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Coûteuses et inefficaces, les aides fiscales à l'investissement locati

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michel1993 michel1993
11/04/2018 19:53:27
0
"Et si l'immobilier descend ? Tu vas faire une négative equity"

Risque présent aussi en Europe Cf 2008 Usa , Espagne , Italie et même certaines zones en France hors des grandes villes.

Cela dit , l'immobillier en Russie n'est pas surévalué.

On peut trouver des beaux appartements a 50.000-70.000 euros dans de belles villes , et si le taux de change effraie on peut louer a des touristes/expat en dollars ou en euro ( eux ça les arranges aussi : moins de frais de change ).



Enfin il y a plein de chose possible , sauf acheter des terres agricoles pour un étranger ce n'est pas permis.
  
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Luncyan Luncyan
11/04/2018 00:39:31
0
Et si l'immobilier descend ? Tu vas faire une négative equity

Message complété le 11/04/2018 00:40:57 par son auteur.

Si le taux est a 8% c'est parce que la monnaie russe descend.

  
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michel1993 michel1993
11/04/2018 00:00:12
0
Exact , mais le gros avantage des garages et bien immo c est qu on peut utiliser peu de fond propre et faire un crédit. Alors qu'avec les actions/obligation pas moyen ( ou en tout cas c est plus compliqué et risqué ). C est pour cette raison que j hésite a acheter un ou deux garages avec ma money et ensuite faire un crédit hypothécaire pour investir dans des actions/biens immos en Russie et ainsi multiplier mes gains . Les frais de notaire refroidissent quand même fort et me freine je dois dire sinon je l aurais fait .
  
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JCROIPLU JCROIPLU
10/04/2018 18:51:13
1
Seul problème des garages c'est le turn-over des locataires qui demande pas mal de temps, perte des clefs fréquentes , problèmes des portails individuels, et aussi des gens malveillants qui se garent sur le trottoir au niveau de la sortie dans la rue (pour soit disant une course rapide) qui énervent les locataires et qui se plaignent au propriétaire bailleur.
Un incendie aussi.... et oui ....les emmerdes c'est toujours pour le salaud de propriétaire.

J'ai donc vendu 45 garages et box il y a quelques années, dont j'avais fait la proposition de vente sur le site abcbourse à l'époque, et ce sans regret, avec cerise sur le gâteau l'ISF transformé en IFI je pense avoir réussi un sacré coup (mais coup de bol...)
Donc pas non plus le truc "idéal" à 100% les locations de garages.
  
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michel1993 michel1993
10/04/2018 18:36:15
0
L'immobillier locatif dans nos pays de gauchistes, c'est pourri et en plus surévaluer ( sauf les garages/parking qui ne protégent pas le locataire ). D'ailleurs ça pénalise surtout le locataire qui au final doit amener un millions de preuve pour louer.

L'idéal : faire un crédit hypothécaire à 2-3% de taux d'I ici, acheter en Russie ( ou le taux d'interet est de 8 % ) et gérer la location qui peut parfois atteindre du 15 % de rendement par an , plus réalistement 8% est fort possible.

Pour les mauvais paieur , on envoie le "kollecteur" ... en Russie , pas de "droadelhomme" , les problèmes sont vite éliminé/réglé !

Le seul problème : le taux de change qui peut évoluer défavorablement ( mais notre marché immobillier ici aussi peut s'effondrer ).

Il y a aussi d'autres pays intéressant ( Mongolie , certains pays de l'est , certains pays d'Asie du sud est ) mais bon je ne connais pas tout .



En tout cas je confirme l'immobillier en Belgique et en France , mauvaise idée.

Message complété le 10/04/2018 18:39:13 par son auteur.

edit : les garage , les parkings, et les maisons de vacances type chalet etc qui n'ont pas ce problème de surprotection du locataire.

  
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AndréMarquis AndréMarquis
10/04/2018 18:05:00
0
Ben alors pourquoi l'Etat n'a-t-il pas continué à faire des HLM ???
Plus facile de laisser le sale boulot aux pigeons du privés et s'attribuer le beau rôle (limitation des loyers et cautions, protection les locataires insolvables, autorisations de construction abusives qui écroulent le marché localement, etc...)
  
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gars d'ain gars d'ain
10/04/2018 18:00:32
3
Sujet "marronnier " qui fleurit chaque printemps, comme les régimes et tant d'autre quand on a rien a dire où comment ne pas avoir a écrire plutôt sur les sujets qui fâcheraient...


