Le Royaume-Uni refuse le projet de loi sur le Brexit sans accord comme
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Salut Dubaisain.
En liminaire, pour paraphraser Houellebecq : "je vous préviens, sans la religion ça ne fonctionnera pas...", j'y reviendrais.
Le débat ouvert par Michel Onfray dans son ouvrage "Décadence", un de ses bons livres, ce qui n'est pas le cas lorsqu'il est dans un cul de sac comme pour son essai sur "Thoreau le Sauvage", me convient parfaitement, son constat est sans appel, c'est le mien.
Décadence, le mot revient souvent, l'Europe est effectivement dans ce processus et en est au stade quasi terminal, sachant qu'il s'agit ici de temps long et que le basculement se fera en bien moins d'un siècle.
Samuel Huntington, en 1995, avait créé la polémique avec son livre "Le choc des civilisations".
À l'époque, les guillotines étaient encore plus affûtées que de nos jours, le progressisme était en pleine ascension (en fait il était en résurgence) et Huntington prenait le contre pied d'une idéologie qui s'était imposée comme horizon indépassable. Et il faut se remettre dans le contexte de 1995 !
Le progressisme est le moteur de notre décadence. C'est un universalisme, il présente le visage d'ange de Echidna, c'est le mariage de la carpe et du lapin, la fusion du marxisme avec la finance, dont l'aboutissement est un monstre aux moyens sans limites.
L'idée saugrenue du progressisme est d'inventer un humain hors sol, il s'agit surtout de transmuter le citoyen en consommateur. La conceptualisation totalitaire du fameux village global.
La cible ce sont les états nations.
Comme il est impossible de s'attaquer de front à un état sans risquer la guerre, le progressisme a entrepris son travail de sape sur le peuple. C'est l'avènement des droits particuliers dont le substrat en est les droits de l'hommisme : racisme, genre, éducation, féminisme, LGBT, colonialisme, phobies diverses et variées, etc.
Ainsi, le peuple est atomisé au niveau de la cellule souche qu'est la famille. Il est divisé en autant de petits peuples, ce que certains nomment sans savoir de quoi ils parlent le "vivre ensemble", qui dans les faits se matérialise par des communautés d'individus qui ne se parlent pas, ne vivent pas ensemble, ne partagent aucune valeur commune, et dont tout ce qui pouvait en faire des citoyens, a été patiemment et méthodiquement démonté et passé par dessus bord (éducation, histoire...).
Le premier constat, est que ceux qui se sont laissés embarquer par cette idéologie, n'en perçoivent même pas le racisme sous-jacent et l'irénisme inversé (Irénisme, selon la définition originale de Leibniz).
En effet, le progressisme qui prétend rassembler, divise, puisqu'il entend distinguer toutes le communautés, en leur octroyant des droits particuliers. Les droits des femmes, au seul exemple, n'en sont pas les moins incongrus ! Que les humains soient égaux en droits sans distinction de sexe est une chose normale, mais donner à une partie d'un peuple des droits particuliers, au seul motif du genre, en fait de facto des sur-citoyens. Leurs droits venant saper en permanence le droit commun.
Tout ceci créé des frictions, puisque chacun réclame son dû de droits particuliers, et que chacun revendique son appartenance à une communauté, il en résulte que cet agglomérat de petits peuples est en conflit permanent.
L'état centralisateur assurant la gouvernance, est devenu le réceptacle de toutes leurs doléances et la cible de tous les mécontentements.
L'état s'en trouve alors affaiblit, et doit subir en surplus les assauts d'organisations internationales qui dressent l’inventaire permanent des supposées déviances d'un état qui sont en vrac : le climat, le racisme, le féminisme, l'immigration, les LGBT...
Notre Jupiter national, qui n'est même pas présent dans la base de données de l'eV télescope Unistellar, est l'incarnation assumée du progressisme À son sujet, ce qui m'étonne, ce sont ceux qui s'étonnent que Jupiter soit souventes fois contradictoire dans ses propos, et que la presse, vite accusée de collusion avec le pouvoir, ne semble pas relever.
Les journalistes, même s'ils ont toujours été des instruments du pouvoir, n'en sont pas moins des humains et se sont fait les relais de la propagande progressiste plus par réflexe que par complaisance.
C'est ainsi que Jupiter peut dire sans que cela ne surprenne plus grand monde, que la France n'a pas d'histoire, que le colonialisme (grande cause progressiste) c'est mal et qu'il nous rend redevable aeternam (même si la France est composée de gens de couleur noire, qu'ils ont la nationalité française, ils sont accusés de facto d'êtres des colonialistes !), qu'il défende bec et ongles la laïcité tout en donnant des gages aux sphères religieuses, etc, etc...
