OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

France: ralentissement économique plus marqué que prévu début 2018

Cours temps réel: 8 205,81  0,01%



Pictou Pictou
30/05/2018 18:50:04
0

Qu'on subventionne un gros avec 500 ha ou dix petits avec 50, le plus cher, c'est finalement le gros qui est moins cher, car certaines primes sont plafonnées... et je ne parle pas du bio qui a des primes supplémentaires, vous croyez que les Bio le font tous pour en être de leur poche?

Bon, après ça on peut discuter s'il vaut mieux supprimer tous les petits, ou tous les gros? je pense qu’il y a de la place pour tous, et toujours moyen de discuter, mais la solution n'est pas dans les extrêmes


http://www.momagri.org/FR/chiffres-cles-de-l-agriculture/Les-exploitations-agricoles-francaises-ont-une-surface-moyenne-de-55-hectares_1070.html


... les exploitations de moins de 20 hectares représentent toujours 43% du total en 2010, contre 4% pour les exploitations de plus de 200 hectares. Le quart des exploitations agricoles ont une surface de moins de 6 hectares3.

Des spécificités régionales…

La surface moyenne des exploitations agricoles françaises résulte de plusieurs facteurs :

- géographiques : le relief et la taille du territoire français sont peu favorables au développement de très grandes exploitations ;
- historiques et culturels : le territoire français est construit selon un modèle d’exploitation familiale
  
Répondre
Pictou Pictou
30/05/2018 18:40:03
0

Qu'on subventionne un gros avec 500 ha ou dix petits avec 50, le plus cher, c'est finalement le gros qui est moins cher, car certaines primes sont plafonnées... et je ne parle pas du bio qui a des primes supplémentaires, vous croyez que les Bio le font tous pour en être de leur poche?

Bon, après ça on peut discuter s'il vaut mieux supprimer tous les petits, ou tous les gros? je pense qu’il y a de la place pour tous, et toujours moyen de discuter, mais la solution n'est pas dans les extrêmes
  
Répondre
CRI74 CRI74
30/05/2018 18:31:29
0
Pictou , vous avez oublié subventionner largement l'agriculture , du moins les gros exploitants , dans le listing !
  
Répondre
whatelse whatelse
30/05/2018 18:23:47
1
Personne n'a parlé de ne pas payer d'impôt. Problème augmentation des carburants, plus augmentation de la CSG, plus plein d'autres augmentations, la consommation s'effondre, mais dans l'ensemble ça me fait plaisir, cela nous obligera à nous prendre en main et à montrer les dents à Jupiter.
  
Répondre
Pictou Pictou
30/05/2018 17:53:05
2

pas payer d'impôts....donc pas d'argent pour payer les fonctionnaires, pas pour payer l'entretien des routes, des écoles, les hôpitaux, la justice, renflouer les caisses de la sécu, boucher le trou de la SNCF...etc... remarquez, ce sera bien, on n'aura plus d'évasion fiscale... tiens, bizarre, d'habitude c'est l'autre refrain, on fait trop de cadeaux aux grosses fortunes...!

Quant à consommer, encore faudrait-il, un jour , se décider à consommer intelligemment, car sinon c'est ainsi qu'on se vide le porte-monnaie, et qu'en plus on pollue inutilement, ce qui coûte de plus en plus cher, à tous points de vue.
Exemple, fumer c'est la construction d'une maison qui part enfumée dans une vie pour finir plus vite au cimetière... investir cet argent dans une maison, c'est passer sa retraite à l'abri...


  
Répondre
CRI74 CRI74
30/05/2018 17:15:34
1
Si j'en crois le nombre de bahut sur les routes et pas seulement en France , l'économie ne va pas si mal .
mais elle n'est pas spécialement portée par la consommation finale , plus sur les investissements ce qui atteindra rapidement ses limites .
On a le choix entre politique de l'offre et de la demande , cette dernière étant systématiquement reléguée aux calendes grecques .
Avec les mouvements sociaux , le deuxième trimestre sera plus mauvais encore
Jupiter n'est pas terre à terre sur le sujet ...

  
Répondre
colet colet
30/05/2018 16:50:17
2
Et je peux même vous dire que depuis un moisn c'est en berne ...
suite aux déclarations d'impôts ? et au chiffre en fin de saisie ???
pfff, tout va bien dans le meilleur des mondes ... possible !
  
Répondre
matinal88 matinal88
30/05/2018 13:03:15
3
payer des impôts ou consommer, il faut choisir ! mais allez faire comprendre a à TOUS les élus.
  
Répondre
whatelse whatelse
30/05/2018 12:45:00
4
Les Français ne peuvent pas subir les hausses des différents impôts et taxes et consommer. Nos gouvernants n'ont toujours pas compris que les impôts diminuaient le pouvoir d'achat des Français qui est déjà très bas, donc toutes augmentation grevait la consommation. Quand on a un montant x, qui est le montant maximum que l'on peut investir dans la consommation et pas plus, toutes augmentation des impôts et taxes se fait au détriment de cette même consommation.
  
