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Chômage: Macron attend des "résultats significatifs au bout de 18 à 24

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moicmoi moicmoi
28/12/2017 13:47:44
2
« « C'est quoi ces commentaires ??? « «

Ben ! C’est pas compliqué à comprendre : Ces commentaires sont des avis persos sur un sujet déterminé.
Ca me semblait pourtant clair, à la portée de tout un chacun.
  
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jipes jipes
27/12/2017 23:31:13
4

commentaires ou comment se taire ?
(angeloysse et moicmoi ne sont pas concernés).
  
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jym333 jym333
27/12/2017 23:19:29
2
C'est quoi ces commentaires ???
  
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jym333 jym333
27/12/2017 23:18:55
0
C'est quoi ces commentaires ???
  
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moicmoi moicmoi
27/12/2017 22:00:17
2
angeloysse
« « encore et encore pour pourrir la vie des citoyens » »

Il serait bien temps de se réveiller ! (je ne parle pas spécialement pour toi) C’est en mai 2012 qu’il fallait se réveiller !
C’était prévisible gros comme une maison : que l’on m’explique comment un type inconnu en politique, avec 0 appui au début de campagne, sans même l’appui d’un appareil ( parti politique), avec ses propres économies de seulement quelques centaines de milliers d’euros, avec les dons de qqs dizaines d’euros de qqs centaines de sympathisants, donc sans le moindre sou, a pu faire une telle campagne électorale orchestrée au millimètre, appuyée par tous les médias, et par le patronat , sortant tout comme par hazard le couperet « d’affaires » castatrices pour ses principaux adversaires, ?
Sachant qu’une campagne, ça se chiffre en dizaines de millions.
Sauf à s’appeler Jésus Christ, ou Mahomet, un individu lambda ne peut y arriver.
De plus, la presse n’a pas fait mystère des « dîners-Tirelires » (organisés par qui?) dont il a bénéficié. Genre de dîners qui ne laissent pas entrer dans la salle les smicards, il me semble.
Donc, il n’était pas bien difficile de cerner le personnage, et de savoir de quel étaient ses soutiens !
Mais, les électeurs ne réfléchissent qu’après coup, quand il est trop tard. Et après coup, ils pleurent.
Les choses seraient peut-être différentes si les électeurs, au lieu de voter pour le moins plus pire, mettaient un bulletin blanc dans leur enveloppe, ou même boudaient carrément les votes truqués.

« « il cherche la guerre civile le macron » »

Que nennie ! Il sait fort bien que tant que les Français auront un bout de pain ou des fayots à mettre dans leur assiette, tant qu'ils seront propriétaire de leur pavillon chèrement acquis, de leur bout de jardin, de leur voiture , ils ne bougeront pas le petit doigt.

« « c'est du terrorisme sociale » ».
terrorisme, non. Asservissement programmé (en plein accord avec Bruxelles) , oui.
  
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angeloysse angeloysse
27/12/2017 19:09:56
2
encore et encore pour pourrir la vie des citoyens
avec tout les licenciements dont le plus grand licenciement a venir du programme macron .
non il cherche tout simplement a ce que les demandeurs d'emploi soit radier des listes pour dire que le chômage baisse .
il cherche la guerre civile le macron il cherche a ce que les pauvres soit encore plus pauvres encore plus exploiter plus précaires et les riches encore plus riches
c'est du terrorisme sociale .
macron devrait faire très attention car lorsque la haine la rage comme la petite d'eau qui fait déborder le vase fera sortir les citoyens de leurs gonds je n'ose imaginer le pire ......



  
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lfdp lfdp
27/12/2017 15:57:00
2
Ca rappelle une question de courbe s'inversant,...
  
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lfdp lfdp
27/12/2017 15:57:00
0

Emmanuel Macron lors d'une conférence de presse, le 23 décembre à Niamey, en compagnie du président nigérien Mahamadou Issoufou (AFP/Archives/ludovic MARIN)

Emmanuel Macron attend sur le front du chômage "des résultats significatifs au bout de 18 à 24 mois" après la réforme du code du travail, a-t-il déclaré mercredi au quotidien espagnol El Mundo, dénonçant l'"agenda caché" et les "trahisons successives" de ses prédécesseurs.

"La première année du mandat est cruciale: c'est là qu'on met en place les transformations qui produiront les vrais résultats, sur l'emploi avant tout, dans les deux ans". "C'est pour cela que j'ai voulu aller vite", a-t-il ajouté, selon ses propos originaux en français transmis par l'Elysée.

"La France bénéficie de l'embellie de l'économie mondiale, mais aussi des réformes des dernières années et d'un sentiment de confiance plus grand; notre croissance dépasse les prévisions" mais "notre économie souffre de freins persistants" avec "un modèle socialement injuste et économiquement inefficace, faute d'avoir su nous renouveler et surmonter les réticences au changement", a-t-il ajouté.

Interrogé sur l'acceptation de sa réforme du code du travail, il a reconnu qu'il ne s'agissait pas d'"une réforme facile", ajoutant néanmoins que "c'est une réforme claire" car annoncée pendant sa campagne.

"Nous avons une grande tradition française: celle de l'agenda caché, ou des trahisons successives. On fait une campagne pour rassembler le cœur de ses militants pendant la primaire, puis on revoit son programme pour séduire un électorat plus large pendant la campagne et enfin on gouverne de manière encore différente. Cette méthode a brisé la confiance des Français", a-t-il insisté.

Il est aussi revenu sur la réforme de l'entrée à l'université. "Pour la première fois, les attendus de chaque filière ont été publiés. Nous rendrons de même publics les taux de succès par type de baccalauréat et les taux d'insertion professionnelle par filière", a-t-il expliqué.

Le président a garanti que "les universités examineront les dossiers des étudiants et leur proposeront une solution qui leur convienne".

Sur le dossier corse, il a déclaré, comme avant lui Edouard Philippe, qu'"il est possible de réfléchir à d'éventuelles évolutions" du fonctionnement de la collectivité de Corse mais "dans le cadre de la Constitution". Cette dernière ne permettant "pas de donner satisfaction à certaines revendications, comme le statut de résident ou la co-officialité de la langue corse".

Evoquant l'Europe, il a prévenu qu'"on ne change pas l'Europe tout seul". Il a souhaité notamment qu'elle fasse "beaucoup mieux, ensemble, dans la gestion et la protection commune de nos frontières et dans l'harmonisation de nos politiques d'asile et d’immigration". "C'est le grand défi de l'année qui vient", a-t-il précisé.

Interrogé sur le scrutin de jeudi en Catalogne, le chef de l'Etat s'est refusé à tout commentaire. "J'ai soutenu et continuerai de soutenir la légalité et l'unité constitutionnelle en Espagne. Je fais pleinement confiance au gouvernement de Mariano Rajoy pour gérer la situation" et "je souhaite que la stabilité et la confiance puissent revenir rapidement en Catalogne", a-t-il dit.

© 2017 AFP

  
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