Le progressisme est un kaléidoscope, une auberge espagnole dans laquelle chacun y trouve ce qu'il cherche et voit et entend ce qu'il a envie d'y voir ou entendre. Le progressisme, c'est son génome, n'offre aucune identité.
On en vient aux religions, je l'avais abordé avec vous en MP.
La religion catholique n'est plus aussi prégnante, elle est en perte de vitesse, l'église universaliste par essence est même prise au piège, elle soutien à son corps défendant toutes les causes progressistes, elle dit encore plus de migrants, elle dit moins de misère, son discours est inaudible car elle est nulle part et partout à la fois. Les causes qu'elle soutient sont ses attendus, mais les effets de ces causes ne sont que : violence, misère, exploitation humaine par l'esclavagisme de populations qui ne sont déplacées qu'à la seule fin de faire tourner la machine mercantiliste globale (Guy Debord, "La société du spectacle" avait raison sur toute la ligne !).
C'est ainsi que le Vatican qui doit son existence à un état fasciste, encourage la destruction de ce qui l'a fortifié !
Il reste l'autre grand monothéisme qu'est l'islam, véritable code civil, dont les progressistes arrosent le jardin, sans percevoir que jamais l'islam ne sera progressiste, c'est même son antinomisme le plus pur, et que les fleurs et fruits de ce dernier ne pousseront jamais dans l'éden progressiste.
Dans le monde en devenir, l'islam, il ne fait nul doute, emportera la partie. L'islam offre une base solide et quasi immuable, la famille y est précieuse, les débats sur le genre et autres causes LGBT n'y ont pas droit de citée, l'Islam est un tout en un : code civil et religieux. L'islam est tout ce qui a été abandonné par notre civilisation chrétienne.
Et dire que certains ont prétention à expliquer le Brexit avec des chiffres et des données économiques, alors qu'il n'est que le produit d'une résistance à la mort annoncé de notre civilisation... Pauvre Agnès Verdier-Molinié et son Think en forme de Tank...
En liminaire, pour paraphraser Houellebecq : "je vous préviens, sans la religion ça ne fonctionnera pas...", j'y reviendrais.
Le débat ouvert par Michel Onfray dans son ouvrage "Décadence", un de ses bons livres, ce qui n'est pas le cas lorsqu'il est dans un cul de sac comme pour son essai sur "Thoreau le Sauvage", me convient parfaitement, son constat est sans appel, c'est le mien.
Décadence, le mot revient souvent, l'Europe est effectivement dans ce processus et en est au stade quasi terminal, sachant qu'il s'agit ici de temps long et que le basculement se fera en bien moins d'un siècle.
Samuel Huntington, en 1995, avait créé la polémique avec son livre "Le choc des civilisations".
À l'époque, les guillotines étaient encore plus affûtées que de nos jours, le progressisme était en pleine ascension (en fait il était en résurgence) et Huntington prenait le contre pied d'une idéologie qui s'était imposée comme horizon indépassable. Et il faut se remettre dans le contexte de 1995 !
Le progressisme est le moteur de notre décadence. C'est un universalisme, il présente le visage d'ange de Echidna, c'est le mariage de la carpe et du lapin, la fusion du marxisme avec la finance, dont l'aboutissement est un monstre aux moyens sans limites.
L'idée saugrenue du progressisme est d'inventer un humain hors sol, il s'agit surtout de transmuter le citoyen en consommateur. La conceptualisation totalitaire du fameux village global.
La cible ce sont les états nations.
Comme il est impossible de s'attaquer de front à un état sans risquer la guerre, le progressisme a entrepris son travail de sape sur le peuple. C'est l'avènement des droits particuliers dont le substrat en est les droits de l'hommisme : racisme, genre, éducation, féminisme, LGBT, colonialisme, phobies diverses et variées, etc.
Ainsi, le peuple est atomisé au niveau de la cellule souche qu'est la famille. Il est divisé en autant de petits peuples, ce que certains nomment sans savoir de quoi ils parlent le "vivre ensemble", qui dans les faits se matérialise par des communautés d'individus qui ne se parlent pas, ne vivent pas ensemble, ne partagent aucune valeur commune, et dont tout ce qui pouvait en faire des citoyens, a été patiemment et méthodiquement démonté et passé par dessus bord (éducation, histoire...).
Le premier constat, est que ceux qui se sont laissés embarquer par cette idéologie, n'en perçoivent même pas le racisme sous-jacent et l'irénisme inversé (Irénisme, selon la définition originale de Leibniz).