Une partie importante du journalisme est devenu consensuel, aux ordres et à la botte, le doigt sur la couture de braguette...


Même l'AFP est citiquable aujourd'hui alors que c'était l'une des plus grande référence dans le monde en terme d'information. çà en dit long sur la passoire du fil de l'actualité qui se complait de plus en plus à rendre crédible même des fakenews....


Quel monde pourri


: (
  
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JCROIPLU JCROIPLU
10/04/2018 17:32:55
3
Et allez 100.000ème fois des critiques sur ceux qui investissent dans le locatif...
Raz le bol des "méchants propriétaire" et des "gentils locataires" qui dégradent et sont mauvais payeurs.
Raz le bol,raz le bol,raz le bol...

(J'ai arrêté d'investir dans l'immobilier locatif depuis 4 ans environ...)
Pas d'immobilier supplémentaire en France)
  
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jcleb70 jcleb70
10/04/2018 17:24:45
2
alors oui on s'en est mis plein les poches, mais ça aurait pu tourner au drame comme c'est le cas souvent (pas de locataire, promoteur qui finit pas le boulot, qui se tire avec la caisse...)

Faut bien assurer notre complément de retraite dans la mesure ou l'état nous pique tout dès qu'on franchit un certain seuil d'imposition....
Ce n'est que justice


  
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jcleb70 jcleb70
10/04/2018 17:22:53
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ben oui mais on a fait le boulot de l'état aussi et des collectivités locales, on a pris des risques, on a investi, sans garantie de succès !!!
  
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jcleb70 jcleb70
10/04/2018 17:22:53
0

L'effet modérateur que ces aides sont censées avoir sur les loyers du privé n'a pas été mesuré (AFP/Archives/Philippe HUGUEN)

"Pinel" ou "Scellier", les réductions d'impôt consenties aux ménages qui achètent un logement en s'engageant à le louer à un loyer plafonds pendant quelques années, sont à la fois peu efficaces et très coûteuses pour les finances publiques, estime la Cour des comptes.

Après avoir enquêté sur les dépenses fiscales consenties de 2009 à 2016, en faveur de l'investissement locatif des ménages, la Cour appelle à "sortir progressivement et de manière sécurisée de ces dispositifs récemment reconduits" par le gouvernement, dans un référé adressé le 17 janvier au Premier ministre, rendu public mardi.

Elle préconise en revanche de "renforcer la place des investisseurs institutionnels dans la construction et la location de logements privés".

Ces réductions d'impôt sur le revenu consenties aux bailleurs individuels ont un montant annuel inflationniste - passé de 606 millions d'euros en 2009 à 1,7 milliard en 2015 - et leurs bénéficiaires sont des ménages "dont les revenus sont relativement élevés, et même parfois importants", pointe la Cour.

Près de la moitié (45%) se situaient en 2013 dans la tranche d'imposition comprise entre 27.000 euros et 71.000 euros, et près du quart appartenaient aux 2,3% des foyers imposés disposant de 71.000 à 151.000 euros annuels.

La Cour s'est penchée sur l'efficacité de ces dépenses fiscales, au regard des principaux objectifs qui leur ont été assignés: soutenir l'activité du secteur du bâtiment, et améliorer l'offre de logements locatifs.

Selon les Sages, elles ont à la fois un "impact économique limité" et une "efficacité faible" pour accroître le nombre de logements locatifs accessibles: l'offre ainsi créée ne représente que 10%, soit une "faible part" de la production totale de logements.

Quant à "l'effet modérateur" que ces aides sont censées avoir sur les loyers du privé - car le bailleur a obligation de louer pendant plusieurs années à des prix inférieurs au marché - il n'a pas non plus été mesuré.

En comparaison, d'autres dépenses publiques "permettent, à volume égal, d'augmenter plus durablement le parc de logement locatifs", pointe la Cour.

Selon ses calculs, le coût annuel pour les finances publiques d'un logement de 190.000 euros bénéficiant du "Pinel" est deux à trois fois plus élevé que celui d'un logement social comparable, "alors même que la durée des locations est, dans ces derniers cas, bien supérieure: 40 ans".

Ces dispositifs sont le "Périssol" (1996-1999), le "Besson", neuf et ancien, (1999-2002), le "Robien" et le "Robien" recentré (2003-2008), le "Borloo", neuf et ancien, (2006-2008), le "Scellier" et le "Scellier" intermédiaire (2009-2012), le "Duflot" (2012) et enfin le "Pinel" (2014).

© 2018 AFP

  
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