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Industrie: Le Maire juge possible de "rattraper" l'Allemagne

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fipuaa fipuaa
25/06/2017 08:39:08
0
@SimonCh


La consommation : c'est toute "la magie" du rêve capitaliste libéral!
On fait bosser des robots qu'on ne rémunère donc pas en attendant qu'ils consomment pour enrichir le patron lol de lol
un système plus débile tu meurs !

  
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SimonCh SimonCh
24/06/2017 23:06:21
0
fipuaa fipuaa
24/06/2017 22:52:11
2
c'est un énarque donc c'est cuit !
  
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moicmoi moicmoi
24/06/2017 22:10:58
1

CRI74

Veuillez accepter mes excuses, mon ami.
J’ignorais que Le Maire (puisque c’est de lui, et de lui seul que l’on parle ) était de la société civile.
Je le croyais fonctionnaire, et je croyais qu’il avait démissionné récemment (en 2012) pour continuer à faire de la politique. Me trompes-je ?

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Le_Maire

Mais bien évidemment, vous nous direz que wikipédia est un site de bas caniveau ?
Une fois de plus, vous êtes hors sujet.

  
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CRI74 CRI74
24/06/2017 00:17:15
0
Je vois que la société civile très largement représentée dans l'exécutif ne semble plus jouir des compétences si souvent mises en exergue par certains qui l'appelait de leurs voeux et dénigrent aujourd'hui à tours de bras.
Retournement de veste étonnant puisque maintenant tout le monde est mis dans le même sac pour assouvir des basses oeuvres politiciennes .
Attendons déjà de voir avant de juger par anticipation mal placée même s'il on peut craindre qu'une politique par trop libérale n'amène qu'à des résultats toujours déprimants
  
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moicmoi moicmoi
23/06/2017 22:13:17
5
« Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a jugé vendredi que la France pouvait "rattraper" l'Allemagne en matière industrielle, à condition d'investir massivement dans "l'innovation" et dans la "haute technologie". »

Il est bien gentil, bien mignon, Le Maire. Gentil- mignon, mais peut-être pas très au fait de la gestion d’entreprise.
Il oublie juste quelques tout petits détails :

Petit a : pour investir, une entreprise doit disposer de capitaux
Petit b : pour investir, une entreprise doit être sûre d’avoir un carnet de commande bien étoffé.
Petit c : pour investir, une entreprise doit être compétitive afin d’assurer son avenir
Petit d : pour investir, une entreprise doit avoir de la visibilité quant à la fiscalité et aux contraintes administratives et salariales.

« même si l'Allemagne a aujourd'hui une avance importante, nous pouvons rattraper les Allemands »

CQFD ! Yaka ! Comme on dit chez moi : dans une langue y’a pas d’os.

Rattraper un retard important, voire très important ? Y’a qu’à la télé qu’on voit ça. Dans les feuilletons à l’eau de rose et au coulis de framboise.
Allez demander à un marathonien qui a 4 heures de retard, quelles sont ses chances de monter sur la plus haute marche du podium. A moins que tous les compétiteurs défaillent.....

Dans le monde des affaires, c’est un peu plus compliqué.
Qu’est-ce qu’il en connaît de l’entreprise, ce guignol ? Combien de sociétés a-t-il brillamment dirigées ?
Le Maire se serait-il procuré la méthode Assimil : devenir Harry Poter en 10 leçons ?

Ce n’est pas en visitant une usine nettoyée de fond en comble, balayée à l’O Cedar, ripolinée, chromes "peau de chamoisés", désinfectée au Mr Propre, ouvriers dotés d’une tenue de travail flambant neuve pour la circonstance,….que l’on peut connaître à fond le fonctionnement de l’entreprise.

« nous avons un atout, c'est d'être très fort sur la révolution digitale" » qu’il a dit.

En oubliant de préciser qu'il n'y est pour rien, donc le "nous" est une usurpation, et que nous traînons un boulet : une fiscalité confiscatoire et des politicards ignorants des choses de la vie de l’entreprise. Et de la vie tout court.

Si les charlots qui tiennent les rênes de la France ne changent pas radicalement, non seulement nous ne rattraperons jamais l’Allemagne, mais nous serons dépassés par l’Espagne, le Portugal, l’Italie, et même par la Grèce.

Il risque de se trouver bientôt en conflit avec son patron, le père Le Maire .

  
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robespaul robespaul
23/06/2017 21:00:25
0
hahaha ! le grand bond en avant ...

je crains le pire !
  
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SimonCh SimonCh
23/06/2017 20:16:04
2
Et ce n'est pas non plus en traitant des ouvriers désespérés de pignoufs qu'on y arrivera. Et encore moins en delocalisant et en crachant a la gueule des salariés ;)
  
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dematons dematons
23/06/2017 20:02:28
1
Ce n'est pas en soutenant les voyous qui ont détruit leurs machines outils et en forçant la main à Renault et Peugeot, et en mettant son nez dans les entreprises, qu'on rattrape l'Allemagne !!!
  
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dematons dematons
23/06/2017 20:02:28
0

Bruno Le Maire (à droite) et Benjamin Griveaux (à gauche) en visite dans une entreprise à Saint-Leu-la-Foret le 23 juin 2017 (AFP/ALAIN JOCARD)

Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a jugé vendredi que la France pouvait "rattraper" l'Allemagne en matière industrielle, à condition d'investir massivement dans "l'innovation" et dans la "haute technologie".

"Il faut investir le plus possible dans l'innovation, être capable de porter notre industrie vers les technologies de pointe", a déclaré le ministre, connu pour son attachement au moteur franco-allemand, à l'occasion de son premier déplacement de terrain avec son secrétaire d'Etat Benjamin Griveaux.

"Je considère qu'en matière industrielle, même si l'Allemagne a aujourd'hui une avance importante, nous pouvons rattraper les Allemands et créer un tissu industriel très puissant, parce que nous avons un atout, c'est d'être très fort sur la révolution digitale" (numérique), a-t-il ajouté.

Le ministre LR, qui s'exprimait en marge d'une visite de l'entreprise Erpro & Sprint, dans le Val-d'Oise, a assuré qu'il travaillerait "main dans la main" avec son secrétaire d'Etat, un proche d'Emmanuel Macron, afin de "relancer" l'industrie hexagonale.

"L'objectif n'est pas de garder toutes les activités industrielles possibles et inimaginables. L'objectif, c'est de tenir le cap: l'industrie de pointe, de la haute technologie, qui nous permettra de réussir dans la mondialisation", a déclaré le ministre.

"Notre conviction commune, c'est qu'il y a un avenir industriel aujourd'hui dans ce pays", a abondé Benjamin Griveaux, jugeant possible de "pérenniser des emplois non délocalisables" en mettant en place des "écosystèmes vertueux".

Selon l'Insee, la part de l'industrie manufacturière dans la valeur ajoutée totale en France est passée de 22,3% en 1970 à 11,2% en 2014. En Allemagne, la part de l'industrie s'est stabilisée à près de 22% depuis le milieu des années 1990.

© 2017 AFP

  
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