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Les énergies renouvelables bientôt toutes compétitives

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dimitrievich dimitrievich
15/01/2018 23:31:07
0
Bonsoir,


@AndreMarquis,


Si Franchement ,vous voulez vous informer, je vous conseille de prendre le temps d'écouter
l' Audition de :
GreenPeace
A.S.N . ( Autorité de sûreté Nationale ) Nb: ...et pas de Sécurité ..la différence est notoire...
EDF
Le tout à la Commission du développement Durable , du 08 Novembre 2017.(Diffusion sur la chaîne Parlementaire)
Où et comment nous allons droit dans le mur..
Et pour vous rassurez , sachez que quelque soit le choix " Envisagé " , cela nous coûtera, nous pauvres contribuables contributeurs ,non pas 1 bras mais 2 ! Sauf qu’ à mon avis l'un va devenir obsolète. .et on hésite encore !


La seule façon d'arrêter le progrès c'est de le mettre dans un tiroir. .pour un temps...
Comme les grèves pour liquidités les stocks...cher à Coluche...
Lorsque vous parliez des coûts masqués, vous pensiez certainement à EDF...non ?


http://videos.assemblee-nationale.fr/video.5131168_5a02be7975d22.commission-du-developpement-durable--surete-des-centrales-nucleaires-8-novembre-2017



Bonne lecture.
  
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michel1993 michel1993
15/01/2018 00:17:11
0
L hydrogène solide ? A - 262 ° seulement . Cela m étonnerais que ce soit rentable énergétiquement parlant . L hydrogène sous pression , oui mais la masse volumique de l hydrogène dans un mètre cube , c est 70 grammes donc il faudrait des pression démentielle pour contenir quelques kilos d hydrogène dans un mètre cube , et en plus l hydrogène peut s enfuir facilement de son contenant , comme l helium ( qui sert a détecter des fuites d ailleurs ) et encore plus lorsque il est sous pression .
  
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CRI74 CRI74
14/01/2018 20:03:33
1
Il faut voir la problématique en global .
L'ensemble des énergies renouvelables intermittentes le sont mais pas nécessairement en même temps .
Par ailleurs , leur complémentarité en fonctionnement peut constituer un avantage
D'autre part , on commence à trouver de très sérieuses pistes de conservation court , moyen et long terme de l'énergie produite qui rendent l'intermittence moins péjorative . On peut citer l'hydrogène solide ou sous pression par exemple .
Comme toutes les infrastructures lourdes , l'investissement de départ est forcément conséquent mais le coût modéré futur de production permet de les rendre compétitives , surtout face à l'objectif recherché de limitation des matières premières polluantes ( pétrole , gaz , charbon )
  
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AndréMarquis AndréMarquis
14/01/2018 16:29:10
1
En admettant que cela soit vrai (pas des estimations de coût genre Eurotunnel...), la plupart de ces énergies renouvelables ont l'inconvénient essentiel d'être intermittentes, donc qui va boucher les trous, comment, à quel prix ??? Cela m'apparaît une fois de plus comme un déplacement de coût visible vers un coût masqué, donc en l'absence de meilleure justification un faux progrès pour ne pas dire une tromperie.
  
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AndréMarquis AndréMarquis
14/01/2018 16:29:10
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Inauguration de la première éolienne offshore, à Saint Nazaire, le 13 octobre 2017 (AFP/Archives/LOIC VENANCE)

Les coûts de l'éolien et du solaire vont encore baisser fortement ces prochaines années au point que ces deux énergies seront globalement moins chères que les énergies fossiles (fuel, gaz, charbon), mais les autres énergies vertes progressent également rapidement, selon une étude publiée samedi.

"Toutes les technologies renouvelables seront compétitives par rapport aux énergies fossiles en 2020", estime l'Agence internationale des énergies renouvelables (Irena) dans un nouvelle étude sur les coûts des énergies vertes.

Les coûts moyens des renouvelables devraient atteindre entre 3 et 10 dollars le mégawattheure (MWh) en fonction des technologies (éolien, solaire, géothermie, biomasse, etc.), quand les énergies fossiles affichent des coûts entre 5 et 17 dollars le MWh, note l'étude.

Ils varient en fonction des pays, selon les gisements en énergie ou les réglementations.

Déjà l'an dernier, les coûts moyens des nouveaux projets de parcs d'éolien terrestre et de centrales solaires ont fluctué entre 6 et 10 dollars le MWh, avec plusieurs records en dessous de cette moyenne.

Cela a été le cas aux Emirats arabes unis, au Chili, au Mexique et au Pérou dans le solaire.

Dans l'éolien, des projets sont déjà régulièrement mis en service avec un coût de 4 dollars le MWh.

Les baisses de coûts sont tirées par l'amélioration constante des technologies mais aussi une concurrence qui s'accentue avec de nombreuses entreprises qui développent des projets d'énergies renouvelables, remarque l'étude.

"Se tourner vers les renouvelables (...) n'est plus simplement une décision faite au nom de l'environnement mais, de plus en plus largement, une décision économique intelligente", selon Adnan Z. Amin, directeur général de l'Irena, cité dans le communiqué.

Les "meilleurs" projets éoliens terrestre et solaire pourraient ainsi produire une électricité à un coût de 3 dollars par MWh, voire moins dans les deux prochaines années.

Et cette baisse des coûts s'observe aussi pour les autres énergies renouvelables, note l'Irena. L'an dernier, des projets dans la géothermie, la biomasse ou l'hydroélectricité se sont développés avec des coûts autour de 7 dollars le MWh.

Le solaire à concentration et l'éolien en mer font également des progrès et certains projets qui seront mis en service d'ici 2020 et 2022 coûteront entre 6 et 10 dollars le MWh, prévoit l'Irena.

"Cette nouvelle dynamique témoigne d'un changement significatif de modèle énergétique", selon M. Amin.

© 2018 AFP

  
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