BALYO : les chariots tirent la croissance - Page 9

Que penses-tu de l'effet de dilution dont parlait Le Revenu ? Je suis pas très au courant de tous ces systèmes financiers...

Message complété le 31/01/2019 19:56:07 par son auteur.

le 21.01 si tu cherches

Le contrat est signé Ribo

Autrement dit , >40m€ /an en plus du reste alors qu’Amazon était insignifiant jusqu’à aujourd’hui (2.7m€ en deux ans). C’est à dire encore que pratiquement aucun de leurs entrepôts n’est équipé.

Que Saint Plue-values t'entende !

Vous aurez noté qu’Amazon ,qui vient de signer pour un objectif de plus de 40m€/an pendant 7 ans n’avait réalisé que 2.7m€ depuis 2017

Cela donne un petit aperçu de l’ampleur du contrat et de la justification des 200m€ de CA en objectif a 2/3 ans

Amazon n’est bien évidemment pas seul pour la réalisation de ce plan susceptible d’évoluer favorablement si les concurrents suivent

Amiral gestion annonce le dépassement des 5% du capital suite à des achats sur le marché .

Extrait : "" Si nous avons aujourd'hui un problème de chômage qui persiste (...), si nous avons eu une telle désindustrialisation dans notre pays - un million d'emplois sacrifiés, une centaine d'usines fermées chaque année - c'est pour une raison simple : on n'a pas assez innové, on n'a pas assez investi, on a des produits qui ne sont pas assez compétitifs par rapport à nos voisins européens et par rapport à nos partenaires mondiaux", a déploré le ministre.

Deux secteurs seront privilégiés par l'Etat : la robotisation et de la digitalisation, qui seront la croissance de nos entreprises et les emplois de demain, a dit Bruno Le Maire.

Le gouvernement table sur une croissance économique de 1,7% du PIB en 2019.

....................................................................................................................................................................................................

Les chariots autonomes de Balyo et la robotisation de ceux ne l'étant pas encore figurent donc dans la cible définie

Gaussin qui développe d'autres process pour des plateformes industrielles couvre également ce champ

PAS CAP ! T'es comme moi, tu l'aimes trop ton Balyo ! Tiens Baly Balyo pour que t'arrêtes de râler :

http://www.chansons-paillardes.com/Bali-Balo

Message complété le 22/01/2019 00:07:45 par son auteur.

J'ai cru que c'était CRI74 qui avait un sursaut de bonne humeur ! Dommage...

C'est bien ce qui me semblait avoir déterminé .

Des posts qui ne remplissent pas le frigo , ça oui , depuis les arrivées de bouso , on en remplit les forums

Message complété le 21/01/2019 19:16:59 par son auteur.

Si j'étais vraiment tordu , je vous dirais vendez à fond , histoire de faire d'excellentes emplettes à prix bradés ...des fois qu'Amazon n'ait signé que pour enfiler des perles

>> "Elle n'est à mes yeux qu'un produit pour faire du fric et basta."

<< tu en connais beaucoup des entreprises caritatives en Bourse ?

Affligeant !!!

Et l'entreprise là dedans ses marchés , ses clients , son avenir ????

A part le casino ,, aucune réflexion ,non ?

Vous avez entièrement raison !

La plus grosse boite mondiale entre chez Balyo , donc fuyons !

Atterrant !

Tu as raison... j'aurais dû prendre ma moins-value à 4.72 mais ce jour là j'ignorais l'effet dilutif de l'accord avec Amazon...

Message complété le 21/01/2019 15:04:12 par son auteur.

C'est l'éternel problème du verre à moitié vide ou plein...

Message complété le 21/01/2019 15:16:28 par son auteur.

L'idéal serait qu'Amazon fasse une offre d'OPA à 10 euros... on peut bien rêver non ?

>> Pourquoi se coller sur un titre qui avance à grands pas vers une dilution massive ?

<< Tu n'as pas tord et je me pose la même question. Dois-je vendre maintenant en perdant 3200€ et en y revenant après dilution, car je crois au potentiel de l'entreprise, ou les dire du Revenu sont excessifs et comme tu le disais il y a qques jours Amazon va créer l'intérêt des autres concurrents pour Balyo afin de rester dans la course ?

Dans le cas d'un développement rapide du bizz il est certain qu'il y aura appel de capitaux donc le leverage qui montera comme pour toute entreprise en cours de décollage. Le modèle me semble moins risqué que pour ALCJ qui est une pharma soumise à des agréments (FDA entre autres). Hors je garde ALCJ malgré une perte de 72%... c'est du 'capital risk' et je l'accepte.

Message complété le 21/01/2019 13:49:25 par son auteur.

Pardon, c'est toi CRI74 qui avait soulevé l'aspect de l'intérêt des concurrents..

Message complété le 21/01/2019 14:29:27 par son auteur.

Le cours s'adapte à l'objectif du Revenu... effet 'moutonié' classique... c'est pour çà que je préfère lire les feuilles de choux boursières qui induisent plus de hausses ou de baisses que les AT...

Pourquoi se coller avec une petite société qui vient d'acquérir un géant mondial dans ses clients avec 300m€ de contrats potentiels , étant entendu que ses concurrents devront suivre en matière de technologie performante ?

C'est vrai qu'il est toujours difficile de répondre aux questions benoîtes ....

