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SCOR: finalisation d'une acquisition

Cours temps réel: 30,22  -1,69%



gars d1 gars d1
10/11/2023 09:39:30
0

Résultats du troisième trimestre 2023 SCOR dégage un résultat net de EUR 147 millions au troisième trimestre 2023,contribuant à une forte performance sur 9 mois avec un résultat net de EUR 650 millions

https://www.scor.com/en/download/file?token=def5020096e9384b4f49454c4499fb01d9d710f38e0fac1486e25e5260df4f9b7e4a5d11549fc70bca719db84547be8856d4c15b345cf3506ae558715bcd521bb3d48c33026c2a4470073519298c75d9e2801086ca78a4c83105494839d7ee06cdbf5d7bdce6638f6b16d1bd0244de2bb71f82d927c4f9db3a0dc3f3c5bdfec4430b5373d7


Mes comptes à la con


Bilan Comptable de résultat net à 9 mois

• Le réassureur Scor annonce un résultat net de 311 millions d'euros au titre du premier trimestre 2023, comparé à une perte nette de 35 millions un an auparavant,

• Le réassureur Scor indique avoir dégagé un résultat net de 192 millions d'euros au deuxième trimestre 2023, à comparer à une perte de 240 millions un an auparavant

• Le réassureur Scor publie un résultat net de 147 millions d'euros pour le troisième trimestre 2023, à comparer à une perte de 752 millions un an auparavant


Soit un Total de bénéfice net à 9 mois de 650 Md'€

Et donc un BNPA réalisé à 9 mois de 3,62 € pour 179 362 195 titres de capital


On reste donc un niveau bas de PER annuel : Certains secouent vivement l'arbre à la baisse pour mettre en portefeuille à faible prix une valeur généreuse et régulière en distribution de dividende.

La baisse au glissant du résulat trimestriel par rapport au 1 et 2 est désormais un classique avec les risques accrus d'indemnisation à débourser à trimestre 3, et 4 (suivant les dossiers et les évènements climatiques)

Les hausse de tarifs jouent les effets escomptés sur la rentabilité du groupe qui redresse nettement la barre comme prévu.


Peu d'intérêt à moyen et long terme de lâcher le titre vu la rentabilité selon moi.


  
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Tounus Tounus
15/09/2023 10:18:50
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Et si je demande gentiment un plus haut de 3 ans ? 🤔

  
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Tounus Tounus
12/09/2023 08:17:01
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30.40 joli scor ! 🍾

  
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Tounus Tounus
07/09/2023 11:12:15
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Tradez bourrés !

Ce nouveau plus haut d'un an vous est gracieusement offert pour l'apéro.

  
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Tounus Tounus
07/09/2023 10:06:10
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Almas Almas
25/08/2023 12:39:27
0

Ce nouveau plus haut d'un an vous est gracieusement offert pour l'apéro.

  
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Almas Almas
02/08/2023 07:22:31
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Almas Almas
27/07/2023 09:31:03
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Almas Almas
29/06/2023 10:59:56
0

11/09/2022 18:43:14

Cours temps réel: 17,57 0,17%


On vient de passer les 50% sur mon 1er post, comme disait l'autre "Rien de tel que de sécuriser quelques pvs" :)

  
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JD1976 JD1976
29/06/2023 10:48:22
1

Oups ! pris mă plus value 👏🏻

  
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Almas Almas
29/06/2023 10:36:22
0

Record battu, quand c'est demandé gentiment.

  
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Almas Almas
28/06/2023 20:20:32
0

Il n'y a pas de mais qui tienne, Scor est sur son plus haut d'un an épicétout ! :)


  
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JD1976 JD1976
28/06/2023 16:07:51
0

Mais : ...


L'assurance est en train de vivre la parfaite «tempête inflationniste» dont le l'iconique patron du groupe de réassurance Scor, Denis Kessler, qui vient de nous quitter, prédisait l'occurrence et dont il avait très finement analysé les caractéristiques dans une brillante conférence au Centre des Professions Financières.

Il est important de souligner que, pour l'assurance, les conséquences d'un retour de l'inflation sont essentiellement liées au changement de régime, c'est-à-dire à la période de passage d'une inflation faible à une inflation rapide, et non au fait que l'inflation soit durablement élevée ou basse. Dans l'hypothèse du changement de régime, toutes les anticipations de coûts par les assureurs et leurs clients sont en effet prises de court par les faits.

