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Indice "Shiller PE ratio", l'Anapurna financier en vue

Cours temps réel: 8 205,81  0,01%



gars d1 gars d1
24/04/2023 09:31:29
0

Fin provisoire de chute de l'indice Shiller PE Ratio et rebond en cours


Le pic de l'indice Shiller PE Ratio a tenu toutes ses promesses en terme de baisse sur 2022.

Nous voilà revenu sur des niveaux de début 2020 juste avant l'avènement des les frères ennemis COVID & CAiSSVID.

Pour l'Heure graphique, on a en gros 2 solutions importantes de mouvement graphique :

• Soit on repart à la hausse comme l'indique l'amorce de retournement et on confirme une phase haussière boursière pour tenter ultérieurement un grand "M" baissier de sommet

• Soit on stagne en rebond avant de rechuter, et on retombe dans l'ornière baissière boursière.

Les observations indiquent que l'année qui sui des pertes inportantes sur les indices boursiers, notamment pour le CAC 40, c'est suivi d'une performance annuelle positive.

C'est pour l'instant ma vision du chemin pour 2023, Mais qu'on a déjà fait +16,68% depuis le 1er Janvier 2023, faut pas rêver non plus : maintenir ce niveau serait déjà excellent, ce dont je doute tout de même...

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Message complété le 24/04/2023 09:45:57 par son auteur.

Il se pourrait que le CAC 40 suive un effet mécanique de tassement des cours au profit d'un replacement sur le marché secondaire des PMI_PME, ce qui s'est déjà vu précédemment.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
08/04/2022 13:15:04
0

Un "choc de récession" s'annonce, avertit BofA
08/04/2022 | 12:37

LONDRES, 8 avril (Reuters) - L'environnement macroéconomique se dégrade rapidement et pourrait faire basculer l'économie américaine en récession sur fond de resserrement de la politique monétaire de la Réserve fédérale, avertissent les responsables de la stratégie de BofA dans leur note hebdomadaire.

"Un 'choc d'inflation' qui empire, un 'choc de taux' qui ne fait que commencer, un 'choc de récession' qui arrive", résume le directeur des investissements de la banque américaine, Michael Hartnett, ajoutant que dans ce contexte, les liquidités, la volatilité, les matières premières et les cryptomonnaies pourraient enregistrer des performances supérieures à celles des obligations et des actions.

Le compte rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale, publié mercredi, montre que la banque centrale des Etats-Unis pourrait commencer dès le mois prochain à réduire son bilan et qu'elle envisage de le faire à un rythme deux fois plus rapide que lors de la précédente phase de "resserrement quantitatif".
Une nette majorité des investisseurs s'attendent en outre à ce que la Fed relève son principal taux directeur d'un demi-point le 4 mai.


En termes de flux hebdomadaires, la note de BofA, qui s'appuie sur les données d'EPFR, souligne que les fonds d'actions de pays émergents ont enregistré leurs plus importantes entrées depuis dix semaines, à 5,3 milliards de dollars, sur la semaine à mercredi et que ceux spécialisés dans la dette émergente ont attiré 2,2 milliards de dollars sur la même période, leur meilleure semaine depuis septembre.

Les fonds d'actions européennes affichent au contraire une huitième semaine consécutive de sorties nettes, à hauteur de 1,6 milliard de dollars, tandis que les fonds d'actions américaines bénéficient d'une deuxième semaine d'afflux nets (+1,5 milliard).


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Lol

et l'inflation ne fait que d'arriver en Europe.. (quasiment due que par mat1ere - énergie pour le moment)

mais l'inflation mode Us.. ça va être différent.

(la bataille : hausse de salaires contre baisse des marges va se mettre en oeuvre. et peu de chance que la poire sera coupée en deux équitablement)

Bientôt, L'Europe sera une botte de foin

où la bonne nouvelle sera l'aiguille.

ça promet 12 à 18 mois de vaches maigres !

  
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Luncyan Luncyan
08/04/2022 09:15:39
0

Go 1300, la demande est en train de s'effondrer

  
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gars d'ain gars d'ain
08/04/2022 09:11:55
0

Le Baltic Dry vient de prendre +48,16% depuis le 25 janvier, et pour l'instant on va dans le sens de ce qui était annoncé dans la file.

https://tradingeconomics.com/commodity/baltic

;

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Luncyan Luncyan
02/03/2022 10:15:22
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Go 7,5

  
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gars d'ain gars d'ain
02/03/2022 10:06:18
0

La reprise haussière sur le GAZ pointe son gros nez vert...

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gars d'ain gars d'ain
18/02/2022 00:03:29
1

ça sent mauvais du coté de l'indice de volatilité des taux d'intérêt.


