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Re:Grève à la SNCF: et de quatre !

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JCROIPLU JCROIPLU
18/04/2018 15:00:59
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Le plus simple serait de supprimer tous ces bouffons : 0 député, 0 sénateur

Le dictateur propose sa réforme
La télé organise quelques débats
Publication du texte sur internet
Vote direct des Français sur internet et paf on ne discute plus c'est "approuvé" ou "rejeté".
Le J.O. publie ou non le texte.

Si grève après le texte direct l'armée, on fusille 1 gréviste sur 10 le 1er jour, et ainsi de suite les jours suivants si grève persiste.
  
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jipes jipes
18/04/2018 14:46:41
0

Salut JCROIPLU


Non, par représentatif, je ne parle pas des bigots, des mères au foyer ou des représentants de diverses corporations, je parle de la représentation à l'Assemblée Nationale des élus du peuple qui devrait être le reflet de tous les courants politiques. Actuellement cette représentation ne vaut rien (découpage électoral, sempiternelle rengaine des bienpensants de la République qui ne cessent de stigmatiser les partis politiques, tant de droite que de gauche, qui pourraient les gêner).
Une preuve récente, quand on entend Richard Ferrand qui préside le groupe REM à l'Assemblée laisser entendre avant un vote que tout esprit de contestation d'un ou d'une député verrait son exclusion du parti, ça me semble préfigurer en France une avancée politique telle qu'on la voit en Corée du Nord !
Et ce n'est pas le 15 % de proportionnelle (du pipi de chat) prévu par le Gouvernement qui va améliorer la situation.


Tu as raison, à la tête du pays, il faut un homme qui ait de la poigne, qui montre la voie, un homme de dialogue, mais il ne faut surtout pas une marionnette qui ne fait que se mettre à plat ventre pour bien se faire voir de la nomenklatura bruxelloise.
  
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Pictou Pictou
18/04/2018 14:42:08
0
L'immense majorité des gens n'étant pas syndiquée...ça n'empêche pas de suivre et de croire (de moins en moins ?... les mots d'ordre de la CGT, et ses méthodes qui n'ont pas trop évolué ... depuis longtemps, combien de petits patrons en ont fait les frais, alors qu'ils n'étaient en rien concernés?
  
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JCROIPLU JCROIPLU
18/04/2018 13:47:56
0
Par "représentatif" la Constitution veut dire uniquement que les députés de part leurs représentations issues d'élections, sont habilités à voter les lois.
Alors que toi tu sembles vouloir des personnes qui seraient les représentants proportionnels de toutes les professions, des différents ages, des différentes religions, etc.... qui seraient là, en fait, pour gueuler les aboiements du peuple du fin fond de leurs campagnes, des bars, des usines, des maisons de retraites ...

Pour "avancer" le pays doit se réformer car nos résultats nationaux sont mauvais dans énormément de domaine.
Pour se réformer il faut à sa tête un réformateur et non un mou
Pour pas faire d'erreur dans les réformes, ce n°1 doit être intelligent, doit écouter, doit trier dans tout ce fatras gueulé par la populasse la plus conne de base ; il doit construire un plan de réforme, le proposer devant les parlementaires qui doivent voter "en leur âme et conscience" sans être à la botte d'un groupe ces réformes.

Donc les syndicats doivent être entendus certes mais lors de quelques réunions en quelques semaines maxi.
Les syndicats ne devraient jamais commencer par une grève directe: c'est honteux.
Puis les syndicats devraient fermer leurs gueules, attendre un an minimum pour voir les résultats et notifier éventuellement à la direction les problèmes, sans vociférer.
La direction présenterai alors au gouvernement les modifications à apporter et ce calmement.
Le gouvernement modifierait si besoin sereinement.

En fin de mandat du Président il y a oui ou non des résultats sur le pays et le Président est renouvelé ou viré.
Le tout dans une bonne ambiance collective digne, par des dialogues constructifs et non destructifs.