Dans cette hypothèse, un retour inflationniste impacte les assureurs par deux canaux différents. D'une part, la tarification des contrats, qui sont négociés bien avant l'occurrence des sinistres, sous-estime ex-post le coût réel des sinistres en non-vie et en santé, avec pour conséquence que les dépenses d'indemnisations ainsi que les provisions (les passifs) vont finalement être plus élevées que prévues initialement. D'autre part, les taux d'intérêt ont tendance à augmenter avec l'inflation, ce qui déprime a priori la valeur des actifs, notamment obligataires et immobiliers, mais qui modère aussi l'augmentation de la valeur des passifs mentionnée précédemment. Au total, l'effet combiné de ces deux canaux est clairement négatif sur l'actif net de l'assurance non-vie et de la réassurance, et incertain sur l'actif net de l'assurance-vie.


L'inflation va rester durablement élevée

Pourquoi parler d'une parfaite «tempête inflationniste» aujourd'hui ? Tout simplement parce qu'au caractère soudain du choc inflationniste, et imprévu par la majorité des acteurs du marché, s'est ajouté la timidité des banques centrales qui ont hésité à combattre énergiquement le choc inflationniste dès le début, sous le prétexte que ce choc serait temporaire, lié à la sortie du COVID et à une brève guerre en Ukraine. Il n'en a rien été. Le choc inflationniste s'est révélé beaucoup plus durable et résilient que prévu, avec pour conséquence que nous assistons à une « course-poursuite » entre l'inflation et les taux d'intérêt, et que les augmentations de salaire se négocient maintenant sur des bases totalement incompatibles avec une inflation à 2%, même si elles sont insuffisantes pour préserver le pouvoir d'achat des salariés.

C'est à peine si les taux d'intérêt réels de la politique monétaire atteignent aujourd'hui en Europe et aux Etats-Unis des niveaux compatibles avec une lutte «soft» contre l'inflation et si la rémunération des actifs couvre l'inflation. Ce qui veut dire que l'inflation va rester durablement élevée et ne revenir que très lentement vers 2%, et que les taux d'intérêt vont devoir augmenter bien au-delà des niveaux qui étaient, il y a encore peu, anticipés par les marchés. Au total, le choc inflationniste est beaucoup plus violent que prévu.


Une situation qui pourrait se révéler bien plus préoccupante

Dans ces conditions, les effets négatifs des deux canaux de transmission du choc inflationniste sur les assureurs et les réassureurs vont très largement l'emporter sur les effets positifs qui vont rester marginaux. Ce qui veut dire que l'actif net des assureurs non-vie comme des assureurs-vie va être affecté négativement dans des proportions très importantes. Certaines entreprises d'assurance ou de réassurance, plus fragiles que la moyenne du marché, aux Etats-Unis mais aussi en Europe, devraient être sous stress financier et certaines d'entre elles pourraient même rencontrer des difficultés de solvabilité.

Et la situation pourrait se révéler bien plus préoccupante au niveau de l'ensemble du marché si nos économies devaient être à nouveau frappées par des chocs catastrophiques, d'origine pandémique ou géopolitique (multiplication des sanctions économiques par exemple) ou si les prix de l'énergie, ainsi que de nombreuses matières premières, et / ou des produits alimentaires, devait s'envoler.


Avis donc de tempête sur l'assurance et la réassurance pour les mois à venir.

Les assureurs et les réassureurs ont intérêt à anticiper des prix plus élevés que le marché ou à gonfler leurs primes de risque pour calculer leurs tarifs et à préserver un bon niveau de liquidité de leurs actifs… un thème de réflexion qui devrait s'imposer aux Rencontres Économiques d'Aix-en-Provence, les 7, 8 et 9 juillet 2023, organisées comme chaque année par le Cercle des économistes.



  
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Almas Almas
27/06/2023 20:15:29
1

Boursier est ton ami :

Morgan Stanley a rehaussé sa cible sur le réassureur de 34 à 35 euros avec un avis à 'surpondérer'. La solide publication trimestrielle qui avait impressionné le marché devrait pouvoir se prolonger... Oddo BHF avait déjà confirmé sa recommandation 'surperformer' sur le titre avec un objectif relevé à 30 euros. Le résultat net du T1 était ressorti très élevé et avait conduit le courtier à rehausser ses prévisions de RN 2023. Même si l'écart par rapport aux attentes provient en grande partie d'éléments non récurrents, les dynamiques sous-jacentes restent favorables.

Berenberg avait aussi porté son objectif de 30 à 34 euros en restant à l''achat'. Après près d'un an de mauvaises surprises en matière de résultats, Scor a dépassé ses promesses, affichant un résultat supérieur d'environ 93% aux attentes du marché, expliquait l'analyste... "Quelle que soit la manière dont on choisit d'évaluer le groupe, il reste fondamentalement l'un des assureurs cotés les plus sous-évalués en Europe".