En effet, le progressisme qui prétend rassembler, divise, puisqu'il entend distinguer toutes le communautés, en leur octroyant des droits particuliers. Les droits des femmes, au seul exemple, n'en sont pas les moins incongrus ! Que les humains soient égaux en droits sans distinction de sexe est une chose normale, mais donner à une partie d'un peuple des droits particuliers, au seul motif du genre, en fait de facto des sur-citoyens. Leurs droits venant saper en permanence le droit commun.
Tout ceci créé des frictions, puisque chacun réclame son dû de droits particuliers, et que chacun revendique son appartenance à une communauté, il en résulte que cet agglomérat de petits peuples est en conflit permanent.
L'état centralisateur assurant la gouvernance, est devenu le réceptacle de toutes leurs doléances et la cible de tous les mécontentements.
L'état s'en trouve alors affaiblit, et doit subir en surplus les assauts d'organisations internationales qui dressent l’inventaire permanent des supposées déviances d'un état qui sont en vrac : le climat, le racisme, le féminisme, l'immigration, les LGBT...
Notre Jupiter national, qui n'est même pas présent dans la base de données de l'eV télescope Unistellar, est l'incarnation assumée du progressisme À son sujet, ce qui m'étonne, ce sont ceux qui s'étonnent que Jupiter soit souventes fois contradictoire dans ses propos, et que la presse, vite accusée de collusion avec le pouvoir, ne semble pas relever.
Les journalistes, même s'ils ont toujours été des instruments du pouvoir, n'en sont pas moins des humains et se sont fait les relais de la propagande progressiste plus par réflexe que par complaisance.
C'est ainsi que Jupiter peut dire sans que cela ne surprenne plus grand monde, que la France n'a pas d'histoire, que le colonialisme (grande cause progressiste) c'est mal et qu'il nous rend redevable aeternam (même si la France est composée de gens de couleur noire, qu'ils ont la nationalité française, ils sont accusés de facto d'êtres des colonialistes !), qu'il défende bec et ongles la laïcité tout en donnant des gages aux sphères religieuses, etc, etc...
Le progressisme est un kaléidoscope, une auberge espagnole dans laquelle chacun y trouve ce qu'il cherche et voit et entend ce qu'il a envie d'y voir ou entendre. Le progressisme, c'est son génome, n'offre aucune identité.
On en vient aux religions, je l'avais abordé avec vous en MP.
La religion catholique n'est plus aussi prégnante, elle est en perte de vitesse, l'église universaliste par essence est même prise au piège, elle soutien à son corps défendant toutes les causes progressistes, elle dit encore plus de migrants, elle dit moins de misère, son discours est inaudible car elle est nulle part et partout à la fois. Les causes qu'elle soutient sont ses attendus, mais les effets de ces causes ne sont que : violence, misère, exploitation humaine par l'esclavagisme de populations qui ne sont déplacées qu'à la seule fin de faire tourner la machine mercantiliste globale (Guy Debord, "La société du spectacle" avait raison sur toute la ligne !).
C'est ainsi que le Vatican qui doit son existence à un état fasciste, encourage la destruction de ce qui l'a fortifié !
Il reste l'autre grand monothéisme qu'est l'islam, véritable code civil, dont les progressistes arrosent le jardin, sans percevoir que jamais l'islam ne sera progressiste, c'est même son antinomisme le plus pur, et que les fleurs et fruits de ce dernier ne pousseront jamais dans l'éden progressiste.
Dans le monde en devenir, l'islam, il ne fait nul doute, emportera la partie. L'islam offre une base solide et quasi immuable, la famille y est précieuse, les débats sur le genre et autres causes LGBT n'y ont pas droit de citée, l'Islam est un tout en un : code civil et religieux. L'islam est tout ce qui a été abandonné par notre civilisation chrétienne.
Et dire que certains ont prétention à expliquer le Brexit avec des chiffres et des données économiques, alors qu'il n'est que le produit d'une résistance à la mort annoncé de notre civilisation... Pauvre Agnès Verdier-Molinié et son Think en forme de Tank...
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Joseph P,
"L'UE est un machin kafkaïen, c'est la fabrique de la norme poussée dans ses plus stupides retranchements.L'UE c'est une société administrée à grande échelle, structure verticale dans laquelle un cartel dicte la marche à suivre.l'UE c'est le dictât de l'économie de marché.L'UE n'a pas d'issues de secours, elle s'en est doté d'une qu'en 2007, pour la forme, en y imprégnant sa marque, celle d'une règle qui lorsqu'on en prend connaissance, on y constate que les notes de bas de pages sont supérieures à la règle elle même."
