Siemens-Alstom : le PDG d'Alstom déplore "un patriotisme mal placé"

De la crédibilité d'un dirigeant et de l'incrédulité des observateurs : s'il est si certain de l'aspect très positif de cette opération , pourquoi donc limiter l'engagement à 4 ans alors que l'avenir serait radieux ?
On sait pertinemment ce qu'il adviendra après , Alstom ayant déjà subi bien des événements tous aussi négatifs les uns que les autres .
Tout ce qui peut être fait pour démanteler le poids du ferroviaire en France sera entrepris . Acte I ,SNCF , Acte II avec Alstom .

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Ok. Mais dans 20 30 50 80 100 ans ou plus laFrance L Allemagne et les autres pays de l U E ne seront que des provinces avec chacune ses particularités mais elles seront toutes gérées par un seul gouvernement et les mêmes lois alors commençons pour le bien des futures générations de toutes façons rien ne sera semblable à aujourd'hui

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le PDG d"ALSTOM semble pour sa part très "républicain en marche..." quant il s'inscrit dans le sens ,du choix politique du gouvernement Macron. En effet donner la gouvernance a un pays étranger, d'un fleuron de notre industrie est bien la preuve de la faillite de nos entreprises parapubliques ingérables, empêtrées dans le carcan syndical,puis social et enfin fiscal:
La sanction est tombée du plus haut de l’état. la gestion sera donnée à Siemens!!!La raison est simple: A chiffre d"affaire équivalent, la marge bénéficiaire de Siemens est une fois et demi supérieure à celle d'Alstom:
TOUS LES RATS DU GOUVERNEMENT restaient majoritaires dans l'entreprise tant que le contribuable français payait les pertes créées par les dites charges et ponctions, mais des l'arrivée d'un associé étranger, l'état se retire..............CQFD

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Oui bien sûr ce discours est de circonstance, mais j'ai vécu le démantèlement de la CGE, fleuron de l'industrie française et depuis que de désastres en France !!!

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Comme d habitude toujours la critique des mêmes Emm'´´´´´´´,,,-,,,rien de constructif. Nuls

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Le patron d'Alstom, Henri Poupart-Lafarge, s'est dit "persuadé" jeudi que le futur nouvel ensemble fusionné Siemens-Alstom sera créateur d'emplois et a déploré un "patriotisme mal placé" dans certaines critiques à l'encontre de cette opération industrielle.

"Nous sommes absolument persuadés que ce nouveau groupe plus solide permettra in fine des créations d'emplois", a déclaré sur Radio Classique le PDG d'Alstom, qui prendra la tête du nouveau groupe ferroviaire après la fusion avec Siemens, mettant en avant un marché de la mobilité "en forte croissance".

Le français Alstom et l'allemand Siemens ont annoncé mardi une fusion "entre égaux" de leurs activités ferroviaires pour faire face à une forte concurrence chinoise.

Le nouveau groupe s'est engagé au maintien de l'emploi et des sites industriels pour une durée de quatre ans.

La prise de contrôle du fleuron industriel français, producteur du fameux TGV, par le groupe allemand suscite en France des critiques et des craintes pour l'emploi.

"L'opération fait énormément sens. Commencer à lui taper dessus uniquement parce que l'actionnaire (Siemens) est allemand, oui, je trouve que c'est un patriotisme assez mal placé", a-t-il souligné, rappelant que le centre décision restera en France.

Interrogé sur le risque éventuel que Siemens se désintéresse un jour du secteur ferroviaire et cède Alstom à terme, M. Poupart-Lafarge a répondu: "on verra ce que l'avenir nous réserve mais aujourd'hui nous avons un actionnaire solide qui nous donne une grande visibilité".

La fusion Siemens Alstom va donner naissance au numéro deux mondial - en volume - pour le matériel ferroviaire roulant et au numéro un pour la signalisation.

© 2017 AFP

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