MoicMoic tu n'as pas tord, ils sont parfois de bons conseils sur les grandes valeurs, qu'ils privilégient dans leurs colonnes, mais ce sont des pantouflards et cassent très souvent dans l’œuf les jeunes poussins, quand ils ne les ignorent pas totalement sauf pour les casser.

Ribo

« « Ils sont pas tendre sur Le Revenu » »

oui, sans doute. Mais je les trouve plus efficaces que sur Investir.

Il fût un temps, j’ai suivi en parallèle les recommandations des deux hebdos sur Excel, et ce, dans la durée (2 ans) et le constat en a été sans appel. Le Revenu est sensiblement plus performant.
Ceci dit, je ne suis chargé ni de promotion, ni de dénigrement pour l’un ou pour l’autre.
Je ne tiens pas trop compte des conseils des analystes. Seuls les infos et chiffres m’interessent chez eux. Mes critères de choix sont : les fondamentaux et mes graphes.

Conforme au Revenu : aucun sens de l'anticipation , pas d'analyse sur le développement lié au contrat Amazon , à croire que le contrat est irréel et n'apportera rien à l'entreprise . C'est exactement l'inverse !

Comment peut -on dénier qu'un monstre mondial puisse s'intéresser à une petite entreprise s'il n'a aucun intérêt économique à faire jouer ?

Il faut faire un sérieux distingo entre les visées de l'ingénierie souvent médiatisées et la réalisation effective .

L'autonomie , la vraie , demeure un leurre y compris et surtout pour l'automobile . En circuit ouvert , on ne sait pas faire avec le niveau de sécurité requis ce qui risque fort de durer encore longtemps .

En milieu fermé qui limite fortement les inconnues , ce sera possible bien plus rapidement alors que les algos (dis IA ) permettront l'aide à la décision , ce sur quoi travaille Balyo .

On embellit toujours car il s'agira pour l'essentiel de paramétrages suivant des éléments reproductibles . IA ou pas , un processeur ne réfléchira pas plus demain qu'hier !

>>> "À l’avenir, le chariot autonome sera capable de hiérarchiser les commandes par lui-même et de prendre des décisions concernant le meilleur itinéraire et l’approche optimale."

<<< des recherches sur les fourmis, championnes du transport, ont déjà abouti à des algorithmes permettant de fluidifier des flux de circulation...

Message complété le 13/01/2019 19:27:35 par son auteur.

>>> "À l’avenir, le chariot autonome sera capable de hiérarchiser les commandes par lui-même et de prendre des décisions concernant le meilleur itinéraire et l’approche optimale."
<<< je pensais que c'était déjà le cas ?

....

Pour arriver à l’autonomie totale des chariots, c’est une autre affaire. Les recherches avancent sans que personne n’ose lancer une date de sortie.

« Partout où il existe un chariot, nous travaillons pour passer de l’automatisation à l’autonomie », souligne Fabien Bardinet, PDG de la société Balyo.

Pour l’instant, cette start-up française transforme les chariots standards de son partenaire Fenwick-Linde en chariots de manutention robotisés (automatisés) grâce à sa technologie embarquée Driven by Balyo. Ces modèles n’ont pas besoin de lignes au sol ou de réflecteurs pour s’orienter . Équipés d’un lidar (télédétection par laser), les chariots robotisés se localisent en comparant en temps réel ce qu’ils voient avec la carte des éléments fixes qu’ils ont mémorisée le jour de l’installation. Ce système de navigation appelé géoguidage leur permet de s’adapter plus facilement à de nouvelles trajectoires.

Particulièrement complexe, cet enjeu doit être complètement résolu avant d’envisager de parler d’autonomie.

« Nous travaillons en continu sur l’amélioration de la perception de l’environnement par le chariot, souligne Guy Caverot, directeur innovation et robotique de BA Systèmes, spécialisé dans les AGV et l’autonomie.

L’objectif est d’arriver à la fusion des données issues de différents capteurs comme les caméras et les lidars, permettant une navigation robuste des AGV. »

Balyo indique qu’il a 350 chariots automatisés en circulation dans le monde . Le potentiel est énorme.

« Nous estimons que les chariots robotisés représenteront 20 % du parc mondial en 2030, poursuit Fabien Bardinet. Nous partons des modes d’emploi des techniciens Fenwick, notre partenaire, et modifions la technologie pour que la maintenance soit la plus simple possible. »

À l’avenir, le chariot autonome sera capable de hiérarchiser les commandes par lui-même et de prendre des décisions concernant le meilleur itinéraire et l’approche optimale.

Les possibilités offertes par ces robots sont immenses. Les algorithmes d’apprentissage en profondeur (le deep learning) permettront d’anticiper divers scénarios potentiels à grande vitesse en déclenchant l’action adéquate.

« L’intelligence artificielle peut aider à prévenir les accidents du travail et les dommages corporels ou matériels », se réjouit Aude Deso de Jungheinrich. Le fabricant pourrait équiper ses futurs chariots autonomes avec de nouveaux équipements comme, par exemple, la caméra Blaxtair, qu’il propose déjà sur ses engins standards. Cet appareil, qui ressemble à une grosse paire de jumelles, est posé à l’arrière ou à l’avant d’un chariot et repère tout piéton entrant dans un rayon de huit mètres grâce à une intelligence artificielle. « Le système stoppe le véhicule et prévient l’opérateur qui peut se concentrer sur sa tâche et n’est pas obligé de regarder l’écran », explique Franck Gayraud, PDG d’Arcure, le concepteur de Blaxtair.

Extrait .