Si on n'y arrive pas je suis partisan alors de mettre un dictateur.
  
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jipes jipes
18/04/2018 13:04:23
0

Comme le dit CRI, en Suisse il y a une politique du consensus. Tout le monde discute, chacun apporte ses idées, in fine chaque partie laisse tomber une partie de ses exigences et l'on arrive à un accord qui est satisfaisant.
En France, avec la façon d'agir du Gouvernement et de l'Assemblée Nationale (qui n'est vraiment pas représentative des idéaux de la population), on ne débouche, dans la quasi totalité des cas, que sur une situation de blocage.
Alors, part belle aux syndicats qui sont présents, et je les comprends, pour faire éclater au grand jour le sentiment de contestation.
  
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CRI74 CRI74
18/04/2018 12:38:59
1
Si l'URSS revient dans les débats , on n'est pas sorti de l'auberge .
L'immense majorité des gens n'étant pas syndiquée ,contrairement à l'Allemagne ou la Suisse par exemple où cette pression conduit à des négociations intelligentes plutôt qu'à des conflits désastreux ,on doit se rassurer
A croire qu'en France on ait les plus mauvais politique voire un patronat archaïque , idéologique pour le moins...
  
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Pictou Pictou
18/04/2018 12:31:48
1
La CGT représente ce qu'elle peut, mais ses chefs et petits copains ne se sont pas gênés pour tirer les ficelles pour eux... peut être un peu trop d'ailleurs, ce qui explique être pourquoi ils représentent à peine 10% actuellement, ajouté au fait qu'ils ont aussi soutenu... ou plutôt été soutenus par Brejnev et Cie... et n'avaient pas vu ou ça allait conduire l'URSS. Il fallait bien avoir des œillères. J'ai connu un syndicaliste CGT qui avait rendu sa carte, dégouté de ce qu'il voyait.
Conclusion, tout le monde n'est pas beau et gentil, parce qu'on veut bien le croire
  
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CRI74 CRI74
18/04/2018 12:00:35
1
Vous vous êtes attribué la palme des meilleures âneries !
La CGT ne représente que moins de 10% des salariés et beaucoup moins encore chez les conducteurs où elle est ultra minoritaire
Quand on n'en sait pas plus que cela on devrait être autoriser .....
Le personnel est bien assez grand pour savoir commet réagir face à la casse du service public mise en oeuvre par le gouvernement actuel .
Ne vous inquiétez pas , c'est bien la population qui paiera les pots cassés , pas les cheminots ; mais eux au moins réfléchissent !
  
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GEMY GEMY
18/04/2018 11:46:27
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Profitant de la présence d'un des leurs,un ministre communiste,il y a quelques années la CGT s'est attribuée tous les postes clefs de la nation:
Les conducteurs pour les trains SNCF,les pilotes pour Air France,les responsables de fours et les responsables des laminoirs pour la sidérurgie,tous les conducteurs de machine maitres pour l'industrie, les chefs électriciens de plateau a la télévision etc,etc......de façon telle qu'avec un petit nombre de personnel a des postes clefs ils puissent paralyser totalement le pays.
Cet état est inabmissible et devrait étre interdit et sanctionné.
Il y a une énorme différence entre syndicalisme et droit au sabotage;la CGT ne s'en prive pas et mérite l'interdiction et la prison.
  
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GEMY GEMY
18/04/2018 11:46:27
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Manifestation de cheminots à Toulouse, le 17 avril 2018 (AFP/ERIC CABANIS)

Au lendemain du vote en première lecture à l'Assemblée du projet de réforme sur la SNCF, les cheminots ont entamé mardi soir leur quatrième épisode de grève depuis début avril, espérant une mobilisation "de très haut niveau" pour amplifier le rapport de force avec le gouvernement.