Oui, certainement en partie, mais c'est encore tres loin de ce que notre Jean Jacques Rousseau appelait: ..."le joug de la Felicite Publique"!,
"Felicite" d'ailleurs que Lepelletier a theorise: " Considerant a quel point l’espèce humaine est dégradée, je me suis convaincu de la nécessité d’opérer une entière régénération et, si je puis m’exprimer ainsi, de créer un nouveau peuple. »
Theorie, que Billaud-Varennes a defendu: "« Il faut recréer le peuple qu’on veut rendre à la liberté. Puisqu’il faut détruire d’anciens préjugés, changer d’antiques habitudes, perfectionner les affections dépravées, restreindre des besoins superflus, extirper des vices invétérés ; il faut donc une action forte, une impulsion véhémente…
dont Saint just en a edicte la regle :"« Le Législateur commande à l’avenir. C’est à lui de vouloir le bien. C’est à lui de rendre les hommes ce qu’il veut qu’ils soient. »
et que Robespierre a mis en oeuvre:
"« Le principe du gouvernement républicain, c’est la vertu, et son moyen, pendant qu’il s’établit, la terreur. Nous voulons substituer, dans notre pays, la morale à l’égoïsme, la probité à l’honneur, les principes aux usages, les devoirs aux bienséances, l’empire de la raison à la tyrannie de la mode, le mépris du vice au mépris du malheur, la fierté à l’insolence, la grandeur d’âme à la vanité, l’amour de la gloire à l’amour de l’argent, les bonnes gens à la bonne compagnie, le mérite à l’intrigue, le génie au bel esprit, la vérité à l’éclat, le charme du bonheur aux ennuis de la volupté, la grandeur de l’homme à la petitesse des grands, un peuple magnanime, puissant, heureux, à un peuple aimable, frivole, misérable ; c’est-à-dire toutes les vertus et tous les miracles de la République à tous les vices et à tous les ridicules de la monarchie. »
On connait la suite....
Bref, rien de bien neuf sous le soleil.....et nos revolutionnaires de 89 n'auraient pas "rougi" en comparaison avec certains des dictateurs du XXem siècle !!!
La democratie n'existe plus et il n'y en a plus besoin parceque nos gouvernants veulent notre bien et font tout pour notre bien. Si, Si, (non pas l'imperatrice!) oui enfin, je vous l'assure...c'est pour notre bien !!!
Message complété le 23/07/2018 12:50:37 par son auteur.
je vous l'assure...c'est pour notre bien !!! 
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Précision: quand je parle des Français, c'est parce que certains ne connaissent que la faute de nos gouvernants, de quelque bord qu'ils soient, or je pense que, sans minimiser les erreurs ou les défauts des dirigeants, les Français pris dans leur ensemble, pas tous individuellement bien évidement, ont une fâcheuse tendance à toujours tout critiquer de plus en plus violemment et à se plaindre des autres. Les réseaux sociaux favorisent cela et c'est en permanence une surenchère permanente.
Je suis souvent en dessous de ce que je pense moi même, j'aurais parfois envie d'ouvrir davantage ma gueule pour dénoncer ce qui ne va pas (selon moi...et selon bien d'autres), Je suis souvent d'accord, au moins sur certains propos, mais j'évite d'attiser un incendie inutilement. Ce n'est pas toujours bon et conduit parfois à des ravages.Quand on me parle des adorateurs de l'UE, je ne pense pas en faire partie, vous ne pouvez nier que j'ai apporté mes propres critiques, avec des exemples on ne peut plus précis, Je m'exprime seulement avec plus de mesure. Si on n'est pas capable de mesurer simplement ses propos, on peut se demander ce qu'il en sera des actes et de l'avenir du pays plus tard. C'est facile de tout détruire, de faire table rase... mais après? Pour rire, rien à voir me direz vous dans cette affaire, mais je fais un parallèle...pardon pour les victimes... prenez AZF, 1/4 de seconde...depuis on achète notre azote ailleurs.
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Personnellement je trouve hypocrites les Français qui se plaignent des lois Européennes, alors qu'ils sont les champions de la paperasserie en Europe et en rajoutent souvent une couche quand il s'agit de les appliquer ... Je ne parle pas du 80km/h qui n'existe que pour servir de pompe à fric, mais d'un tas de décrets qui , mis bout à bout, deviennent ingérables. Ensuite n'y touchons plus, sinon c'est la révolution....par contre avez vous jamais vu des manifs pour réclamer une simplification ?
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Référence post du 22/07/2018 15:44:04.
