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Re:Plus de croissance et moins de déficit: le gouvernement révise sa t

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alexandre alexandre
14/04/2018 21:09:00
0
http://www.aft.gouv.fr/articles/encours-detaille-de-la-dette-a-moyen-et-long-terme_149.html


La dette publique est gérée par l'agence du trésor public.
Ce tableau détaille l'encours par échéance et taux.

  
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Fibopivots Fibopivots
14/04/2018 20:44:27
0
Déjà De Gaulle dans les années 30 constatait la politique du " plus facie à faire " avec.effrpi quand on connaît la période catastrophique qui a suivi.
Hélas, le manque de.sérieux de.nos élus ne date.pas d.vier !
  
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fipuaa fipuaa
14/04/2018 20:03:52
0
dans le budget de l’état 2018 les niches fiscales représentent à elles seules 120 milliards et ce ne sont pas des nuages évanescents !
  
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CRI74 CRI74
14/04/2018 18:11:41
1
L'état emprunte gratuitement et fait mieux depuis plus de 3 ans puisque les investisseurs institutionnels payent sur les taux courts (< 5 ans ) pour emprunter des titres réputés solides .
On n'a toujours pas la réponse de la volatilisation de quelques 1000 MDS € qui ont explosé la dette en 10 ans seulement et c'est bien là qu'il faut chercher .


Se serrer la ceinture sur les dépenses , oui mais pas n'importe lesquelles .Lorsqu'on voit le système de santé déjà très au delà de l'insupportable à qui l'on demande encore plus d'économies , on ne peut que s'alarmer de politiques totalement irresponsables , une fois de plus .
La guerre aux services publics est déclarée depuis longtemps mais fait maintenant des victimes , savamment cachées sous le tapis
  
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mika57 mika57
14/04/2018 17:01:01
0

"mais je pense que si c'était aussi facile ils l'auraient fait depuis longtemps, et on ne seraient pas les seuls. Pour 2200 Mds, ça ne passe pas incognito."


C est possible
C est n est pas une question de pouvoir, mais de vouloir (les banques perdraient une sacrée manne financiere dans ce cas !)
La loi Rotschild qui interdit a l Etat d emprunter gratuitement. C est une loi
Une loi ca peut s abroger



  
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Pictou Pictou
10/04/2018 23:13:09
0
Emprunter massivement pour rembourser la vieille dette à taux élevés...
en quelque sorte, c'est une reprise de crédits, c'est aussi une idée qui m'était passée par la tête, mais je pense que si c'était aussi facile ils l'auraient fait depuis longtemps, et on ne seraient pas les seuls. Pour 2200 Mds, ça ne passe pas incognito.

pour rembourser,
évidemment, il faut essayer de récupérer les capitaux qui "s'évaporent", mais attraper un nuage n'est pas chose facile, et une part seulement sera réellement récupérable, cela ne sera pas suffisant.
.
soit on réduit les dépenses, et surtout les sorties de devises pour acheter des ''gadgets'' et on produit plus (ce qui veut dire exporter plus), et on peut payer plus d'impôts.

soit on dépense beaucoup moins, à tous les niveaux, on réduit au maximum les achats à crédit, on retarde ses dépenses, mais c'est la récession, on se serre la ceinture très sérieusement, tout le monde doit mettre la main au porte monnaie et vider les bas de laine, c'est quasi instantané.... mais ensuite on vit comment si du jour au lendemain plus personne ne dépense rien pour permettre aux autres de travailler ?

soit on fait les trois... exercice d'équilibriste.

mais rien ne se fera facilement, les mauvaise habitudes sont tenaces.
  
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CRI74 CRI74
10/04/2018 22:10:29
0
C'est exactement ce qui se passe depuis l'importante baisse des taux longs .
La gestion de l'AFT demeure pertinente sur la dette sachant que les conditions d'émission des OAT par ex ne permettent que rarement un remboursement anticipé
Depuis 4 ans environ , la dette court terme < 3 ans rapporte mais cela ne permet pas de diminuer le stock de 2200 milliards dès lors que les déficits impliquent une augmentation des emprunts , avec une baisse globale mais lente du taux .
J'aimerai qu'on m'explique comment on explose si facilement l'endettement de 1000 MDS € en 10 ans alors qu'on est incapable de le diminuer de 10% de cette somme en 5 ans ?
Où sont donc passés ces fonds irrécouvrables ?
  
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mika57 mika57
10/04/2018 21:09:42
0

Attends y a pas que ca !
Dans quelques mois ils vont voter la baisse de l impôt sur la production, réclamée par France Industries avec à sa tête...Mister Varin !
Creuse toi, petit déficit, creuse toi !


Tant qu on aura pas une vraie politique pour récupérer les 105 milliards d euros qui échappent à l'impôt chaque année, ils peuvent tjrs essayer de combler le déficit et rembourser les 2100 milliards de dettes

Message complété le 10/04/2018 21:13:48 par son auteur.

Il faut utiliser la même méthode que Drahi avec Altice pour "rembourser" la dette
Emprunter massivement pour rembourser la vieille dette à taux élevés

Ca diminuerait la charge de la dette de moitié au moins, le déficit public baissant par cette jolie opération magique

  
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fipuaa fipuaa
10/04/2018 20:22:45
3
mika57 mika57
10/04/2018 20:13:34
3

Dette à 96,4% du PIB ?
Pas si le gvt reprend la dette de la SNCF
Ca rajouterai 2,2 points de dette en plus
De plus, d après que j ai entendu hier, la dette étant comptabilisée comme une dépense publique, le déficit augmenterait de 2,2 points, soit 4,5% de déficit contre les 2,3% prévus


Comme quoi apparemment c est pas prévu d être effectué !

