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Message complété le 07/07/2018 17:14:46 par son auteur.
qui osera... XXX... tenter .......mettre au point
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Message complété le 06/07/2018 11:34:34 par son auteur.
plants sains controlés... cela n'empêche pas tout le dépérissement, mais le limite, car la maladie fait surtout des dégâts les 3 à 4 premières années... on a une méthode supplémentaire pour ralentir davantage son évolution, c'est d'implanter une céréale entre les rangs, qui est broyée au printemps, qui gêne et trompe l'insecte vecteur de la maladie... pas très évident à gérer tout de même, car il faut néanmoins désherber sur le rang
Message complété le 06/07/2018 12:17:46 par son auteur.
le lavandin est un hybride... il est en principe stérile, il en existe cependant qui arrivent à faire de la graine, mais la production n'est pas intéressante en qualité et quantité. On a quelques variétés intéressantes la meilleure étant l'Abrial, qui dépérit malheureusement beaucoup et donc moins cultivée malgré la hausse de prix de son essence.. la plus courante étant le grosso, et ses diverses variantes sélectionnées pour une meilleure résistance, voire de qualité d'essence.
j'ai reconnu sur une photo internet le gars qui coupe en gerbes des lavandins(pas les miens)... je pense, d'après la couleur, qu'il s'agit d'Abrial. Il a aussi une ensileuse, qui fait la plus grosse partie des récoltes actuellement. Photo certainement ancienne de plusieurs années, car peu de plantations sont en aussi bon état actuellement
http://rhone-alpes.synagri.com/synagri/pj.nsf/TECHPJPARCLEF/13608/$File/WEB-lavandins.pdf?OpenElement
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Message complété le 05/07/2018 19:07:47 par son auteur.
On l'a utilisé sur l'exploitation le Roundup a son arrivée et on en a fait un usage mineur, On passait à la lance en dirigé sur les plantes de rumex et de chardons dans les prairies de sorte d'éviter d'ensemencer la parcelle...
Par ailleurs, beaucoup ne savent plus que normalement, on avait obligation de faucher à minima les espèces invasives comme les cardons et les rumex avant floraison et maturation des graines...
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Message complété le 05/07/2018 19:13:25 par son auteur.
Correction : lire "les espèces invasives comme les CHArdons "
Marre du T9 qui réécrit tout au fur et à mesure ...
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Message complété le 05/07/2018 18:35:56 par son auteur.
Petite précision, pour l'installation dans ces années là, c'était difficile de trouver du foncier et il y avait souvent bataille pour la location : chose réglée souvent par le syndicat agricole local dont mon père avait ouvertement deoncé les magouilles qui visaient à aggrandir certains et pas d'autres, même avec un projet viable...
Dans l'Ain comme dans la Loire et le rhone, le fermage était très répandu et c'est forcement simple d'in,vestir dans du capital quand par ailleurs, on n'est pas propriétaire d'une partie de son outil de travail...
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Message complété le 05/07/2018 18:01:56 par son auteur.
oubli ... adventice, je parlais de la renouée persicaire
Message complété le 05/07/2018 18:22:41 par son auteur.
adventices céréales, chez moi, les plus pénalisantes sont principalement folle avoine, ray-grass, gaillet, et chiendent ou chardons en vivaces, très difficiles à détruire mécaniquement... le chiendent est souvent impossible à détruire dès septembre après les premières pluies, toutefois plus facile en période de sécheresse, il a l'avantage de ne produire que peu de graines à la conservation limitée, contrairement aux graines de chardons qui se conservent 20 ans en terre(facilité toute relative car dans des terres argileuses c'est beaucoup de carburant plus d'usure de matériel et pneus, et à condition de pouvoir rentrer une charrue ou un sous soleur en terre)
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Message complété le 05/07/2018 10:29:25 par son auteur.
COMPLEMENT : la même odeur que dans la ferme que nous avions avec mes parent ... DANS LE LOCAL A PESTICIDE...
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Message complété le 05/07/2018 10:05:43 par son auteur.
Pour ce qui est des vers de terre etc..., je pense que depuis 50 ans les méthodes de travail ont beaucoup évolué, la faute à qui? à ceux qui ont quitté la terre pour des boulots en ville... les autres n'ont pas eu d'autre choix pour y rester. Les méthodes et le matériel employé ne sont certainement pas non plus sans effets, avec en plus les changements climatiques... c'est toujours facile de sortir des chiffres, mais un agriculteur sait très bien que notre métier n'est pas une simple histoire de mathématiques.
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