Le Brexit est un processus long et complexe, dont certains s’illusionnent qu'il s'en aurait fallut de quelques jours pour que le RU s'extrait de l'UE.
Ce qui se déroule actuellement, est l'expression même de la démocratie. Dans le RU il y a des forces contraires qui sont les garantes que la démocratie (1) ne vire au totalitarisme. Sur un plan plus large, c'est un théâtre politique dans lequel des forces exogènes s'affrontent, à la fois intra et hors UE.
(1) une démocratie est toujours un totalitarisme, ce n'est question que de curseur.
Theresa May a reçu Trump qui lui a clairement dit qu'elle fallait qu'elle soit d'avantage agressive. Le résultat fut la nomination d'un ministre "euro-septique" selon la formule consacrée.
Ce ministre impose donc des conditions on ne peut plus recevables en exigeant qu'un accord commercial soit trouvé avant que la facture, qui n'est que la fin du règlement des engagements du RU envers l'UE, soit réglée par les anglais.
Les anglais qui sont de fins stratèges, savent que s'ils sortent sans un accord d'échange, l'UE sera ensuite en position de force pour imposer ses conditions.
Ainsi, aux seules fins idéologiques, l'UE est disposée à faire payer un lourd tribu aux contribuables européens en punissant le RU pour en faire un exemple (les commentaires de divers commissaires européens ne sont pas équivoques sur ce sujet).
Lourd tribu, qui s'explique par le manque à gagner pour l'UE car le RU redirigerait ses commandes vers d'autres pays que la zone Euro, rappelant que le RU est le 4ème importateur mondial (!) pas tout à fait des quiches ni des Grecs.
Comme abordé dans mon post en référence, La chine, les USA, sont aux aguets. Et l'Allemagne y laisserait sa culotte, Game over pour l'UE.
je développe également sur les raisons, évidentes, qu'ont les USA à vouloir établir des accords commerciaux avec les anglais, d'où la visite de Trump.
Les bisounours, voire les hypocrites, notamment ceux français, s'en trouvent à dire que les anglais sont des fourbes, là où ils devraient être des exemples pour nos technocrates français infoutus de négocier quoi que ce soit. Il est par ailleurs intéressant que pour beaucoup, l’Angleterre est désignée comme une référence en termes d'affaires... hypocrisie est donc bien le mot.
Concernant la thèse qui consiste à dire qu'aucun argument économique recevable n'est apporté par les Brexiter, elle ne tient pas car, ce même argument se retourne immédiatement vers ceux qui prétendent que si le RU reste dans l'UE il s'en trouverait mieux.
Pire encore, les anglais enregistrent la plus forte réduction de déficit de la zone euro fin 2017. Comment prétendre sans rougir que ce résultat est lié au fait que le RU est dans l'UE ?
Faisant fi de toute logique, et d'une mauvaise foi patente, les mêmes oublient opportunément que tous les autres pays de la zone se coltinent un chômage endémique et un déficit du même ordre de grandeur.
Dès lors, si le RU a de bons résultats par le fait qu'il est membre de l'UE. Tous ceux, quasiment la totalité des autres membres, qui ont de mauvais chiffres peuvent imputer leurs mauvais résultats du simple fait de leur appartenance à l'UE. S'en devient ubuesque de bêtise.
En soutenant cette thèse, les pires détracteurs du RU sont ceux qui illustrent le mieux que les Anglais sont plus fort que tous, puisque en étant présent d'ans l'UE, ils ont un déficit riquiqui, il réduisent leur dette, ils ont le plus faible taux de chômage ou presque, et possèdent une place financière que le monde entier leur envie.
Si j'étais l'un de ces détracteurs, je me dirais que si le RU sort, ses raisons doivent être valables, soulignant avec férocité que la France qui reste dans l'UE, avec les mauvais résultats (doux euphémisme) qui sont les siens, doit être soit d'une nullité affligeante, soit... je vous laisse le soin des superlatifs.
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les gens de la GB sont de grand commerciaux depuis des décennies, on sera les dindons de la farce comme d'habitude puisqu’à Bruxelles il n'y a que des nases !
L'UE : les financiers et nos traîtres de politiques nous l'ont mise profond (29 mai 2005 vous ne vous souvenez pas?)
respectons le vote du peuple anglais qui lui a été validé! (même si la démocratie en gêne certains!)
God save the queen non?
L'UE : les financiers et nos traîtres de politiques nous l'ont mise profond (29 mai 2005 vous ne vous souvenez pas?)
respectons le vote du peuple anglais qui lui a été validé! (même si la démocratie en gêne certains!)