Message complété le 10/04/2018 20:16:30 par son auteur.

Les 40 sociétés du CAC ont fait 90 milliards de bénef en 2017
La France emprunte 160-180 milliards chaque année

On en est loin, même avec une hausse des bénéfices de 30%

  
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fipuaa fipuaa
10/04/2018 19:59:04
3
la dette finance les rêves des plus riches son remboursement étant réglé par la classe moyenne qui n'a rien demandé!
Croyez vous que les plus riches "accro" à la dette (leur dope) puissent s'en passer désormais?
Au fait le cac 40 va dégager combien de bénéf cette année?? D"avantage que le montant emprunté annuellement en tout cas !
  
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gars d'ain gars d'ain
10/04/2018 19:52:50
4
Pour commencer à rembourser, c'est pas moins de déficit, mais des comptes bénéficiaires qu'il faut...


J'adore en cela les comptes publics, car on peut en gros y faire ce que l'on veut finalement car l'est le contribuable qui payera.


Un chef d'entreprise qui effectue des malversations comptables permet sa qualité de "commerçant" auprès des orgisniemes institutionnels comme les chambres corporatives et n'a plus le droit d'exercer.


Un homme politique qui produit des comptes pourris fait la une des médias et finit même par être réélu...


Manifestement, il existe 2 versions de la calculette donc une entièrement truquée et ce n'est pas celle du contribuable !...
: (
  
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CRI74 CRI74
10/04/2018 19:42:04
3
En l'occurrence , la dette ne se réduira nullement en volume mais simplement par le truchement de la hausse espérée du PIB .
Pas d'effort de ce côté là en tous cas .
On n'attend pas de chiffres merveilleux distillés par Bercy mais une réelle efficience des capitaux employés .
Jusqu'à plus ample informé , on ne peut noter qu'une évolution toujours plus négative des services publics en général , de la dégradation constante des services fournis à la population par les effets d'économies de bouts de chandelles qui les pourrissent (cartes grises pour exemple récent).
On attend un saut qualitatif majeur dans le domaine de la santé qui ne semble absolument pas prioritaire vis à vis de l'amélioration aux forceps des rations financiers du pays .
Encore une trajectoire biaisée d'élites à mille lieues des attentes !
  
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CRI74 CRI74
10/04/2018 19:42:04
0

Le ministère de l'Economie et des Finances à Paris, appelé aussi "Bercy", du nom du quai où il est situé (AFP/Archives/Joël SAGET)

Le gouvernement a révisé à la hausse ses prévisions de croissance et abaissé celles de déficit public pour 2018 et 2019, en raison de résultats meilleurs que prévu constatés en 2017, a-t-on appris mardi auprès du ministère de l'Economie et des Finances.

Dans sa nouvelle trajectoire macroéconomique, qui doit être envoyée à la Commission européenne dans le cadre du "programme de stabilité budgétaire", le gouvernement prévoit désormais une croissance de 2% pour 2018 et 1,9% pour 2019, contre 1,7% anticipés auparavant pour ces deux années.

Il table ensuite sur une croissance de 1,7% en 2020, 2021 et 2022.

Bercy a par ailleurs révisé à la baisse sa prévision de déficit public à 2,3% du produit intérieur brut en 2018 et 2,4% en 2019, au lieu des 2,8% et 2,9% jusque-là indiqués.

Ces révisions budgétaires tiennent compte des résultats meilleurs que prévu en 2017: la France a enregistré une hausse de 2% de son PIB, lui permettant de ramener son déficit public à 2,6% du PIB.

L'amélioration du solde public devrait ensuite se poursuivre en 2020 (0,9% de déficit), 2021 (0,3%) et en 2022, où le gouvernement table sur un excédent budgétaire de 0,3%.

La dette publique devrait aussi se réduire plus que prévu sur la période 2018-2022: elle devrait ainsi s'établir à 96,4% du PIB en 2018 (contre 96,8% prévus auparavant) et atteindre en 2022 89,2% du PIB.

Les prévisions concernant le taux de prélèvements obligatoires, qui regroupe l'ensemble des impôts et taxes perçus par l'administration, ont en revanche été révisées à la hausse, à 45% du PIB pour 2018.

L'an dernier, ce taux avait fortement augmenté, passant de 44,6% à 45,4% du PIB, en raison de la contribution exceptionnelle mise en place pour compenser le remboursement de la taxe à 3% sur les dividendes, mais aussi des fortes rentrées fiscales liées à l'accélération de la croissance.

Une hausse compliquant la promesse du gouvernement, qui s'était engagé à réduire ce taux d'un point durant le quinquennat... mais sur la base du chiffre jusqu'alors anticipé pour 2017, soit 44,7%.

Désormais, il prévoit que ce taux s'établira en 2022 à 44,3% du PIB.

Quant au taux de dépense publique, il s'établira finalement à des niveaux un peu plus élevés que prévus dans le dernier projet de loi de finances: il devrait atteindre 54,4% du PIB en 2018 (contre 53,9% prévus auparavant), et baisser jusqu'à 51,1% en 2022 (contre 50,9%).

Ce programme de stabilité, dit "PSTAB", sera présenté mercredi en Conseil des ministres par le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire et son collègue des Comptes publics, Gérald Darmanin, puis débattu au Parlement.

Le document, qui fera l'objet d'un avis du Haut Conseil pour les Finances publiques (HCFP), sera transmis avant le 30 avril à la Commission européenne, qui fera part de ses recommandations courant mai.

© 2018 AFP

  
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