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Macron renoue le dialogue avec les partenaires sociaux

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moicmoi moicmoi
17/07/2018 21:05:20
1

joseph_P


« « Cher et impayable CRI, votre réaction : "On oublie juste un détail : les syndicats patronaux qui n'ont qu'une ambition , récolter un maximum d'argent public pour leurs mandants sur le dos du pays". » »

Je suppose que ton « cher ami CRI >> chante à tue-tête que seuls les syndicats patronaux sont malhonnêtes ? Et que les syndicats ouvriers sont des anges ?


Je l’ai déjà fait à plusieurs reprises, mais je citerais une fois de plus des ouvrages qu’il fait bon lire

** L’argent noir des syndicats – Roger Lenglet – Jean-Luc Touly et Christophe Mongermont
Editions Fayard


** Syndicats , corruption,dérives, trahisons - Roger Lenglet – Jean-Luc Touly - Editions First Editions



( Roger Lenglet – journaliste d’investigation - Jean-Luc Touly ancien élu CGT - Christophe Mongermont , ex délégué FO, ex secrétaire général FO des entr. CGE, Vivendi secteur eau.)

A se demander pourquoi ils n’ont jamais été attaqués en justice pour diffamation. Peut-être parce qu’ils disent la vérité ?
Certes, les syndicats, qui ne représentant que eux-mêmes ne vont pas renoncer de vivre sur un grand pied. (enfin...ceux d’en haut. Les petits, eux, ils peuvent se faire…..). Alors, la solution c’est de trouver du pognon par tous les moyens. Même le plus sale, même si c’est au détriment des salariés qu’ils sont censés défendre.(Autrement dit, et sur le dos du contribuable, et sur le dos des salariés)
Bien sûr, je doute que ton « cher ami » , vacciné à l’encre rouge, lise ces ouvrages démoniaques. Ouvrages pourtant très instructifs sur bien des points que je recommande vivement à tout un chacun.

  
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joseph_P joseph_P
17/07/2018 16:01:28
1
Cher et impayable CRI, votre réaction : "On oublie juste un détail : les syndicats patronaux qui n'ont qu'une ambition , récolter un maximum d'argent public pour leurs mandants sur le dos du pays".


Si ce n'est pas idéologique, c'est quoi ?


Votre rhétorique tourne à vide (pléonasme), vous n'avez aucun argument, vous ne débattez pas ni même exposez la moindre idée, vous venez avec vos certitudes. Ici, un avis tranché sur les syndicats patronaux qui seraient de vilains pilleurs d'argent public.
Vous pourriez avoir raison que vous auriez tort quand même car vos propos sont des guillotines, vous n'avez aucune nuance, vous êtes celui qui sait, les patrons sont méchants et c'est si simple qu'une fois dit on se demande pourquoi personne ne s'en était rendu compte avant vous !


Ne serait ce que sur ce post, vous ne trouverez jamais un des mes avis qui puisse être relié à une quelconque idéologie.
Comme vous souffrez d'un grave problème de lecture/compréhension, je vous remet un extrait de mon commentaire en mettant en gras le passage qui aurait du vous faire tourner votre langue 7 fois avant de réagir et sortir les inepties habituelles qui sont les vôtres.


"Philippe Nemo écrivait à l'époque que : "En France, la démocratie, toujours en place nominalement, a été remplacée en fait par une dyarchie, un condominium des fonctionnaires et des militants syndicalistes et associatifs sur une société civile privée de droits politiques réels".
Comment lui donner tort ? Tous les "leaders" syndicaux : Thierry Le Paon ex de la CGT, François Chérèque, Stéphane Lardy et tant d'autres, ont bénéficié de toutes les largesses et passe-droit à des fins de recyclage : https://www.contribuables.org/2016/04/hollande-trouve-un-job-en-or-a-thierry-lepaon-ex-leader-de-la-cgt/
Mon seul point de désaccord avec Philippe Nemo et Contribuables associés, c'est qu'ils pointent du doigt les socialistes, alors que la gangrène n'a pas atteint que le seul coté gauche, loin sans faut, ces pratiques durent et perdurent sans que la couleur politique des gouvernements successifs n'y ait rien changé."


