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Re:JO-2024: Paris célèbre avant de se retrousser les manches

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sergiobress sergiobress
14/09/2017 18:23:51
2

A Hambourg les Allemands ont fait un référendum et comme ils n'avaient pas les moyens, les J.O. ont été refusés ; par contre, nous Français ont a les moyens, ah bon ! Ou j'ai loupé un épisode ou ont nous prend pour des cons.
Demandez aux Anglais combien les J.O. leur ont couté ? Economiquement cela rapporte pendant les J.O. mais il faut voir après et là c'est un peu plus compliqué, êtes-vous déjà passé dans les lieux ou il y a eu les J.O. ? et bien c'est pas beau à voir.
Alors le blabla on connaît ; cette organisation sportive aurait dû passer par un référendum.

Message complété le 14/09/2017 18:25:51 par son auteur.

L'ITALIE a refusé car pas les moyens.......

  
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angeloysse angeloysse
14/09/2017 16:59:46
3
encore des minoritaires qui décident sans demandé l'avis du peuple et ensuite ils veulent que nous participons a leurs aventures !!!
ah oui ??!!! ils veulent pas non plus que l'on baisse notre pantalon !!!!
  
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floalain floalain
14/09/2017 16:19:56
2
Paris qui a déjà 10 milliards de dettes n'avait pas besoin de ça. Je serais parisien, je serais pas enthousiasmé du tout.
  
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angeloysse angeloysse
14/09/2017 13:36:26
2
ils auraient put posés la question aux français avant d'être candidat pour les Jo-2024 !!!!

Message complété le 14/09/2017 13:37:07 par son auteur.

cette candidature a été faites sans notre accord !!!

  
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jipes jipes
14/09/2017 13:28:18
2
L'attribution des jeux de 2024 et 2028 a été une vraie pantalonnade !
  
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moicmoi moicmoi
14/09/2017 12:59:14
4
pascalle
« « Pour que quelques elus puissent faire la fete, on va ruiner le pays que seul une minorite qui paye l'impot (40% des menages) devra rembourser pendant 1 siecle. » »

Ne t’inquiète pas. A Bercy nous avons les champions du monde de la création d’impôts de toutes sortes. Avec les intitulés vertueux et accrocheurs qui vont bien.

« « Les elus devraient etre personellement responsable des depenses qu'ils engagent. » » Tt à fait d’accord. Peut-être pas sur la totalité, mais sur un pourcentage des pertes. Et seulement quand il est avéré que la cata était franchement prévisible ( par ex : le cas Aréva/Lauvergeon qui a dédaigné les avis des géols, et s’est lancé dans une aventure dont elle ne maitrisait pas le moindre des aspects )

matprem
« « Comment bien dilapider l'argent des autres en s'amusant.
Toutes les études montrent que les retombées des jeux Olympiques ne sont jamais rentables » »

Peut-être faut-il relativiser. Je précise que je ne connais pas le dossier.
Une étide peut orienter les esprits dans le sens voulu. Les chiffres, ont leur fait dire……Ces études concernent combien de cas ? 5 cas choisis très déficitaires ? Ou tous les cas depuis que les stats existent ?
Dans le cas de Paris 2024, ON nous dit que de nombreux sites sont existants et que le budget ne dépassera pas ??? , un montant ridicule, par rapport aux qqs derniers J.O. ,( et qui sera de toutes façons dépassé. On sait ce que valent les prévisions budgétaires)
Ceci dit, il est vrai que qqs sites sont existants. Mais pas tous. Faire du kayak pour la frime sur la Seine, c’est bien joli, mais il faut de vraies rivières vives pour compétiteurs de haut niveau. Un exemple parmi d’autres. Les sites ainsi créés pourront servir ultérieurement pour notre jeunesse avide de s’exprimer sportivement. (humour)
Je doute qu’en matière de logement (il en faudra énormément), je ne pense pas que nous soyons actuellement en surplus. Donc, Bouygues, Vincy, Eiffage, Lafarge,….vous avez de beaux jours devant vous. Ainsi que tous les ouvriers des BTP. Donc, point positif pour l’économie ponctuelle. Et les logements créés, serviront après les J.O.. Ils pourront servir à loger les centaines de milliers d’immigrants à venir. Et s’il en reste un peu, à loger des laissés-pour-compte Français. Ces quelques logements-là remplaceront avantageusement les tentes Ushuaia .
Il faut aussi prévoir des cantines, des baizodromes, des centres de soins, qui serviront eux-aussi ultérieurement.
Autre aspect : les déplacements dans Paris. Tout le monde à vélo ! Pour avoir de beaux mollets. Ou e n taxi pousse-pousse. Ou en voiture électrique . Donc, promotions des fabricants de vélos et de voitures électriques avec les batteries qui vont bien.
Donc, il faut considérer cela comme de l’investissement pour l’avenir.
D’après les défenseurs du projet.

