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Re:Le gouvernement dévoile devant le Medef sa feuille de route fiscale

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gars d'ain gars d'ain
30/08/2017 18:12:41
2
En fait, je pense qu'il transpire qu'actuellement trop d'argent va sur l'immobilier et on souhaite éviter les problèmes sous-jacents de bulles immobilières avec des résidences étudiants financées à vil prix par les APL et les appartements défiscalisés construits en grande série et dont certains peinent à être loués...

Pour moi encore, il y a un certain bon sens la-dedans, mais attendons de voir : de toute façon, il restera pleins de solutions aux riches propriétaires immobilier pour transmettre son patrimoine et donc minorer sa valeur, notamment avec la nue-propriété ou encore en isoler sa valeur au sein dé véhicules d'investissement...

Et comme d'hab, ils trouveront des niches de contournements....

Par contre, j'attends de voir ce qui sera proposé aux détenteurs de compte-titre comme fiscalité, il semblerait que ça veuille évoluer pour les dividendes...


  
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sergiobress sergiobress
30/08/2017 18:10:15
2

Le piniouf de GATTAZ (copain de MACRON) ne va pas être content ; à vrai dire il ne représente pas grand chose si ce n'est que quelques entreprises du CAC40, les petites et moyennes entreprises ne l'intéressent pas.
Depuis qu'il est à ce poste, qu'est-ce qu'il a fait de bien ? Rien si ce n'est de dépenser notre argent, à dégager au plus vite.

Message complété le 30/08/2017 18:20:19 par son auteur.

Un vrai parasite ce type ......

  
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moicmoi moicmoi
30/08/2017 18:09:24
3
« « Sept ministres et secrétaires d'Etat doivent ainsi se succéder devant les chefs d'entreprise, » »
Rien que ça .
Ils n’ont donc rien à foutre dans leurs ministères ? Sept ministres et secrétaires d'Etat se déplaceront, pour raconter les mêmes fadaises, les mêmes litanies….. Le Maire serait donc incapable de faire passer le message ? Il lui faut toute la cavalerie derrière ?
Combien ça va nous coûter ? Combien de flics en protection pendant que les terroristes se baladent tranquillement ?
On cherche des milliards à économiser….sur le dos des retraités.

Message complété le 30/08/2017 18:11:08 par son auteur.

Et pourquoi pas le Gvt au grand complet pour se rendre au rendez-vous patronal, qui se tient sur le campus d'HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines)

  
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jipes jipes
30/08/2017 17:36:43
2
J'oubliais une "écurie de chevaux" (certains pur-sangs valent leur pesant d'or quand une saillie est rémunérée 70'000 euros voire plus).
  
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jipes jipes
30/08/2017 17:12:51
3
"Le ministre de l'Economie devrait également acter la transformation de l'impôt sur la fortune (ISF) en impôt sur la fortune immobilière (IFI), centré sur le seul patrimoine immobilier"

Encore un coup de pouce de plus aux nantis.
Un parc de voitures (Rolls Royce, Ferrari, Maserati, etc.), un yacht (même battant pavillon des ìles anglo-normandes), des portefeuilles ou des comptes métaux (or, argent, platine, palladium, etc.), des tableaux de maîtres devraient être assimilés à des éléments de fortune et de ce fait imposés au même titre que l'immobilier.
  
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jipes jipes
30/08/2017 17:12:51
0

Bruno Le Maire et Gérald Darmanin sont chargés de vanter la volonté de réforme du gouvernement devant un parterre de chefs d'entreprises à Jouy-en-Josas (AFP/Archives/Martin BUREAU)

Impôt sur les sociétés, ISF, CICE : le gouvernement doit préciser mercredi après-midi sa feuille de route fiscale en dévoilant, lors de l'université d'été du Medef, les détails des réformes prévues pour les entreprises, très attendues par les patrons.

L'exécutif a choisi la tribune offerte par le rendez-vous patronal, qui se tient sur le campus d'HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines), pour faire oeuvre de pédagogie auprès des entrepreneurs, à moins d'un mois de la présentation du projet de loi de finances pour 2018, prévue le 27 septembre.

Sept ministres et secrétaires d'Etat doivent ainsi se succéder devant les chefs d'entreprise, dont le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire et celui de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin, afin de vanter la volonté de réforme du gouvernement.

"La partie fiscale est un objet important pour envoyer des messages forts aux dirigeants et aux financiers, pour leur dire que la France prend un autre chemin", estime François Enius, fondateur de WKG Corporate, une entreprise d'une dizaine de salariés spécialisée dans l'accompagnement stratégique des dirigeants.

Bercy a déjà indiqué à l'AFP que la baisse de l'impôt sur les sociétés (IS), que le gouvernement souhaite ramener à 25% d'ici à la fin du quinquennat, serait uniforme pour toutes les entreprises quelle que soit leur taille à partir de 2019, contrairement à ce qui était jusque-là prévu.

Le niveau de l'IS en France, hors taux réduit, est actuellement proche de 33%. Il est régulièrement critiqué par le patronat, pour qui les entreprises hexagonales sont défavorisées face à leurs concurrentes de pays à la fiscalité plus clémente, comme l'Irlande (12,5%) ou le Royaume-Uni (19%).

La trajectoire de baisse passera par un taux de 28% en 2018 pour les entreprises faisant moins de 500.000 euros de bénéfices, comme le prévoyait l'ancien gouvernement, a précisé Bercy, confirmant une information des Echos.

Mais à partir de 2019, le taux sera abaissé de la même manière pour toutes les entreprises, avec des étapes à 31% en 2019 -- avec maintien du taux à 28% pour les bénéfices inférieurs à 500.000 euros --, puis à 28% en 2020, 26,5% en 2021 et 25% en 2022.

- Les PME contrariées -

Le précédent gouvernement avait prévu une baisse progressive de l'impôt sur les sociétés à 28% d'ici 2020, mais avec des élargissements progressifs en fonction de la taille des entreprises et du montant de leur bénéfice.

Une décision destinée à favoriser les PME mais qui avait l'inconvénient, selon le gouvernement, de manquer de clarté.

Autre modification par rapport à la trajectoire prévue par l'ancienne majorité: le taux réduit de 15% réservé aux petites PME ne sera pas élargi aux grosses PME.

La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a dit "regretter que la trajectoire de baisse retenue (...) soit différente de celle adoptée à l'automne dernier qui favorisait en priorité les PME en élargissant progressivement la baisse en fonction de la taille des entreprises" et "déplorer" l'abandon de l'élargissement du taux réduit aux grosses PME.

Pour Jean-François Faure, président du site d'achat de métaux en ligne Aucoffre.com, cette annonce est "très un mauvais signal" envoyé aux petites entreprises, "venant d'un président et d'un ministre qui avaient soutenu les start-up".

Selon Bercy, le taux à 15% sera toutefois conservé pour les entreprises qui en bénéficient actuellement.

Lors de son discours, Bruno Le Maire devrait par ailleurs confirmer la transformation du Crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE), créé sous François Hollande, en baisses de cotisations pérennes en 2019.

Le ministre de l'Economie devrait également acter la transformation de l'impôt sur la fortune (ISF) en impôt sur la fortune immobilière (IFI), centré sur le seul patrimoine immobilier.

© 2017 AFP

  
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