Re:Macron entend "l'impatience du peuple" mais demande à être jugé sur

moralite: quand bubu n'a pas bu il a pas de Waine

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Et moi g pas d'waine .....

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G bubu ...




et à la droite c'est qd on est veuf en France ...?...

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Salut Wayne,


Qu'as-tu bu cet après midi ?
Pour ma part, quand on est marié, on met l'alliance à la main gauche.
Ce qui me semble être le cas pour notre Président.
Par contre, l'anneau de la main droite, pour qui serait-il ?

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disons que madame doit être "morte" sur certains "usages" lol de lol

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Rien à voir mais ...




je viens de remarquer sur la photo que notre président à 2 anneaux dont un sur chaque auriculaire si je ne me trompe ...


En France, qd on le met sur la main droite c'est pour signifier que l'on est marié. Et sur la main gauche que l'on est veuf .


Serait ce de l'anticipation ? ...


Un président visionnaire, c'est ça qui nous manquait .....

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@ whatelse,


C'est bien gentil tout ce que tu nous racontes. Mais pour qui as-tu voté ? Comme ce n'est certainement pas pour Marine Le Pen, tu devais t'attendre à ce qui allait se passer.
Ou alors te serais-tu fait avoir comme tu l'as été avec François Hollande ?

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Tous les présidents et députés assument les efforts demandés au peuple, mais ils ne demandent aucun effort aux politiques.
En fait, ils n'assument que nos efforts. Les politiques sont comme les généraux pendant les guerres, ils envoient les hommes au casse pipe et eux retirent la gloire en cas de victoire. Les politiques nous demandent des efforts pour que eux puissent continuer à vivre royalement et à l'occasion, retirer la gloire, si nos efforts portent leurs fruits pour le pays. Mais vous avez remarqué, il était demandé au ministère de n'avoir que 10 conseillés, pratiquement tous les ministres trichent.

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Quand un président est mauvais et que son gouvernement est incompétent les Français non pas besoin de 5 ans pour le voir en 3 mois nous avons une idée de ce qu'il va se passer .... retour aux années 1930 pour les salariés avec la législation du travail , retour de l'esclavage des salariés , assassinats des salariés car dans la loi Macron l'accident de travail devient légal ....baisse des salaires et des retraites , coût de la vie en augmentation et bien sur baisse du pouvoir d'achat depuis plus de 15 ans les Français ont perdu 25% de pouvoir d'achat et pour 2017 ce sera 6% ... Alors oui une bonne révolution est la seule solution aux problèmes de la France ... Nous allons devoir passer le karcher dans tout les ministères et institutions Français .... stop à la mafia politicienne et véreuse , des têtes seront coupés.

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Oh pour ça, il y en a qui vont casquer !!! plus de cdi pour les jeunes, allez y pour acheter votre maison ... et la mondialisation n'aura que du bon, mais pas pour la France.
Vous l'avez voulu alors payez maintenant, et comme dises les médias en ce moment, les Français veulent du changement et bien vous serez servis

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avec le temps va tout c en va , les moutons ont tout le temps Manuela va y tu peut tondre le
petit peuple beyyyyyyy

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En chute dans les sondages après trois mois à l’Élysée, Emmanuel Macron reconnaît, dans la première grande interview de sa présidence, "l'impatience du peuple" mais assume les efforts demandés et veut être jugé sur la durée, promettant une transformation profonde du pays.

Sur plus de 20 pages, il détaille dans l'hebdomadaire Le Point à paraître jeudi ses vastes ambitions pour refaire de la France une "grande puissance" internationale tout en réalisant des réformes de grande ampleur sur tous les fronts - éducation, code du travail, aides sociales, fiscalité, logement, sécurité.

Une ambition assumée, qu'il voudrait insuffler au pays pour qu'il "redevienne un pays fier" et "sorte de l’esprit de défaite".

"Je crois en la reconstruction d’un héroïsme politique, d’une vraie ambition, pour atteindre y compris ce qui est décrit comme impossible", dit-il, citant son propre succès comme une revanche sur "ce qui est décrété impossible".

Pas question de juger son action sur cent jours, qui "ne sont pas une étape pertinente", dit-il, car "on ne fait pas les choses en cent jours".

Mais Emmanuel Macron sait qu'il devra "vivre pendant des mois avec l'impatience du peuple" Il n'oublie pas les circonstances dans lesquelles il a été élu, "la brûlure de l’attente, de la colère, du populisme, je l’ai encore là", confie-t-il en désignant sa nuque.

Dans cet entretien-fleuve, il défend toutes les décisions prises depuis son investiture. A commencer par la réforme en cours du code du travail présentée jeudi, qui vise à faire baisser le chômage de masse, mais aussi la diminution controversée des aides au logement, où il veut même aller plus loin, dans le cadre d'une réforme plus vaste.

Il répond aussi sur le gel des crédits pour l'armée et la démission du général Pierre de Villiers, ce qui pour lui illustre la primeur normale du politique sur l'armée, et dit assumer totalement la phrase "je suis votre chef", qu'il avait lancée aux responsable militaires à la veille du 14 juillet.

Le chef des armées réaffirme sa volonté d'augmenter le budget de l'armée, qu'il qualifie de "deuxième armée du monde libre".

Juste avant la présentation par le gouvernement des déjà décriées ordonnances réformant le code du travail, Emmanuel Macron vante une "réforme de transformation profonde".

- Budget commun pour les pays de la zone euro -

Il défend également la diminution des emplois aidés, des "subventions déguisées", et reconnaît que la hausse de la CSG demandera un "effort" aux retraités "les plus aisés", en faveur des jeunes et des actifs, afin de "récompenser le travail".

Le chef de l’État promet aussi une "révolution de l'éducation" avec notamment la fin du tirage au sort pour entrer à l'Université, et une transformation de l’orientation "dès le début du lycée" pour "rendre l’accès au supérieur plus transparent, clair et pratique".

A l'international, il veut refonder "une Europe qui protège", au plan commercial comme au plan de la défense, qui puisse se comparer aux puissances américaine et chinoise et devenir "leader du monde libre".

Il veut aussi convaincre les pays de la zone euro de se doter d'un budget commun représentant "plusieurs points du PIB", pour pouvoir emprunter et investir à grande échelle sur le continent. Et n'hésite pas à dénoncer les pays qui selon lui, comme la Pologne, "sape les principes de bases" de l'Union.

La France ne doit pas être "une grande puissance moyenne, mais une grande puissance tout court", lance Emmanuel Macron.

"Les forces du monde ancien sont toujours là, toujours engagées dans la bataille pour faire échouer la France", a-t-il accusé.

Aussi, celui qui dit continuer à lire "tous les jours" car "quand on oublie de lire, on se trompe", veut-il "des rêves, des récits collectifs", un "imaginaire de conquête", afin que la France "redevienne un pays fier" et "sorte de l’esprit de défaite".

© 2017 AFP

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