« « En attendant de nombreux intermédiaires vont encore faire la fête avec l'argent des Français, » »

Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Surtout quand c’est les autres qui payent.
Moralité : du bien et du mal. Et le dossier complet ne nous sera pas soumis. Surtout pas !

  
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glanglois glanglois
14/09/2017 12:26:04
3
Et après Paris aura une dette multiplié par 3 soit environ 3.5 milliards d'euros ... Les parisiens vont devoir payer ( impôts locaux ) avec des hausses de + 30 à 50 % c'est ce que Hidalgo a déjà prévu ... et cela sur plus de 15 ans ...
  
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pascalle pascalle
14/09/2017 10:56:55
3
Pour que quelques elus puissent faire la fete, on va ruiner le pays que seul une minorite qui paye l'impot (40% des menages) devra rembourser pendant 1 siecle. Les elus devraient etre personellement responsable des depenses qu'ils engagent.
  
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matprem matprem
14/09/2017 09:11:46
3
Comment bien dilapider l'argent des autres en s'amusant.
Toutes les études montrent que les retombées des jeux Olympiques ne sont jamais rentables, avions nous besoin de ça, pendant ce temps la France s'enfonce dans la crise et les réformes sont remises à l'an 40. En attendant de nombreux intermédiaires vont encore faire la fête avec l'argent des Français, à qui profite le crime ?
  
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matprem matprem
14/09/2017 09:11:46
0

Le co-président de Paris-2024 savoure la désignation de Paris, le 13 septembre 2017 à Lima (AFP/Fabrice COFFRINI)

Paris, qui a vaincu sa malédiction olympique mercredi à Lima, a désormais sept ans pour préparer les Jeux d'été 2024, mais va d'abord s'appliquer à célébrer dignement sa victoire.

Sans surprise, les 84 membres du CIO présents au Pérou ont validé à l'unanimité l'accord tripartite qui accorde les JO-2024 à Paris, ceux de 2028 à Los Angeles et sauve provisoirement leur institution, confrontée à une désaffection des villes potentiellement candidates.

Assurés de l'issue de la campagne depuis juillet et le renoncement de Los Angeles pour 2024, les porteurs du dossier parisien n'en sont pas moins grandement soulagés.


La joie de la délégation française après l'attribution des JO-2024 à Paris, le 13 septembre 2017, lors de la session du CIO à Lima (AFP/Martin BERNETTI)

"Il y a moins de suspense mais ça ne diminue en rien l'émotion et l'importance de ce moment", confiait à l'AFP le co-président de Paris-2024, Tony Estanguet, à la veille du vote ramenant les Jeux à Paris un siècle après ceux de 1924.


Villes hôtes des jeux Olympiques (AFP/Paz PIZARRO)

Avant de s'enflammer mercredi. "C'est une victoire magique, unique", s'est félicité le pourtant triple champion olympique de canoë. "On a travaillé dur depuis trois ans, avec Anne Hidalgo et l'ensemble de cette famille Paris-2024. C'est un succès collectif. J'ai vécu une émotion que j'ai rarement vécue dans ma vie".