God save the queen non?
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Jipes, sur un point, je suis d'accord avec vous, sortir des griffes de la finance...je l'ai déjà dit de différentes façons, quand il y a un problème, cherchez ouse cache le problème d'argent... j'ajoute avec les petits copains et avantages divers... pas besoin d'en dire plus.! Alors allez au boulot, mais bon courage, attention à vos dents. Ce n'est pas d'un chèque ou d' un virement qu'il s'agit.
Sortir de l'EU ne vous sortira pas de leurs griffes, pas mieux après qu'avant... c'est ma pensée, je peux me tromper, mais sans illusions de voir ce rêve se réaliser. L'argent est le nerf de la guerre, sans argent vous ne vous battrez qu'avec des fusils en bois.
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On n'attend néanmoins le début de commencement d'argumentaire sérieux supportant l'avenir radieux que pourrait obtenir la Grande Bretagne avec son Brexit alors que ses principaux prétendants ont avoué leurs allégations , que leur premier ministre actuel se prend baffes après baffes , que les milieux économiques , notamment la finance fait ses valises pour l'Europe à coup de milliers d'emplois rapatriés sur le continent .
Mieux encore , la Grande Bretagne voudrait imposer ses vues aux 27 européens !
De qui osent -ils se moquer encore ?
Petit rappel bienvenu :
Depuis l'annonce du Brexit , la Grande Bretagne surfe sur deux éléments maintenant son économie à flôts
_ La baisse de la monnaie , facteur positif pour la compétitivité mais très négatif pour les anglais eux mêmes (renchérissement des produits importés )
_ Le maintien dans l'UE jusqu'en mars 2019 . Après , ce sera une toute autre chanson avec la perte du passeport européen dans la finance (l'essentiel du PIB anglais , de très loin) et des relations économiques fortement amputées par des nouveaux tarifs douaniers .
Vous pouvez toujours essayer d'enfumer le passant avec de l'argumentaire fallacieux , il en faudra d'autres autrement plus convaincants . Ce sont les anglais qui vous en parleront le mieux d'ailleurs , déjà bien nombreux à vouloir déserter leur nation
Mieux encore , la Grande Bretagne voudrait imposer ses vues aux 27 européens !
De qui osent -ils se moquer encore ?
Petit rappel bienvenu :
Depuis l'annonce du Brexit , la Grande Bretagne surfe sur deux éléments maintenant son économie à flôts
_ La baisse de la monnaie , facteur positif pour la compétitivité mais très négatif pour les anglais eux mêmes (renchérissement des produits importés )
_ Le maintien dans l'UE jusqu'en mars 2019 . Après , ce sera une toute autre chanson avec la perte du passeport européen dans la finance (l'essentiel du PIB anglais , de très loin) et des relations économiques fortement amputées par des nouveaux tarifs douaniers .
Vous pouvez toujours essayer d'enfumer le passant avec de l'argumentaire fallacieux , il en faudra d'autres autrement plus convaincants . Ce sont les anglais qui vous en parleront le mieux d'ailleurs , déjà bien nombreux à vouloir déserter leur nation
Message complété le 22/07/2018 19:21:39 par son auteur.
On attend ...
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Rien de comparable avec la guerre de 14/18 et de 39/45... et les Russes n'ont pas encore envahi un pays de l’EU, la Pologne et Prague ont quitté l'Urss pour rejoindre l'UE depuis bien des années, et les Russes se sont cantonnés à intervenir directement seulement hors de l'UE...maintenant on a les islamistes, qui nous coûtent cher, mais, une goutte d'eau en vies humaines pardon pour les victimes, ce n'est pas un jeu de mot
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Salut Jipes.
Dire que le changement coûterait de l'argent, est un oxymore. Qui en fait la démonstration ? personne, cette assertion n'est que l'expression d'une peur consubstantielle à l'impossibilité de concevoir ce qui en définitive ne peut être défini...
Tu as remarqué comme le mot "guerre" revient dans l’argumentaire européiste. Cette fable est un des arguments plus que fallacieux utilisés par la doxa, sans que là aussi, jamais personne ne se soit senti obligé d'apporter une explication à cette affirmation péremptoire.
L'UE a été possible car justement les nations, qui sont les bases de toute démocraties, étaient en paix.
L'UE a été créée avec Maastricht en 1992. Elle a reçu le Prix Nobel de la Paix, source Wiki "Le prix Nobel de la paix 2012 est attribué à l'Union européenne, en tant que personne morale, pour l'ensemble de ses actions en faveur « de la paix et de la réconciliation, la démocratie et les droits de l'homme en Europe », de la fondation de la CECA en 1952, à l'extension de la CEE, puis de l'UE, de 6 à 28 États".
