen Donald Tusk (D), le 29 mars 2017 (AFP/Andy Buchanan)

Le Brexit officiellement enclenché, le Royaume-Uni se prépare à des négociations de longue haleine pour décrocher le meilleur accord à ses yeux avec Bruxelles tout en commençant à expurger le droit britannique des lois européennes.

Dès jeudi, le gouvernement de Theresa May va publier le livre blanc d'un projet de loi baptisé "Grande abrogation" (Great repeal Bill), visant à abolir le Code de la loi de 1972 qui a permis d'incorporer la législation européenne au droit britannique.

L'objectif est de convertir ces lois européennes en lois nationales, quitte à en conserver certaines jugées nécessaires tout en éliminant les autres.


L'ambassadeur britannique auprès de l'Union européenne Tim Barrow (G) remet à Donald Tusk, président du Conseil européen, la lettre de Theresa May lançant la procédure sortie du Royaume-Uni, le 27 mars 2017 Bruxelles (POOL/AFP/Archives/YVES HERMAN)

Cela "va clarifier la façon dont nous allons transposer pas seulement les acquis mais aussi les jugements significatifs de la Cour de Justice européenne", a assuré Mme May mercredi devant les députés britanniques.

Avec près de 19.000 lois européennes en vigueur, la tâche s'annonce immense et devrait se faire par étape pour éviter un saut dans le vide juridique.


Le processus du Brexit (AFP/Kun TIAN, Sophie RAMIS, Alain BOMMENEL, Gillian HANDYSIDE)

Tout aussi ardues seront les négociations de sortie avec l'UE à 27, prévues pour durer deux ans.

Theresa May a indiqué vouloir conclure "un partenariat étroit et spécial qui porte sur une coopération économique et sécuritaire". Elle a également réclamé que ces négociations de sortie se déroulent en parallèle de celles du nouvel accord qui liera son pays à l'UE.

Une demande que la chancelière allemande Angela Merkel a immédiatement retoqué.

Avant de parler avenir, "il va falloir d'abord clarifier comment délier" les liens tissés pendant 44 ans, a-t-elle dit.

- "Chantage" sur la sécurité -


Des partisans du maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne manifestent devant le Parlement britannique, le 29 mars 2017 à Londres (AFP/OLI SCARFF)

Jeudi, la dirigeante allemande sera à La Valette pour le congrès du Parti populaire européen (PPE) qui rassemble les partis conservateurs européens.

L'occasion de faire un premier point entre Européens puisque le président du Conseil européen Donald Tusk, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy seront également présents.


Dans une salle de marché à Londres, pendant le discours de Theresa May au Parlement britannique, le 29 mars 2017 (AFP/CHRIS J RATCLIFFE)

Puis vendredi, Donald Tusk proposera des "orientations de négociations", qui traceront en des termes généraux les lignes rouges et le cap à respecter aux yeux de l'UE pour aboutir à un accord de sortie. Elles seront soumises aux dirigeants des 27 pays européens lors d'un sommet le 29 avril à Bruxelles.

Avant ça, le Parlement européen votera le 5 avril en plénière à Strasbourg son propre texte, qui prévient "qu'un accord sur une future relation (...) ne peut être conclu qu'une fois que le Royaume-Uni se sera retiré de l'UE".

L'UE "agira de manière unie et préservera ses intérêts", a d'ores et déjà prévenu le Conseil européen.

Si Mme May et Bruxelles semblent prêts à trouver un accord sur les droits des immigrés européens, la facture de sortie que Bruxelles compte présenter à Londres au titre des engagements déjà pris devrait constituer un sévère point de friction.

"Il n'y a pas de demande formelle", a dit Mme May sur la BBC mercredi soir, ajoutant que son pays "respectera ses obligations".

Son ministre des Finances Philip Hammond avait toutefois prévenu plus tôt que Londres "ne reconnaît pas les montants parfois très importants qui ont circulé à Bruxelles".


Des membres et des proches du parti UKIP célèbrent le déclenchement du Brexit, le 29 mars 2017 à Bruxelles (AFP/Aurore Belot)

La note est évaluée par les Européens entre 55 et 60 milliards d'euros.

Dans sa lettre de rupture adressée à M. Tusk mercredi, Mme May semble mettre dans la balance des négociations la poursuite de la coopération en matière de sécurité.

Alors que "la sécurité en Europe est plus fragile aujourd'hui qu'elle ne l'a jamais été depuis la fin de la Guerre froide, affaiblir notre coopération pour la prospérité et la protection de nos citoyens serait une erreur coûteuse", a-t-elle écrit.

"C'est important pour nous et je veux continuer à avoir la même coopération mais cela fera partie de l'accord global", a-t-elle ensuite dit sur la BBC.

Une menace voilée que Guy Verhofstadt, référent du Parlement européen pour les négociations du Brexit, n'a guère appréciée. "La sécurité de tous les citoyens est un sujet bien trop grave" pour faire l'objet de "chantage", a-t-il réagi.

© 2017 AFP

  
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