Lisez, vous allez vous rendre service, et quand vous ne comprenez pas, il y aura toujours quelqu'un pour vous expliquer.

Message complété le 17/07/2018 16:11:35 par son auteur.

J'avais oublié la fin de premier post qui souligne d'avantage que si je suis critique, j'ai des arguments que j'attends que vous contestiez en lieu et place de guillotiner avec vos certitudes :

"Ainsi, lorsque Jupiter palabre avec les "partenaires sociaux", il parle à personne. Du reste, en lisant l'article, les fameux "leaders syndicaux" ouvriers et patronaux, "espèrent" quelques avancées sociales, mais sont beaucoup plus précis dans leur demande, la seule, qui consiste à savoir la place que le gouvernement va leur laisser."

"leaders syndicaux ouvriers et patronaux", comment des choses aussi simples peuvent-elles vous échapper ?

En fait je vais vous révéler le nom de votre maladie, vous pratiquez ce que les Anglos-Saxons appellent l'innuendo, qui consiste à lire dans un texte ce qui n'y est pas pour l’interpréter par la suite à votre convenance.
Mauvaise nouvelle, ça s'appelle aussi la mauvaise foi, et très peu en guérissent...

  
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Fibopivots Fibopivots
17/07/2018 12:18:49
0
En haut lieu on veut que des emplois soient créés. Parfait mais il faut favoriser ces créations.
Comme disait De Gaulle: "on peut sauter comme un cabri sur sa chaise en s.ecriant l.Europe, l.Europe....mais on n.avancera pas.
  
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CRI74 CRI74
17/07/2018 12:18:10
0
Dit-il avec son nez rouge ...
Et ce moyen âge , à quelle vitesse s'y rend-on ... à moins que nous n'y soyons déjà , ce qui ne paraît pas impossible .
Le bordel français vient moins des syndicats que du comportement arriéré d'une certaine frange dirigeante qui n'exclue aucun coup tordu pour s'enrichir . On l'a encore vu lors des dernières réformes qu'elle avait inspirées ; ce sera pire pour les prochaines et bien tard pour comprendre
Une bien triste réalité qui dispose de bien trop de soutiens surtout côté politique .
  
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JCROIPLU JCROIPLU
17/07/2018 11:53:29
3

En souhaitant que MACRON évoque aux partenaires sociaux comment une entreprise doit fonctionner en prenant exemple avec l'équipe de France de football:
champion du monde quand il y a un bon dirigeant, et que les salariés ne font pas grève (comme hélas le monde l'a vu il y a quelques années)...Pas de syndicats = réussite. Syndicats = bordel.




  
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CRI74 CRI74
17/07/2018 11:22:28
0
En l'occurrence , ce n'est pas de l'idéologie , sentiment qui règne sur l'ensemble de vos écrits , mais plus de l'explication .
Et du ressenti en espèces trébuchantes côté porte - monnaie .... qui ne se soucie guère d'idéologie celui là !!!


  
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joseph_P joseph_P
17/07/2018 10:44:29
1
Cher CRI, votre idéologie l'emporte toujours, hélas, sur votre réflexion.
Vous êtes dans un schéma de lutte dont vous n'arrivez pas à percevoir qu'il ne s'agit pas d'un plan ordonné, que les "patrons" ne sont pas plus ou moins vertueux que les ouvriers, mais que c'est justement un système par trop administré qui s'auto alimente et entretien, avec à son service, des idéologues à qui il est facile de faire croire qu'ils incarneraient un camp plus qu'un autre. des idiots utiles en langage courant.
  