On notera sur le graphe que le choc de volatilité est similaire à la volatilité du marché action en plaine éclosion de crise COVID en mars 2020 et en bleu sur le graphe


Jacques Sapir : Les risques géopolitiques et les marchés en 2022 – [RussEurope-en-Exil]

https://www.les-crises.fr/jacques-sapir-les-risques-geopolitiques-et-les-marches-en-2022-russeurope-en-exil/


Notons que :

" Les plus grands risques pour les marchés en 2022, selon les quelques 700 répondants à une enquête mondiale sur les marchés en direct menée par Bloomberg[3], étaient l’inflation, le coronavirus et les tensions géopolitiques. Plus de 30% ont certes cité l’inflation comme l’une de leurs plus grandes préoccupations. Les répondants à l’enquête ont souvent lié les risques d’inflation plus élevée aux Banques Centrales, soit qu’elles aient tardé à réagir, soit qu’elles sur-réagissent au contraire. Plus d’un quart étaient préoccupés par le coronavirus, dont près de la moitié se concentraient sur une nouvelle variante. Les réponses plus détaillées envisageaient que les gouvernements imposent de nouvelles restrictions et donc que les Banques Centrales ajustent leur politique en conséquence.

Mais, environ 23% ont cité des tensions géopolitiques et 16% ont spécifiquement utilisé les termes de guerre, d’invasion ou de conflit. Cela montre la sensibilité du marché mondial aux risques géopolitiques. Les principaux exemples donnés étaient la montée des tensions entre la Chine et Taiwan, et entre la Russie et l’Ukraine, avec en particulier la possibilité d’une invasion. Toute escalade dans l’un ou l’autre cas était considérée comme conduisant à un conflit sur une plus large échelle, impliquant davantage de pays. En ce qui concerne la Chine, les personnes interrogées ont en fait vu à la fois des risques géopolitiques et nationaux. La possible contagion liée à la situation économique de la Chine a été fréquemment citée, avec un potentiel de ralentissement de la croissance et un impact sur le marché du logement.

Il faut dire que ces tensions ne sont pas nouvelles. Les États-Unis (et leurs alliés de l’OTAN) sont engagés dans deux affrontements distincts, l’un avec la Chine à propos de la mer de Chine méridionale et de Taïwan, et l’autre à propos de l’Ukraine avec la Russie. Ces tensions ont évolué avec le temps mais ont toujours été assez importantes. Le bras de fer avec la Chine a perdu une partie de son attrait médiatique, un fait probablement lié aux Jeux olympiques d’hiver de Pékin, qui doivent se dérouler du 4 au 20 février 2022. L’attention s’est alors portée sur l’Ukraine, mise en lumière par les exigences russes quant à sa propre sécurité. Un fait nouveau doit cependant attirer notre attention.

La déclaration du ministre chinois des Affaires étrangères, M. Wang Yi, le jeudi 27 janvier éclaire le bras de fer auquel se livrent américains et russes sur l’Ukraine depuis des semaines[4]. Il a défendu les «Les préoccupations raisonnables de la Russie en matière de sécurité doivent être prises au sérieux et recevoir une solution» dans le cours d’un échange téléphonique avec son homologue américain Antony Blinken au sujet de l’Ukraine. Monsieur Wang Yi aurait ajouté, selon un communiqué diffusé par son ministère, que «la sécurité régionale ne saurait être garantie par le renforcement ou l’expansion de blocs militaires. (…)Nous appelons toutes les parties au calme, à s’abstenir d’accroître les tensions et monter la crise en épingle». Les termes sont choisis, comme toujours en diplomatie. Ils n’en sont pas moins très clairs. Ils équivalent à un soutien global de la position de la Russie, que ce soit sur les exigences de cette dernière en matière de sécurité ou que ce soit dans la description de la crise actuelle, où selon Moscou, les américains font monter la tension en évoquant une possible intervention militaire de la Russie.

Les conséquences de l’impasse OTAN-Russie se sont déjà fait sentir. Les tensions croissantes entre la Russie, les États-Unis et l’OTAN au sujet de l’Ukraine ont provoqué de fortes ventes sur les marchés boursiers mondiaux le mardi 18 janvier. Malgré la hausse des prix du pétrole, qui avaient atteint plus de 88$ le baril (indice Brent), l’indice RTS en Russie a clôturé mercredi 19 janvier sur une dépréciation de 7,3% à 1 367,5 points, après avoir atteint son plus bas niveau depuis décembre 2020 à 1 355,25 points.