  
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JD1976 JD1976
26/06/2023 09:44:19
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26/06/2023 09:13 | AOF


Le conseil d’administration de SCOR, réuni le 25 juin, a décidé à l’unanimité de nommer Fabrice Brégier président non exécutif, avec effet immédiat. Il est administrateur de SCOR depuis 2019. Diplômé de l'École polytechnique et Ingénieur en chef au corps des mines, il a débuté sa carrière en 1986 au sein du ministère du Redéploiement industriel et du Commerce extérieur avant d'être nommé sous-directeur à la direction générale de l'Alimentation du ministère de l'Agriculture en 1989.

Après plusieurs nominations de conseiller auprès de différents ministres de 1991 à 1993, Fabrice Brégier rejoint Matra Défense, et devient le directeur général de MBD/MBDA en 1998. Il est ensuite nommé président et directeur général d'Eurocopter de 2003 à 2006, avant de rejoindre Airbus (commercial aircraft) comme directeur général délégué fin 2006 puis directeur général de 2012 à 2018.

Fabrice Brégier est président de Palantir France depuis octobre 2018.

Il a rejoint le conseil d'administration de SCOR en 2019.


  
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JD1976 JD1976
20/06/2023 10:44:24
0

SCOR SE : L'indécision domine

Le MACD est positif mais inférieur à sa ligne de signal. La dynamique en cours est interrompue. Dans le cas où le MACD deviendrait négatif, le repli des cours pourrait se poursuivre. Les indicateurs de puissance, comme le RSI, ne nous donnent pas d'indications particulières à court terme. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.


MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 22.42 EUR, puis à 21.31 EUR et la résistance est à 26.13 EUR, puis à 27.24 EUR.

  
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JD1976 JD1976
13/06/2023 11:03:34
0

Scor : quel avenir après Denis Kessler ?


La disparition du capitaine d’industrie fait planer de nombreuses incertitudes et relance les spéculations sur sa succession et l’avenir du groupe.

L'intérim de la présidence de Scor est assuré par Augustin de Romanet, vice-président du conseil d'administration, jusqu'à la nomination d'un nouveau président.


L’annonce par le groupe Scor, vendredi 9 juin, du décès, à 71 ans, de son président non exécutif, Denis Kessler, a été accueillie par une pluie d’hommages à la personnalité visionnaire du dirigeant, mais aussi … par un bond de 6,13% de l’action du groupe, en Bourse.

Des réactions paradoxales, à l’image de la carrière et de la gouvernance de Denis Kessler. Arrivé en novembre 2002 dans le groupe comme PDG, alors que Scor se trouvait au bord de la faillite après les attentats de septembre 2001, Denis Kessler fut l’artisan de son redressement spectaculaire, pendant plus de deux décennies. Il parvint à hisser le groupe français parmi les plus grands réassureurs internationaux. Mais ces dernières années laisseront aussi le souvenir d’un patron refusant de lâcher les rênes de son groupe, parfois envers et contre tous.


Scor de nouveau exposé aux OPA

L’action Scor, le jour même de l’annonce de la disparition du charismatique dirigeant, a réalisé la deuxième plus forte hausse de l'indice SBF 120, venant s’établir à 24,93 euros. L’une des causes de cette remontée en flèche tient à la nouvelle exposition du groupe aux OPA (offres publiques d'achat). L’épisode de la proposition de rachat de Scor par Covéa, en 2018, resté dans les mémoires, avait donné lieu à un affrontement de près de trois ans entre les deux groupes.


Avant même cet épisode, l’assureur japonais Sompo avait acquis 7,8 % du capital et 8,1 % des droits de vote en 2015, et annoncé vouloir porter cette participation à 15% du capital. Un objectif qui lui aurait permis de prendre une place au Conseil d'administration et d’effectuer ainsi une prise de contrôle. Mais c’était sans bien connaître Denis Kessler, qui, déjà, choisissait ses administrateurs. Celui-ci s’est donc opposé de manière virulente à l’opération. « La participation de Sompo n’a aucune conséquence ni sur le développement stratégique de Scor, qui poursuit activement la mise en œuvre de son plan stratégique Optimal Dynamics, ni sur sa gouvernance et sa gestion », indiquait un communiqué de mars 2015. « Cela avait en réalité déjà coûté à Scor la perte d’un client important au Japon, qui était l’un de ses deux plus gros assureurs », souligne un observateur.


Quand Covéa, au capital de Scor depuis 2003 et premier actionnaire depuis 2016, a fait part en août 2018 de son souhait d'entrer en discussions « en vue d’un rapprochement amical au moyen d’une offre publique an numéraire à 43 euros par action », Denis Kessler avait là encore bloqué d’emblée le processus, refusant d'examiner l’offre et de faire une contre-proposition … alors que l’action Scor valait en Bourse un peu plus d’une trentaine d’euros. Le titre du réassureur français a atteint son plus bas niveau à 13,30 euros récemment, fin octobre 2022. Bien en-deçà de l'offre publique d'achat déposée par Covéa en août 2018. Mais les candidats avaient compris la leçon : quiconque osait s’attaquer désormais à Scor, s’exposait à l’ire de son président. Sa disparition ouvre la voie à de possibles discussions avec d’éventuels initiateurs d’OPA, jusqu’à présent obérées par l’omniprésent Denis Kessler, défenseur acharné de l'indépendance du groupe.