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CRI74 CRI74
17/07/2018 10:16:23
1
On oublie juste un détail : les syndicats patronaux qui n'ont qu'une ambition , récolter un maximum d'argent public pour leurs mandants sur le dos du pays
Mais chut , les quelques centaines de milliards de subventions diverses obtenus pour les (grandes) entreprises ne sont que broutilles aux yeux de certains
Macron , ça trompe énormément ... comme le monde financier éduqué pour cela
  
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narbi narbi
17/07/2018 08:49:29
0
Se qui confirme bien mon opinion de :tous pourris!
  
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joseph_P joseph_P
17/07/2018 08:29:49
2
Le syndicalisme est plutôt une bonne chose, mais de là à dire, qu'en France, recevoir les syndicats c'est recevoir les partenaires sociaux, c'est un abus de langage.

Que représentent ces syndicats ? personne, ou une part tellement ridicule de salariés que les débats qu'ils mènent avec le gouvernement devraient être entachés de nullité.

Une enquête de 2012 révélait que les syndicats représentaient moins de 8% des salariés, dans ce pourcentage un grand nombre de fonctionnaires. À l'époque ils percevaient néanmoins plus de 4 Mds d'argent public. Les chiffres ont depuis évolué : à la hausse pour les subventions, à la baisse pour les adhérents des syndicats.

Philippe Nemo écrivait à l'époque que : "En France, la démocratie, toujours en place nominalement, a été remplacée en fait par une dyarchie, un condominium des fonctionnaires et des militants syndicalistes et associatifs sur une société civile privée de droits politiques réels".
Comment lui donner tort ? Tous les "leaders" syndicaux : Thierry Le Paon ex de la CGT, François Chérèque, Stéphane Lardy et tant d'autres, ont bénéficié de toutes les largesses et passe-droit à des fins de recyclage : https://www.contribuables.org/2016/04/hollande-trouve-un-job-en-or-a-thierry-lepaon-ex-leader-de-la-cgt/

Mon seul point de désaccord avec Philippe Nemo et Contribuables associés, c'est qu'ils pointent du doigt les socialistes, alors que la gangrène n'a pas atteint que le seul coté gauche, loin sans faut, ces pratiques durent et perdurent sans que la couleur politique des gouvernements successifs n'y ait rien changé.

Ainsi, lorsque Jupiter palabre avec les "partenaires sociaux", il parle à personne. Du reste, en lisant l'article, les fameux "leaders syndicaux" ouvriers et patronaux, "espèrent" quelques avancées sociales, mais sont beaucoup plus précis dans leur demande, la seule, qui consiste à savoir la place que le gouvernement va leur laisser.
En décodé, c'est un jeu de dupes, Jupiter qui connait le système, a fait mine de serrer la vis des syndicats, affolant leur biotope, pour les recevoir par la suite et négocier les seules choses qui les préoccupent : leurs subventions et leur position sur l'échiquier car, ils savent que leur représentation étant nulle, en plus de l'argent public qu'ils perçoivent, il faut qu'il aient une "mission", sans cela tout le monde verrait que les rois sont nus...
  
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joseph_P joseph_P
17/07/2018 08:29:49
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Le président Emmanuel Macron à l'Elysée, le 27 juin 2018 à Paris (POOL/AFP/Archives/JULIEN DE ROSA)

Emmanuel Macron reçoit ce mardi, pour la première fois tous ensemble, les huit principaux leaders syndicaux et patronaux, pour évoquer l'agenda social très chargé de la rentrée, avec au programme le plan pauvreté, l'assurance chômage et les retraites.

Les chefs de file des trois organisations patronales (Medef, CPME et U2P) et des cinq centrales syndicales représentatives (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC et CFTC) sont attendus à 9H00 à l'Elysée pour une réunion qui doit durer deux heures. Le président recevra pour la première fois les huit leaders ensemble, après les avoir vus séparément en mai et octobre 2017. Certains syndicats lui avaient, à l'époque, reproché de changer de discours selon l'interlocuteur.