Les pertes des actions russes se sont propagées aux marchés boursiers mondiaux, en particulier aux marchés émergents. Cependant, on constate que pour l’instant ces pertes sont limitées. Les deux indices principaux de la Bourse de Moscou, les MOEX et le RTS ont certes baissé, mais restent à des niveaux supérieurs ou égaux à ceux de 2019.

De toute évidence, tout mouvement nous rapprochant d’une guerre meurtrière pourrait faire chuter les marchés mondiaux, quelles que soient les actions possibles de la Banque centrale. Cependant, il est également significatif que les investisseurs se soient recentrés sur les chiffres d’inflation du Royaume-Uni et de l’Allemagne d’ici mercredi 20. Cela montre que la sensibilité aux risques géopolitiques est aussi étroitement liée à celle aux risques économiques « purs », à l’inflation et au resserrement du crédit.



  
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Luncyan Luncyan
25/01/2022 09:34:27
0

C'est pas l'inflation ici la question. C'est la perturbation en accordéon de la chaîne d'approvisionnement. Telle une onde elle s'est propagée dans les produits de base. Maintenant dans les produits fini. Tout ça pour dire que mon scénario est contraire, je vois le harpex drastiquement tomber (décalage de période d'onde), le marché décidera

  
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gars d'ain gars d'ain
25/01/2022 09:28:40
1

Pour le Baltic Dry, si l'on prend soin de l'observer sur le long terme, je pencherai plutôt pour une normalisation des échanges après une forte reprise.

Si l'on observe le cycle de crise de 2001 / 2008, On voit qu'on monte environ 2 ans après, puis on renormalise avant d'exploser la à hausse pour mieux dévisser...

C'est pour moi, l'hypothèse qui soient la corde actuellement...


https://tradingeconomics.com/commodity/baltic

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Message complété le 25/01/2022 09:58:01 par son auteur.

COORECTION : lire "C'est pour moi, l'hypothèse qui TIENT la corde actuellement.."

  
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gars d'ain gars d'ain
25/01/2022 09:11:34
0

Avec le printemps et l'inflation, il est potentiellement probable que le HARPER PETERSEN Charter Rates Index dépasse les 4000 d'ici ce printemps.


Les paris sont ouverts !

: )

  
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Luncyan Luncyan
25/01/2022 08:58:29
1

C'est impressionnant, merci !


Ces deux indices sont différent. L'un est plus orienté matières premières. L'autre se concentre plus sur les produits manufacturés. De plus la pondération des routes est différente

  
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gars d'ain gars d'ain
25/01/2022 08:58:08
0

L'HARPER PETERSEN Charter Rates Index est bien plus représentatif de la situation globale du transport maritime.

Et il vient de repartir sur les plus haut pour le début 2022.

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Luncyan Luncyan
25/01/2022 08:28:04
0

Bonjour almas, prix tu s'il te plaît nous publier la courbe ? Dans tous les cas je vais aller chercher de mon côté

  
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gars d'ain gars d'ain
24/01/2022 19:41:10
3

Brutal repli du jour du Shiller.

Mais, je pense que c'est qu'une correction de principe, on n'est pas encore au point de chute verticale, faut qu'on monte encore en 2022 pour espérer vraiment chûter...

On secoue donc les pruniers pour voir ce qui tombe actuellement.

  
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Fibopivots Fibopivots
22/01/2022 04:44:45
1

Sur la bourse au quotidien, lls recommencent à parler du syndrome d'Hindenburg, ce dirigeable qui avait explosé en 1937 à New York.

https://youtu.be/KeKY4xsDYZg

Message complété le 22/01/2022 04:57:03 par son auteur.

https://youtu.be/DvUlB5hC5_4

Message complété le 22/01/2022 04:58:05 par son auteur.

https://www.labourseauquotidien.fr/

Message complété le 22/01/2022 05:02:08 par son auteur.

https://www.labourseauquotidien.fr/tag/cac40/

Message complété le 22/01/2022 05:02:44 par son auteur.

J.aime beaucoup les AT de cetcanalyste ..et trader...

Message complété le 22/01/2022 05:06:45 par son auteur.

35 victimes sur 97.
38%....désolé,...je n.y peux rien !

Message complété le 22/01/2022 05:07:48 par son auteur.

Il serait même dans nos gènes,...

  
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Luncyan Luncyan
26/10/2020 11:14:43
1

Toujours long sur le volatilité et pour le moment je me met très très bien

  
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gars d'ain gars d'ain
26/10/2020 11:03:37
3

Le niveau de risque reste toujours aussi élevé malgré les Kracks boursiers Covid 19 et Pétrole du début 2020.

La conclusion qui s'impose, c'est que c'est pas fini...


Et qu'on devrait avoir un niveau risque tempête...