Répondre
whatelse whatelse
30/05/2018 12:45:01
0

La croissance économique française du premier trimestre 2018 est révisée à la baisse par l'Insee (AFP/Archives/PHILIPPE HUGUEN)

Le ralentissement se confirme: la croissance économique française du premier trimestre a été révisée mercredi à la baisse par l'Insee, soulevant quelques inquiétudes alors que des nuages se profilent à l'horizon.

La hausse du produit intérieur brut (PIB) s'est établie à 0,2% sur les trois premiers mois de l'année, soit 0,1 point de moins que ce qui avait été préalablement annoncé, selon une deuxième estimation publiée mercredi par l'Institut national de la statistique.

La raison? Un ralentissement plus net que prévu de l'investissement des entreprises et de la consommation des ménages, selon l'Insee, qui précise avoir révisé ses méthodes de calcul de l'évolution du PIB.

L'activité économique a ainsi marqué un coup d'arrêt par rapport à la croissance du quatrième trimestre 2017 (0,7%) et des trimestres précédents, révisés à la hausse par l'institut statistique (0,8% pour le premier trimestre et 0,7% pour les deuxième et troisième trimestres).

"Le fait qu'il y ait une révision à la baisse n'a en soit rien de dramatique, c'est assez habituel au premier trimestre", observe Alexandre Vincent, économiste à l'institut Coe-Rexecode.

"On avait encaissé la nouvelle que le premier trimestre n'était pas très bon dès la première estimation: le ralentissement se profilait, il est maintenant engagé", souligne-t-il néanmoins.

Les investissements des entreprises se sont ainsi effondrés, passant de +1,2% au dernier trimestre 2017 à +0,1% le trimestre suivant. En cause essentiellement, le repli de l'investissement en biens manufacturés (−1,3% après +1,6% au dernier trimestre 2017).

- "Reprise de souffle" -

"Il y a eu un ajustement au premier trimestre après une fin 2017 pas soutenable en termes d'évolution", estime Philippe Waechter, économiste chez Natixis AM, selon lequel les entreprises "reprennent leur souffle".

L'investissement des ménages a lui aussi marqué le pas, avec une croissance de 0,2% contre 0,6% au trimestre précédent, "en raison d'un ralentissement dans le secteur de la construction" selon l'Insee.

La consommation est pour sa part restée "atone", progressant de 0,1% entre janvier et mars, contre 0,2% lors des trois mois précédents.

"Le chômage reste élevé, il n'y a pas eu d'accélération des salaires, et le pouvoir d'achat a été écorné par certaines mesures fiscales" entrées en vigueur début 2018 (hausse de la contribution sociale généralisée et de la fiscalité sur les carburants et le tabac), explique Alexandre Vincent.

Le commerce extérieur, qui s'était fortement redressé entre octobre et décembre, a quant à lui eu un effet nul sur la croissance: les exportations ont ainsi reculé de 0,3% (après +2,3%), mais ce recul a été compensé par une baisse similaire des importations (-0,3% après +0,1%).

Ce coup de mou ne remet toutefois pas en cause à ce stade l'"acquis de croissance" pour 2018 - c'est-à-dire le niveau que le PIB atteindrait si l'activité stagnait d'ici à la fin de l'année.

Selon l'Insee, ce dernier se maintient à 1,2%, en raison de la dynamique héritée de l'année 2017, marquée par une croissance soutenue de 2,2%, soit le plus haut niveau de croissance en France depuis 10 ans.

Reste que ces statistiques envoient un signal inquiétant, d'autant que la tendance qui se dégage pour le deuxième trimestre n'est guère encourageante: selon la Banque de France, la croissance devrait en effet continuer à patiner au printemps, sur un rythme de 0,3%.

Plusieurs indicateurs ont confirmé ces derniers jours le ralentissement économique à l'oeuvre dans l'Hexagone.

Le climat des affaires, calculé à partir des réponses des chefs d'entreprises, s'est ainsi replié de deux points en mai, pour le cinquième mois consécutif. Quant aux dépenses de consommation des ménages en biens, elles ont diminué de 1,5% en avril, d'après l'Insee.

"Ces évolutions indiquent que la croissance française devrait rapidement redescendre vers 1,5%", s'est alarmé sur Twitter l'économiste Marc Touati, enseignant à Sciences Po, jugeant la croissance "en danger".

Moins pessimiste, Philippe Waechter s'inquiète toutefois pour sa part de l'impact de la crise politique en Italie. "Il y a l'idée que l'économie européenne est engluée de nouveau dans quelque chose de préoccupant", indique-t-il. Cela "peut modifier les anticipations et pénaliser la croissance", attendue par le gouvernement à 2% cette année.

© 2018 AFP

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201805301850 635297
logiciel chart 365 Suivez les marchés avec des outils de pros !

Chart365 par ABC Bourse, est une application pour suivre les marchés et vos valeurs favorites dans un environnement pensé pour vous.
Ma liste