La circulation des trains devait être encore très perturbée mercredi, avec un TGV sur trois prévu, ainsi que deux TER et Transiliens sur cinq, selon la direction de la SNCF. Un train Intercités sur quatre devrait circuler, ainsi que trois trains sur quatre à l'international.

Un trafic "en augmentation par rapport au début de la grève, en particulier par rapport aux derniers jours de semaine", a commenté Alain Krakovitch, directeur général SNCF Transilien.

De fait, le taux de grévistes parmi les agents exerçant des métiers indispensables à la conduite est en baisse, à 32% pour mercredi contre 48% le 3 avril, premier jour de la grève, selon la direction de la SNCF.

Ce quatrième épisode de deux jours de grève, à l'appel des syndicats CGT, Unsa et CFDT - SUD-Rail appelant lui à une grève illimitée - a débuté mardi à 20H00 et s'achèvera vendredi à 07H55.

Une mobilisation nationale et interprofessionnelle est organisée jeudi par la CGT et Solidaires dans l'espoir de former un front unique contre la politique du gouvernement.

A Lyon Part-Dieu, la dizaine de gilets rouges postés aux entrées était très sollicitée. "Les deux premiers jours de grève, c'était le plus dur", relativise Abdelafid Benghalia, venu de Villefranche-sur-Saône. "Là c'est plus facile" car "c'est les vacances. Je suis même arrivé assis ce matin", se félicite-t-il.


Rail : prévisions de trafic (AFP/)

A Marseille, la majorité des voyageurs présents en gare avaient un train, les autres ayant anticipé. Même constat à Rennes, où la gare était déserte, les quelques voyageurs présents devant attendre trois heures pour prendre un TGV pour Paris.

Mardi, le projet de loi "pour un nouveau pacte ferroviaire", qui prévoit notamment la suppression du statut de cheminots pour les nouveaux embauchés, a été très largement adopté par les députés, avec 454 voix pour, 80 contre et 29 abstentions. Une majorité "allant bien au-delà de la majorité gouvernementale", a salué la ministre des Transports Élisabeth Borne, se félicitant d'"une étape décisive".

- "Nouvelle provocation" -

Les Républicains (LR) ont en majorité voté la réforme par "sincérité" et "honnêteté", a expliqué leur président, Laurent Wauquiez.

Les syndicats avaient, eux, dénoncé par avance un passage "en force" du gouvernement. La ministre du Travail Muriel Pénicaud les a invités mercredi à tenir compte d'"un appel de la démocratie". "La représentation nationale, c'est-à-dire l'ensemble des Français approuvent cette réforme", a-t-elle fait valoir.

Ce projet de loi, que le ministère des Transports espère voir "voter au plus tard début juillet", comporte notamment la transformation de la SNCF en une "société nationale à capitaux publics" au 1er janvier 2020, le calendrier de l'ouverture à la concurrence, et certaines garanties pour les cheminots qui seront transférés vers une autre entreprise ferroviaire concurrente (le "sac à dos social").

Ces garanties seront complétées d'ici l'examen du projet de loi au Sénat fin mai, en fonction des concertations, en cours jusqu'à fin avril, a assuré Mme Borne. Le sort des cheminots en cas de refus de transfert reste notamment en suspens.

Malgré la confirmation d'Emmanuel Macron de la reprise progressive par l'État, "à partir du 1er janvier 2020", d'une partie de la dette de la SNCF, qui avoisine les 50 milliards d'euros, les syndicats n'ont pas infléchi leur discours, la CGT appelant à un "très haut niveau" de mobilisation mercredi et jeudi.

L'annonce lundi par la SNCF du lancement de la filialisation de sa branche de fret ferroviaire a ajouté de l'huile sur le feu. "Une nouvelle provocation", s'est insurgé la CGT. Un "démantèlement inacceptable" pour la CFDT. Cette décision "sera combattue dans le cadre du conflit social actuel", a assuré l'Unsa.

© 2018 AFP

  
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