Formidable ! L'UE qui n'a que 23 ans d'existence, serait parangon dune paix de plusieurs décennies, paix qui lui préexiste pourtant de plus 40 ans !
Pour rappel, l'empire Romain qui avait une taille jamais atteinte par nul autre organisation humaine, n'a été que succession de guerres pour finir par disparaître.
La France, membre de l'UE, a son compteur guerres qui totalise 17 Guerres (!) depuis 1950 (guerre de Corée). Depuis 1995, création de l'UE, le compteur de la France est à 7 guerres : Kosovo; Afghanistan opérations Pamir, Héracle, Péridote; Côte d'Ivoire, opération Licorne: Lybie, opération Harmattan; Mali, opération Serval et Barkhane; Centrafrique, opération Sangaris; Opération Chammal contre l'Etat islamique. Certains sont toujours en cours. La plupart des pays membres ont une liste sans fin de conflits.
L'UE pas la guerre... il y a un moment, il faut arrêter de raconter n'importe quoi.
Dire que le changement coûterait de l'argent, est un oxymore. Qui en fait la démonstration ? personne, cette assertion n'est que l'expression d'une peur consubstantielle à l'impossibilité de concevoir ce qui en définitive ne peut être défini...
Tu as remarqué comme le mot "guerre" revient dans l’argumentaire européiste. Cette fable est un des arguments plus que fallacieux utilisés par la doxa, sans que là aussi, jamais personne ne se soit senti obligé d'apporter une explication à cette affirmation péremptoire.
L'UE a été possible car justement les nations, qui sont les bases de toute démocraties, étaient en paix.
L'UE a été créée avec Maastricht en 1992. Elle a reçu le Prix Nobel de la Paix, source Wiki "Le prix Nobel de la paix 2012 est attribué à l'Union européenne, en tant que personne morale, pour l'ensemble de ses actions en faveur « de la paix et de la réconciliation, la démocratie et les droits de l'homme en Europe », de la fondation de la CECA en 1952, à l'extension de la CEE, puis de l'UE, de 6 à 28 États".
Formidable ! L'UE qui n'a que 23 ans d'existence, serait parangon dune paix de plusieurs décennies, paix qui lui préexiste pourtant de plus 40 ans !
Pour rappel, l'empire Romain qui avait une taille jamais atteinte par nul autre organisation humaine, n'a été que succession de guerres pour finir par disparaître.
La France, membre de l'UE, a son compteur guerres qui totalise 17 Guerres (!) depuis 1950 (guerre de Corée). Depuis 1995, création de l'UE, le compteur de la France est à 7 guerres : Kosovo; Afghanistan opérations Pamir, Héracle, Péridote; Côte d'Ivoire, opération Licorne: Lybie, opération Harmattan; Mali, opération Serval et Barkhane; Centrafrique, opération Sangaris; Opération Chammal contre l'Etat islamique. Certains sont toujours en cours. La plupart des pays membres ont une liste sans fin de conflits.
L'UE pas la guerre... il y a un moment, il faut arrêter de raconter n'importe quoi.
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A part l'Irlande, l'ex Yougoslavie et l'ensemble des pays balkaniques, l'ETA, l'invasion de la Hongrie, quelques empoignades en Mer Egée entre Grecs et Turcs, le printemps de Prague, la révolte des Polonais, l'Ukraine…………..
j'en oublie certainement mais à part ça, la Paix, c'est celle que l'on veut bien se faire et surtout s'en accommoder.
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Le système politique actuel de l’UE n’est pas satisfaisant
Peut-être que sans les Britanniques l’évolution sera plus facile
Pour la PAIX, relisons l’histoire il n’y JAMAIS eu 73 ans de paix en Europe
Mais moi à l’inverse de certains je peux me tromper
Peut-être que sans les Britanniques l’évolution sera plus facile
Pour la PAIX, relisons l’histoire il n’y JAMAIS eu 73 ans de paix en Europe
Mais moi à l’inverse de certains je peux me tromper
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Salut Pictou,
**les changements coûteront des fortunes à mettre en place, bon nombre de gens en verront leur vie bouleversée.**
Très bien ton point de vue. A propos du coût de l'émancipation de certains pays, rien n'est comparable à retrouver sa liberté, à sortir de l'emprise qu'une sorte de clan de la finance fait régner au nom de la mondialisation.