- Macron réactif -

"Ramener les Jeux à la maison 100 ans après, c'est un bonheur immense et surtout ça va faire du bien à notre pays, à Paris et à la Seine-Saint-Denis. C'est maintenant le début d'une nouvelle aventure extraordinaire", a renchéri Anne Hidalgo, la maire de Paris.


Les villes hôtes des JO (AFP/Paz PIZARRO)

Bridée depuis deux mois, la joie des acteurs du dossier parisien s'est libérée dès l'annonce par Thomas Bach, patron du CIO, de l'officialisation des attributions. Mais ce n'est qu'après le retour en France, vendredi matin via Roissy, que la victoire sera véritablement partagée. Dès ce jour-là, des festivités auront lieu à l'Hôtel de Ville et à l'Elysée.

Son hôte, Emmanuel Macron, y recevra en effet les artisans du succès parisien à 17 heures pour leur redire que "cette victoire, c'est la France", comme il l'a lancé mercredi, immédiatement après le vote unanime du CIO, depuis l'aéroport de Pointe-à-Pitre d'où il s'apprêtait à regagner la métropole après sa visite dans les îles sinistrées par l'ouragan Irma.


Jeux Olympiques Paris 2024 : les sites prévus (AFP/Paz PIZARRO, Sabrina BLANCHARD)

Après le temps des célébrations, l'équipe de Paris-2024 se remettra au travail. Réintégrée au calendrier olympique pour la première fois après les JO 1900, 1924 et après ses échecs pour 1992, 2008 et 2012, Paris se dit prête, ou presque. Son dossier s'appuie en effet sur 93 à 95% d'équipements déjà existants.

Le Stade de France, Bercy, Roland-Garros, le Vélodrome de Saint-Quentin en Yvelines, le Zénith, la base nautique de Vaires sur Marne, mais également les sites mythiques de la capitale comme le Champs de Mars, le Trocadéro, l'esplanade des Invalides ou le Grand Palais sont retenus pour accueillir les quelque 10.500 athlètes attendus dans sept ans et leurs collègues paralympiques qui leur succèderont en septembre 2024.

- Un budget restreint -

Les équipements pérennes à construire seront mis en chantier d'ici à deux ans avec le souci de coller aux besoins des territoires concernés, selon le voeu du CIO, principalement la Seine-Saint-Denis. Dans ce département de la banlieue nord de Paris, le plus pauvre et le plus jeune de France métropolitaine, seront construits un centre aquatique, promis depuis deux décennies, et deux villages, média et olympique, reconvertis ensuite en 17.000 logements.


L'équipe des jeux Olympiques de Paris-2024 (AFP/Vincent LEFAI)

Le tout devrait être réalisé pour un budget global de 6,6 milliards d'euros, soit largement en deça des dernières éditions qui, de Londres-2012 à Rio-2016, ont culminé à plus de 11 milliards. Bernard Lapasset, co-président du comité de candidature, estime ainsi le projet "à l'abri de tout dérapage financier", grâce aux nombreux équipements existants et à l'absence de coûts d'aménagement de transports publics, pris en charge par les collectivités locales dans le cadre du projet du Grand Paris.

Les Jeux ouvriront le 2 août 2024 avec l'ambition de laisser un héritage fort sur le plan des aménagements comme sur le plan sociétal avec de multiples projets concernant notamment le sport pour tous.

Enfin, un échange étroit va s'engager entre Paris et Los Angeles, qui a obtenu les Jeux-2028 et une rallonge de 100 millions de dollars (1,8 md USD au total, contre 1,7 md USD pour Paris) de la part du CIO pour attendre une olympiade supplémentaire et céder son tour à Paris.

Anne Hidalgo et Eric Garcetti, son homologue californien, sont proches et ont déjà promis de s'épauler dans les années à venir pour construire leurs Jeux. Une stratégie que le CIO, autre grand vainqueur de l'affaire, a qualifiée de "win-win-win" ("gagnant-gagnant-gagnant").

© 2017 AFP

  
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