Accord-BIDON du 2 juin 2017
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Bien je suis d accord
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Il y a une fédération d'actionnaires individuels qui se constitue nous sommes déjà 110, représentant presque 1% du capital.
https://actionnairesminoritairescgg.fr/
https://actionnairesminoritairescgg.fr/
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Bravo la Direction ...
Vous vous couchez devant des fonds activistes vautours qui vont posséder 90%, voire 97% de la société dans le pire des cas, pour la céder sans doute ensuite à un grand du para-pétrolier, ou la vendre en pièces détachées. L'objectif étant de faire un megaprofit sur le dos des actionnaires qui vous ont aidé à restructurer la boîte lorsque vous étiez dans la panade totale, en vous apportant 350 millions € d'argent frais.
Mais rassurez vous, vous n'en avez plus pour longtemps. Ils vous feront faire les basses besognes et vous serez virés.
L'action était à 22 / 25 € il y a un an et maintenant, vous allez laisser aux actionnaires, dans l'hypothèse de base, 3% du capital restant ... sachant qu'elle a été divisée par 4 avec votre remarquable management.
Quelle reconnaissance pour services rendus !
Et Mr Macron qui veut encourager l'investissement ... Si c'est pour laisser faire ça, nous doutons qu'il trouve beaucoup d'actionnaires.
L'Etat ne peut laisser faire ce hold-up, d'autant plus qu'un certain Benoît Ribadeau-Dumas était cadre dirigeant de CGG jusqu'en 2015. Nice job, guy !
DNCA: Ils ont pour moins de 10 millions € d'actions pour 150 à 160 millions de dette détenue. En fait, ce ne sont pas des actionnaires mais des créditeurs, et Ils vont voter pour le plan en rinçant les actionnaires (et perdre un peu sur leurs actions) pour empocher le jackpot sur leur dette. Cette boîte qui draine l'argent d'épargnants français pactise donc avec les fonds-vautour US. En 40, ça se serait appelé de la collaboration.
Bien sûr, ils ont signé l'accord..
Les Créditeurs : Ils se servent de façon éhontée sur une boîte en difficultés en apportant de la dette (375 M€) à près de 13% ... Puis en se prenant pour cette "générosité" 18,5% de free shares (capital gratuit) puis des fees cash de 10% pour garantir l'apport de dette.
En d'autres termes : un racket !
Tous les actionnaires se fédèreront et contraindront une Direction vendue aux fonds-vautours US à coller à la solution de référence BPI-AMS.
C'est l'Assemblée Générale, et elle seule, qui dispose des pouvoirs de décision. Il n'y aura aucune concession.
Les fonds-vautour US ont tout à perdre, alors que l'immense majorité des actionnaires à déjà quasiment tout perdu.
Albert Camus écrivait en 1951 dans "L'Homme Révolté" : "Plutôt mourir debout que vivre à genoux".
C'est déjà fait pour les actionnaires. Dont acte. Mais les fonds-vautour US ne voudront pas mourir debout vu l'ampleur de leur créance. Les actionnaires ont la responsabilité (et la possibilité), sinon de les mettre complètement à genoux, du moins de leur faire courber l'échine.
La lutte sera totale.
Vous vous couchez devant des fonds activistes vautours qui vont posséder 90%, voire 97% de la société dans le pire des cas, pour la céder sans doute ensuite à un grand du para-pétrolier, ou la vendre en pièces détachées. L'objectif étant de faire un megaprofit sur le dos des actionnaires qui vous ont aidé à restructurer la boîte lorsque vous étiez dans la panade totale, en vous apportant 350 millions € d'argent frais.
Mais rassurez vous, vous n'en avez plus pour longtemps. Ils vous feront faire les basses besognes et vous serez virés.
L'action était à 22 / 25 € il y a un an et maintenant, vous allez laisser aux actionnaires, dans l'hypothèse de base, 3% du capital restant ... sachant qu'elle a été divisée par 4 avec votre remarquable management.
Quelle reconnaissance pour services rendus !
Et Mr Macron qui veut encourager l'investissement ... Si c'est pour laisser faire ça, nous doutons qu'il trouve beaucoup d'actionnaires.
L'Etat ne peut laisser faire ce hold-up, d'autant plus qu'un certain Benoît Ribadeau-Dumas était cadre dirigeant de CGG jusqu'en 2015. Nice job, guy !
DNCA: Ils ont pour moins de 10 millions € d'actions pour 150 à 160 millions de dette détenue. En fait, ce ne sont pas des actionnaires mais des créditeurs, et Ils vont voter pour le plan en rinçant les actionnaires (et perdre un peu sur leurs actions) pour empocher le jackpot sur leur dette. Cette boîte qui draine l'argent d'épargnants français pactise donc avec les fonds-vautour US. En 40, ça se serait appelé de la collaboration.
Bien sûr, ils ont signé l'accord..
Les Créditeurs : Ils se servent de façon éhontée sur une boîte en difficultés en apportant de la dette (375 M€) à près de 13% ... Puis en se prenant pour cette "générosité" 18,5% de free shares (capital gratuit) puis des fees cash de 10% pour garantir l'apport de dette.
En d'autres termes : un racket !
Tous les actionnaires se fédèreront et contraindront une Direction vendue aux fonds-vautours US à coller à la solution de référence BPI-AMS.
C'est l'Assemblée Générale, et elle seule, qui dispose des pouvoirs de décision. Il n'y aura aucune concession.
Les fonds-vautour US ont tout à perdre, alors que l'immense majorité des actionnaires à déjà quasiment tout perdu.
Albert Camus écrivait en 1951 dans "L'Homme Révolté" : "Plutôt mourir debout que vivre à genoux".
C'est déjà fait pour les actionnaires. Dont acte. Mais les fonds-vautour US ne voudront pas mourir debout vu l'ampleur de leur créance. Les actionnaires ont la responsabilité (et la possibilité), sinon de les mettre complètement à genoux, du moins de leur faire courber l'échine.
La lutte sera totale.
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