Mondialisation, voilà cette épine dans le pied qu'il faut retirer. Comment veut on tout mettre à niveau quand il y a autant de disparités entre les pays que ce soit au niveau social, dans le train de vie, dans le domaine du travail et de l'administratif.
D'avoir mis en premier plan l'euro (pour ce qui est de l'Union Européenne) avant d'assurer un mode de société quasi égal dans l'ensemble des pays qui la compose, un jour ou l'autre, de trop tirer sur la corde, celle-ci casse et ce n'est pas toutes les gesticulations de notre Président qui y changeront quelque chose.
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Justement, tout cette zizanie mènera a une seul solution ... Au final, le Royaume-Uni ne sortira pas de l'Union Européenne 
Pedro
Pedro
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Zizanie...ce qui m'inquiète, c'est de voir à quel point il est difficile de s'entendre, rien que sur des principes, y compris avec des gens qui sont, je n'en doute pas, intelligents, même si parfois les mots vont parfois plus loin que les pensées. (je viens d'en faire l'expérience ici, mais à ce stade, les mots restent des mots, sans conséquences pour l'avenir du pays, )
Cependant, comme je l'ai déjà dit, les intérêts sont souvent divergents dès qu'il s'agit d'argent, pas besoin de faire un dessin.
Partant de ce constat, je me demande bien ce qu'il adviendra du pays le jour ou l'Europe éclatera. ça continuera forcément entre les états, et y compris au sein des états, voyez en Angleterre actuellement...les changements coûteront des fortunes à mettre en place, bon nombre de gens en verront leur vie bouleversée.
Se replier sur soi? Impossible de nos jours, surtout pour un petit pays, sauf à retourner au moyen age, à remettre des frontières partout, des droits de douane etc...pas besoin de développer pourquoi, je pense?
L'Europe n'a pas fait la paix, c'est ce qui a été dit sur un post, croyez vous qu'en sortir sera mieux en cela, on n'en prend pas le chemin en rejetant tous les immigrés sans ménagement (je ne suis pas pour autant partisan de tous les recevoir), et en laissant sur la paille une partie de la population (je ne suis pas non plus pour distribuer des aides sans contrepartie ni raison valable. Quand je vois l'intransigeance de certains, qui pourtant prétendent vouloir défendre une meilleure prise en compte de chacun, je me demande comment il sera possible de vivre en paix. J'ai donné mon point de vue, j'espère qu'on pourra le respecter... je ne répondrai pas, cela évitera des polémiques absurdes sur ce sujet. Merci
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Le problème de l'Irlande du Nord qui revient régulièrement sur le tapis mais qui n'est pas traité dans cet article est insoluble, donc même s'il y a des avancées ailleurs, ça finira par coincer sur ce sujet et le Brexit sera dur.
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De Gaulle avait-il des œillères ? J’en doute
Toi tu dois attendre encore 3 ans et 10 mois pour avoir une chance de faire changer d’avis les Français
Patience, et ne rêve pas trop
Toi tu dois attendre encore 3 ans et 10 mois pour avoir une chance de faire changer d’avis les Français
Patience, et ne rêve pas trop
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Salut Pedru,
Tu viens de remettre tes œillères.
Les Britanniques, quoi que tu dises, ne sèment pas la zizanie dans l'Union Européenne. Ils font preuve de clairvoyance et, en voulant reprendre leur indépendance, ils font aussi preuve de fierté que bien des pays, réduits au rôle de simples figurants, n'osent même plus leur envier.
Les Italiens sortiront ou ne sortiront pas, peu importe, ils pousseront à leur tour l'Union Européenne vers son déclin.
A propos de zizanie, regarde plutôt du côté des sociaux-démocrates qui veulent tout régenter et montent, pour rester au pouvoir, les populations les unes contre les autres en prétendant qu'il existe dans chaque pays des mouvements dont les membres pourraient être dangereux surtout parce que les idées de ces derniers sont contraires à la bien-pensance bruxelloise.
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De Gaulle qui les connaissait bien ne voulait pas des Britanniques dans l’Europe, c’est l’enfoiré de Pompidou qui les a fait accepter, depuis 40 ans il sème la zizanie dans l’UE
Vivement qu’ils en sortent, de préférence sans accords, UE pourra évoluer
Les Italiens ne sortiront pas
Vivement qu’ils en sortent, de préférence sans accords, UE pourra évoluer
Les Italiens ne sortiront pas
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On avait déjà Trump...Les paris sont ouverts, qui tapera le plus fort sur la table? avec la sortie possible des Italiens, on fera même le tiercé. En bourse, ça va promettre aussi... je pense qu'à ce train là, je vais retirer vite fait mes billes avant que ça sente trop le roussi
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