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Message complété le 23/07/2018 10:45:55 par son auteur.
Ou alors, deuxieme lecture.
Arrêtez de vous gargariser sur cette construction de la société t’elle qu’on nous la vend. Sommes nous réellement plus exemplaire avec des diplomes, de l’argent ?
Message complété le 23/07/2018 10:55:54 par son auteur.
Où je veux en venir c’est que c’est pas forcement le profil que vous vous faites du « profiteur du systeme » qui détruit notre société.
Je pense que tout ça vient d’un problème plus général de dégénérecence de notre systeme où l’argent n’est plus donné ceux qui « travaillent ».
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Message complété le 23/07/2018 08:40:51 par son auteur.
Moi je serai pour la legalisation car ça ne changerait strictement rien, sur la quantité consommé à l’échelle du pays.
Ce qui changera, ce sera la reconnaissance comme « travail » dans une vraie echoppe pour celui qui « deal ». Je suis contre donner l’exclusivité aux buralistes car le mode de consommation en cofee shop est pour moi un moyen d’empecher les personnes d’accumuler des stocks pour ensuite les consommer dans la rue. Devant les lycés, même si la reglementation empechera pas vraiment ces pratiques, ceux qui voudront trouveront comment le faire, mais peut-être alors à ce moment cela paraitra moins « cool » que d’etre dans un cofee shop et les jeunes diminuerons ces pratiques pendant les heures de cours.
Message complété le 23/07/2018 08:49:14 par son auteur.
Ah et troisième point.
Mon oncle est buraliste et roule en porsche 911 - je fais ce raccourci pour que tout le monde comprenne du premier coup.
Tout les buralistes sont pas riche, ben lui avec les ventes de la francaise des jeux principalement il se fait un salaire que jamais j’aurai :)
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Message complété le 23/07/2018 09:50:28 par son auteur.
j'admets vos propos, question aides sociales, je pensais surtout aux dealers qui perçoivent des aides, c'est tout de même un comble.Maintenant, il faudrait tout de même arriver à faire comprendre aux jeunes que c'est certainement une des pire solutions que de passer son temps à cela. Mais quand on a des adultes qui ne sont pas mieux, évidement c'est difficile de le leur dire, et cela semble se vulgariser, vu que depuis des années le nombre d'adeptes a bien augmenté.
Message complété le 23/07/2018 09:58:15 par son auteur.
j'admets vos propos, question aides sociales, je pensais surtout aux dealers qui perçoivent des aides, c'est tout de même un comble.Maintenant, il faudrait tout de même arriver à faire comprendre aux jeunes que c'est certainement une des pire solutions que de passer son temps à cela. Mais quand on a des adultes qui ne sont pas mieux, évidement c'est difficile de le leur dire, et cela semble se vulgariser, vu que depuis des années le nombre d'adeptes a bien augmenté.
Les jeunes commencent avec ce qu'ils ont les moyens d'acheter, c'est un début...je n'ai jamais commencé, je me vois mal passer à des drogues dures, même si je devenais riche, et même si j'avais des soucis.Voir des éléphants roses, pas pour moi.Il faut vraiment avoir des problèmes dans la tête pour ne pas voir les conséquences à tous point de vue.
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Les buralistes sont "prêts à commercialiser" du cannabis en cas de légalisation et demanderaient même "l'exclusivité" de sa distribution afin de pallier une baisse des ventes de cigarettes, a déclaré le président de la Confédération des buralistes dans un entretien au Parisien.
"Nous sommes pour le cannabis récréatif s'il est réglementé. Et nous sommes prêts à en commercialiser dans nos bureaux de tabac", a affirmé Philippe Coy, président de la Confédération des buralistes, dans une interview publiée samedi.
"Le 18 juin, j'ai même proposé à la ministre de la Santé d'aller plus loin et de devenir le premier réseau de référence du cannabis s’il est, un jour, légalisé dans l'Hexagone", précise le buraliste.
Cette déclaration intervient alors que des "coffee shops" vendant des produits à base de cannabidiol (CBD) ont essaimé en France et que certains de leurs gérants ont été mis en examen, notamment pour "transport, détention, offre ou cession, acquisition ou emploi de stupéfiants".
Les "coffee shops" français profitent d'un flou juridique qui autorise le CBD dès lors que la teneur en THC (delta-9-tétrahydrocannabinol), composant du cannabis ayant un effet psychotrope, n'excède pas 0,2%.
"Si le CBD et plus largement le cannabis sont autorisés, on veut être présent sur ce marché. On demande même l'exclusivité. On est dans un plan de transformation car les ventes de cigarettes sont amenées à baisser. Il faut donc saisir toutes les opportunités", développe M. Coy.
En 2017, les ventes de cigarettes en France ont reculé de 1,48% en volume, selon un bilan établi par Logista France, fournisseur de la quasi-totalité des buralistes, un an après l'entrée en vigueur du paquet neutre.
© 2018 AFP
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