  
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gars d'ain gars d'ain
11/03/2020 22:17:13
1

Deux épidémies se combinent pour créer une "période dangereuse pour la bourse", prévient un économiste lauréat du prix Nobel


Video : "Nobel-prize winning economist Robert Shiller warns coronavirus panic has not hit peak levels yet."

https://player.cnbc.com/p/gZWlPC/cnbc_global?playertype=synd&byGuid=7000125792


Published: March 10, 2020 at 12:24 p.m. ET /// By Shawn Langlois • Traduit avec "DeepL"

https://www.marketwatch.com/story/two-epidemics-combine-to-make-for-a-dangerous-time-for-the-stock-market-nobel-prizewinning-economist-warns-2020-03-10?itm_source=parsely-api&mod=mw_more_headlines

"Ce que nous avons maintenant, ce sont en fait deux épidémies. Nous avons une épidémie de coronavirus, mais nous avons aussi une épidémie de peur basée sur un récit qui ne correspond pas nécessairement à la réalité scientifique. Et ce récit a été assez frappant. C'est une période dangereuse pour la bourse".

C'est Robert Shiller, professeur à Yale et prix Nobel, qui explique à CNBC, lors de la chute du marché de lundi, pourquoi il pense qu'il y a plus de ventes à venir. "Cette maladie est contagieuse avant même qu'elle ne présente des symptômes évidents", a-t-il déclaré. "Donc, il va être plus difficile de mettre les gens en quarantaine dans cette épidémie. C'est le récit, et nous n'avons pas encore été très loin dans cette voie."


Selon le dernier décompte de Johns Hopkins, il y a maintenant 116 146 cas de COVID-19, avec au moins 4 088 décès. Aux États-Unis, il y a 761 cas et 27 décès.


"Le potentiel de perturbation du marché à cause d'un récit effrayant est assez élevé", a prévenu Shiller. "Il est très probable maintenant que nous allons avoir une récession. Elle perturbe déjà les affaires. Elle pousse déjà les gens à se retirer. Nous n'allons pas voir de nouveaux investissements créatifs fleurir dans cet environnement".


Le marché boursier de mardi a de nouveau reflété l'incertitude et la volatilité auxquelles sont confrontés les investisseurs, avec le Dow Jones Industrial Average DJIA, -5,85% rendant une partie de ses premiers gains à midi.


"Nous verrons comment les mesures visant à réduire l'épidémie de coronavirus se dérouleront. Mais je n'y mettrais pas trop d'espoir", a déclaré M. Shiller. "C'est une épidémie dangereuse et l'épidémie de peur qui l'accompagne est également dangereuse."

  
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gars d'ain gars d'ain
27/02/2020 22:57:50
1

Lourde chute du CASE schiller RATIO : -4.33% ce jeudi

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Current Shiller PE Ratio: 28.31 -1.28 (-4.33%)

4:00 PM EST, Thu Feb 27

Mean: 16.70

Median: 15.76

Min: 4.78 (Dec 1920)

Max: 44.19 (Dec 1999)

Shiller PE ratio for the S&P 500.

.

  
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Bill17 Bill17
22/02/2020 22:16:08
3



Voici les indicateurs:


Voici une liste complète des indicateurs du marché baissier de Bank of America:

1)La Réserve fédérale augmente ses taux d'intérêt

2)Resserrement des conditions de crédit

3)Le rendement minimum au cours des 12 derniers mois d'un marché haussier a été de 11%

4)Le rendement minimum au cours des 24 derniers mois d'un marché haussier a été de 30%

5)Les actions de faible qualité surpassent les actions de haute qualité (sur six mois)

6)Les titres Momentum surperforment (sur six à 12 mois)

7)Les actions de croissance surperforment (sur six à 12 mois)

8)Retrait de 5% des actions au cours de la dernière année

9)Les actions affichant un faible ratio cours / bénéfices sous-performent

10)Le niveau de confiance des consommateurs du Conference Board n'a pas atteint 100 en 24 mois

11)Pourcentage du Conference Board prévoyant une augmentation des stocks

12)Absence de récompense pour les gains battements

13)L'indicateur côté vente, une mesure contraire de l'optimisme des actions côté vente

14)L'enquête de Bank of America Fund Manger révèle des niveaux élevés de liquidités

15)Courbe de rendement inversée

16)Changement des anticipations de croissance à long terme

17)Règle de 20, le rapport cours / bénéfices arrière ajouté à l'IPC est supérieur à 20

18)L'indice de volatilité a augmenté de plus de 20 à un moment donné au cours des 3 derniers mois

19)Règle de révision des estimations de revenus




Message complété le 22/02/2020 22:17:09 par son auteur.

La liste de 19 signaux

  
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