Une succession retardée jusqu’au bout

Fermement accroché à la barre du navire, Denis Kessler avait aussi une conception très personnelle de la gouvernance de son entreprise. Pourtant, depuis le 30 juin 2021, ses fonctions de président du conseil et de directeur général, qu’il cumulait depuis dix-neuf ans, avaient été dissociées, sous la ferme pression de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), mais aussi de l’Association française de de gestion financière (AFG) et des agences de conseils de conseil de vote. Il devait rester président du conseil d’administration du réassureur jusqu'en 2024… non sans avoir obtenu un report de la limite d’âge de deux ans.

Depuis, en quatre ans, le groupe a vu défiler trois directeurs généraux. La soudaine mise à l’écart, le 27 janvier dernier, de Laurent Rousseau, après 19 mois à la direction générale, en raison des tensions entre les instances dirigeantes, avait suscité l’inquiétude des marchés.

« Mais ce que le marché lui a vraiment reproché, c’est de ne pas avoir organisé sa succession, estime une source proche du groupe. C’est même ce qui a obligé le Conseil d'administration à demander le report de deux ans de la limite d'âge du mandat de président, passée de 70 à 72 ans ! » Le conseil d’administration n’a mandaté qu’en novembre 2022 le cabinet Egon Zehnder, afin de désigner un candidat à sa succession, pour fin 2023.

« Le calendrier de désignation du président ne pouvait pas être tout à fait synchrone avec la disparition de Denis Kessler, estime Christophe Lefèvre, délégué syndical central CFE-CFGC chez Scor. Mais il est en cours. Il est possible que le marché donne une crédibilité plus forte à l'entreprise désormais, car elle a la possibilité de se doter d’une gouvernance plus conforme à celle qu’il attend. Aujourd’hui, Thierry Léger, en poste depuis le 1er mai et très apprécié des investisseurs comme des salariés, et Augustin de Romanet sont à même de pouvoir gérer une situation où Scor ferait de nouveau l’objet d’une OPA. »


Conformément au règlement intérieur du conseil d'administration, a indiqué le groupe dans le communiqué annonçant le décès du président, l'intérim de la présidence de Scor est en effet assuré par Augustin de Romanet, vice-président du conseil d'administration, jusqu'à la nomination d'un nouveau président dans le cadre du processus en cours. Le cabinet Egon Zehnder aurait approché quatre personnes en externe à ce jour, dont trois auraient décliné la proposition. Le cabinet devait approcher tous les membres du conseil d’administration pour leur demander de se prononcer sur d’éventuels candidats. En interne, le président du comité des nominations lui-même, Fabrice Brégier, se serait porté candidat à la succession de Denis Kessler.


  
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Almas Almas
09/06/2023 17:59:54
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C'est tout de même étonnant cette embellie du jour lors de l'annonce 🤔

  
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JD1976 JD1976
09/06/2023 15:42:46
2

...Ancien professeur de sciences sociales, il était devenu, en 1990, président de la Fédération française des sociétés d'assurance. Il avait été, par la suite, numéro 2 du Medef de 1998 à 2002, avant de devenir le PDG de Scor. S'il avait cédé la direction générale de réassureur en juin 2021, il en avait conservé la présidence.


Le sauveur du Scor

« C'était une personnalité exceptionnelle, au leadership visionnaire, d'une incroyable intelligence. Nous avons perdu un ami. Nous saluons la mémoire d'un grand homme et dirigeant hors normes, passionné par l'assurance et la réassurance, par leurs techniques, par leurs valeurs et par leur philosophie », ont témoigné les administrateurs de Scor.

Cet amoureux des mots, des jeux de mots et surtout un des meilleurs orateurs du monde des affaires français avait opéré un redressement spectaculaire du groupe durant plus de deux décennies. Il avait permis au Scor, alors au bord de la faillite, de se hisser « au premier rang des réassureurs de dimension globale », avance le Scor. « Sa passion pour la réassurance était sans pareille, et son ambition de faire de Scor un leader de l'industrie ne l'a jamais quitté », a conclu Thierry Léger, directeur général de Scor.



  
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Almas Almas
09/06/2023 15:09:19
2

Denis Kessler, l'emblématique président du réassureur Scor, est décédé à l'âge de 71 ans, ce vendredi 9 juin. « C'est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès de Denis Kessler », a annoncé le groupe dans un communiqué.


Message complété le 09/06/2023 15:49:51 par son auteur.

Le marché a aussitôt réagit
Cours temps réel: 24,94 6,17%

  
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