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Les cotisations sociales baisseront de deux points dès janvier, selon

Cours temps réel: 8 016,65  -0,93%



sergiobress sergiobress
25/08/2017 18:00:58
2
à Moicmoi,
"Ce qui permet de mettre la défiance des retraités en veilleuse, en sachant bien que les retraités n’occupent jamais la rue, et n’ont pas l’habitude de bloquer l'économie".
Il est vrai que les retraités ne vont pas souvent dans les manifs , ils ne bloquent pas l'économie mais peuvent gravement l'amputer en désertant le pays, ce qui est encore plus grave.
Ce qu'ils cherchent nos dirigeants c'est une petite révolution, mais dans le sens où ils vont, nous allons y arriver, peut être plus vite qu'ils ne pensent, car en ayant piétiné tout ceux qui avaient voté pour lui (étudiants, retraités, la presse, etc) ; il ne restera pas grand chose à se mettre sous la dent aux prochaines élections, s'il y en a ...........
  
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colet colet
25/08/2017 17:05:40
1
pff sacré scribe !


et les indépendants ? leurs charges vont augmenter ... tout comme la CSG !


bref encore moins de fric, scirbouaillard !
merci MACRON ?
lamentable de gaber tout ce qu'on veut nous faire avaler
perso je ne le digère pas !
  
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moicmoi moicmoi
24/08/2017 13:07:15
2
millo
« « Mr Macron décide de taxer les retraités de 1.7% DE CSG supplémentaire » »

Macron n'a jamais annoncé un pourcentage.
Dans sa campagne, il l’avait annoncé, qu’il allait augmenter la CSG payée par les retraités de 1.7 POINT .
Des POINTS, et non pas un pourcentage. Mais des POINTS de quelle base ? De quelle échelle ? 1 point d’une échelle de 1 à 10, cela représente 10 % . CQFD !
Cela, jamais ni macron, ni ses ministres ne l’ont précisé ! Et pour cause.

Tout le monde pense à 1.7 % d’augmentation. Ce qui est une erreur., car 1.7 POINT de l’échelle de 15 % de CSG, cela fait 11 % !
Quelques journalistes branchés économie l’ont clairement écrit et dénoncé, mais bizarrement, depuis l’élection présidentielle, on ne les entend plus . Sur mot d’ordre (de la boucler) ? Sur pression ?
Ce qui permet de mettre la défiance des retraités en veilleuse, en sachant bien que les retraités n’occupent jamais la rue, et n’ont pas l’habitude de bloquer l’économie . Et comme on ne pourra plus réagir quand la loi sera actée…….on aura la surprise au moment de cracher au bassinet.
Mettez mon post de côté, et dès janvier, vous aurez l’occasion de me traiter soit de con, soit de réaliste.

  
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millo millo
24/08/2017 11:47:02
0
Mr Macron décide de taxer les retraités de 1.7% DE CSG supplémentaire à partir de 1950 euros mensuels
Soit une retraite qui n'est qu'une redistribution partielle de sa cotisation pendant l'activité.
Soit un salaire déjà taxé tout au long de sa vie active

Soit une retraite, déjà diminuée car désindexée sous Hollande,
Soit une retraite dont la même CSG avait déjà été augmentée sous Sarkosy
Soit une retraite que les hausses d'impot sous Hollande ont également amputée.
Le bénéficiaire est le travailleur, donc c'est l'ancien travailleur qui paye pour le nouveau travailleur!!! Riche idée mais alors:A quoi sert le gouvernement qui dans le meme temps ne fait aucune économie comme annonçé, ne réduit pas les fonctionnaires comme annonçé, ne réforme pas les retraites des fonctionnaires (age de la retraite etc..)Comportement voyoucrate qui ne sait que tirer sur les ambulances.L'escroquerie commencée sous Hollande continue de plus belle avec Macron:Cela va durer encore 5 ans!! Merci aux électeurs clairvoyants
  
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millo millo
24/08/2017 11:34:47
0
Mr Macron décide de taxer les retraités de 1.7% DE CSG supplémentaire à partir de 1950 euros mensuels
Soit une retraite qui n'est qu'une redistribution partielle de sa cotisation pendant l'activité.
Soit un salaire déjà taxé tout au long de sa vie active

Soit une retraite, déjà diminuée car désindexée sous Hollande,
S
  
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millo millo
24/08/2017 11:34:47
0

Le Premier ministre Edouard Philippe à sa sortie de l'Elysée, le 9 août 2017 (AFP/Archives/bertrand GUAY)

Cotisations sociales, CSG, APL... le Premier ministre Edouard Philippe a tenté jeudi de déminer le terrain fiscal à l'approche de la rentrée, sans entrer dans le détail sur les questions sociales sensibles, dont la réforme du code du travail.