Ce rendez-vous doit "jeter les bases d'un nouveau contrat social, celui du siècle qui s'ouvre", a annoncé le président devant le Congrès la semaine dernière.

Après une première année de quinquennat menée tambour battant sur le terrain social - ordonnances réformant le code du travail déjà en vigueur, adoption prochaine du projet de loi "avenir professionnel" -, M. Macron veut faire le point sur les chantiers de la rentrée.


Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, le 7 juin 2018 à Rennes (AFP/Archives/LOIC VENANCE)

Au menu: le plan pauvreté, dont l'annonce a été reportée à septembre officiellement pour peaufiner son contenu, l'assurance chômage ou encore les retraites. "Les priorités du président sont le retour vers l'emploi, la lutte contre la pauvreté et la précarité, ainsi que la santé au travail, mais il veut être à l'écoute des sujets que les partenaires sociaux souhaitent aborder", selon l'Elysée.

- A l'affût -

Sur l'assurance chômage, les partenaires sociaux seront à l'affût d'éclaircissements de la part du président, qui leur a demandé d'entamer en septembre une nouvelle renégociation des règles du régime, la troisième depuis début 2017.


Prévisions de l'Unédic pour le chômage (AFP/Paul DEFOSSEUX)

Syndicats et patronat sont de nouveau invités à trouver des solutions pour lutter contre les contrats courts et inciter au retour à l'emploi. Outre ces deux thèmes récurrents, le gouvernement souhaite qu'ils réfléchissent à une nouvelle allocation pour les chômeurs de longue durée, qui bénéficient aujourd'hui, lorsqu'ils arrivent en fin de droits, d'une allocation versée par l'Etat (ASS).

Cette annonce a été fraichement accueillie par les partenaires sociaux.

"On est un peu circonspect", a réagi Jean-Eudes du Mesnil du Buisson, de la CPME. Laurent Berger (CFDT), de son côté, a indiqué dans une interview à L'Opinion que sa centrale participerait à cette nouvelle négociation, même si elle n'en était "pas demandeuse".

- "Ecouter un peu plus" -

Les partenaires sociaux comptent également profiter de cette rencontre pour défendre leur rôle, face à un pouvoir qui, selon eux, les malmène.


Les prestations sociales en France (AFP/Simon MALFATTO)

Pascal Pavageau (FO) espère qu'il y aura, à l'issue de cette rencontre, "un après (...) radicalement différent en termes de méthode". Même tonalité du côté de M. du Mesnil du Buisson (CPME), qui "espère que cela fera reconnaître l'utilité des partenaires sociaux en tant que corps intermédiaires". "On a besoin d'y voir un peu plus clair, de savoir quelle place le gouvernement souhaite accorder au paritarisme", a-t-il ajouté.


Le nouveau président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, à Paris, le 3 juillet 2018 (AFP/Archives/ERIC PIERMONT)

A peine élu à la tête du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux critiquait, lui aussi, la méthode Macron : "On voit bien qu'il y a un problème de vitesse. Ce gouvernement va très vite, propose énormément de réformes. On a du mal à suivre." La rendez-vous de ce mardi sera sa première rencontre officielle avec Emmanuel Macron en tant que président du Medef.

Laurent Berger, lui, veut croire que le chef de l'Etat a désormais "le souci d'écouter un peu plus les organisations" syndicales et patronales.

Les huit chefs de file syndicaux et patronaux se sont, chose inédite, réunis la semaine dernière. Leur objectif: sortir d'un rôle ressenti de "faire-valoir" du gouvernement en fixant un agenda social indépendant du calendrier que leur impose l'exécutif. Ils doivent se retrouver en septembre.

Mardi après-midi, Emmanuel Macron recevra une centaine de patrons, dont ceux des principaux groupes français, pour leur demander de prendre "des engagements immédiats, visibles, de créations d'emplois et d'embauches d'apprentis", notamment dans les quartiers difficiles.

© 2018 AFP

  
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