Interrogé sur BFM TV/RMC, le chef du gouvernement a précisé la trajectoire de la baisse des cotisations sociales promise par Emmanuel Macron, après l'annonce la veille par Bercy que cela se ferait en deux temps en 2018.

"Je vous ai dit qu'on allait baisser les cotisations sociales de 3,15 points" en 2018, a-t-il déclaré.

"On va les baisser de plus de deux points au 1er janvier et à la rentrée de septembre-octobre, on va les baisser d'un peu moins d'un point", a-t-il détaillé, affirmant que cela occasionnerait "un gain de pouvoir d'achat considérable" pour les actifs.

A l'annonce mercredi de cette baisse en deux temps en 2018, et non en une seule fois, certains commentateurs ont estimé que l'effet en janvier sur la fiche de paie des salariés serait peu visible et que de fait, la réforme serait difficile à défendre.

Car en parallèle, le gouvernement va augmenter dès le 1er janvier de 1,7 point la Contribution sociale généralisée (CSG) pour compenser cette baisse des cotisations sociales, une mesure qui va toucher aussi les retraités.

Face aux reproches d'un auditeur sur cette décision, M. Philippe a fait valoir que la CSG était "perçue sur l'ensemble des recettes" et "pas simplement sur les plus petits contribuables". "Elle est également perçue sur les revenus du capital", a-t-il souligné.

M. Philippe a par ailleurs réitéré l'engagement du gouvernement de supprimer la taxe d'habitation.

- "pas intelligent" -

"Nous avons prévu une mesure qui va nous permettre de baisser le produit, le versement de la taxe d'habitation, à hauteur de 3 milliards" dès 2018, a-t-il indiqué, affirmant que "30% des Français" bénéficieraient de cette mesure l'an prochain.

Matignon a ensuite rectifié les propos du Premier ministre et indiqué à l'AFP que ces 3 milliards correspondaient à une baisse de 30% de la taxe d'habitation pour 17 millions de foyers.

Interrogé sur la baisse de 5 euros des APL (Aides au logement) à partir d'octobre, M. Philippe a convenu que ce n'était "pas intelligent".

"Évidemment que c'est pas intelligent, c'est une mesure de rabot, les mesures de rabot ce ne sont jamais de bonnes mesures, jamais intelligent de faire du rabot", a-t-il poursuivi.

Mais pour le Premier ministre, "la baisse générale des APL est contenue dans le budget précédent, que je n'ai pas voté mais que j'exécute", a dit M. Philippe qui assure que le gouvernement précédent "n'a pas mis en œuvre" cette mesure.

"C'est cité dans le rapport de la Cour des comptes qui dit: il y a une mesure qui aurait dû être prise et qui n'a pas été prise", a déclaré le Premier ministre.

Sur le front social, alors que le gouvernement et les partenaires sociaux ont entamé cette semaine leur ultime round de négociations autour des ordonnances réformant le code du travail, M. Philippe est resté plus évasif et a refusé d'entrer dans le détail des discussions.

Il s'est en revanche exprimé sur les contrats aidés, réévaluant à 320.000 le nombre de contrats aidés pour 2017. Mais il a laissé entendre que le tour de vis serait beaucoup plus fort en 2018, tout en assurant que le gouvernement ferait "en sorte que l'utilisation des contrats aidés dans l'éducation nationale et les outre-mer soit préservée".

Pour le reste, "on veut très fortement changer la logique", et les moyens seront utilisés pour "financer des formations individualisées qui permettent un retour durable à l'emploi", a-t-il dit.

© 2017 AFP

  
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