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Message complété le 28/07/2018 09:16:40 par son auteur.
Cette anecdote sur la banane, l’oeuf et l’omelette, c’est aussi une histoire d’identite.
Message complété le 28/07/2018 09:25:27 par son auteur.
Je n’ai pas perdu mon identité mais j’en ai acquis une seconde et je vis très bien avec les deux!
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Message complété le 27/07/2018 16:34:03 par son auteur.
Jipes : "Pourquoi Macron est-il allé rencontrer Sanchez à Madrid".
Car Jupiter est totalement isolé au sein même de l'Europe ! Il en est réduit à parler avec un imposteur, un Président par intérim. L'Allemagne fait ses courses aux USA en envoyant son VRP Juncker, sans même se donner la peine de consulter la France ! En résulte que des accords ont été trouvé (l'article) et que Jupiter en est réduit aux effets d’annonces en disant que ce n'est pas bien ni beau la mauvaise bouffe qui va nous arriver par cargos entiers. Mais lorsque les marchandises arriveront, il fera ce qu'il sait faire le mieux, tourner à angle droit de ses déclarations.
Rappelez vous la sortie lamentable sur les migrants à la fin du sommet européen, "la France n'est pas concernée car ce n'est pas un premier choix". Charlot ! Juste avant il criait haut et fort qu'il fallait punir financièrement tous les pays que se refusait à accueillir des migrants (!) Guiseppe Conte et Salvini lui ont rabattu son caquet, il s'est même excusé auprès des italiens.
Il est cuit, et il le sait.
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Emmanuel Macron a jugé jeudi à Madrid "utiles" les discussions menées la veille entre Donald Trump et Jean-Claude Juncker, tout en indiquant ne pas "être favorable" à la négociation d'un "vaste accord commercial" entre l'Union européenne et les Etats-Unis.
"L'Europe et la France n'ont jamais voulu une guerre commerciale et donc la discussion d'hier, en tant qu'elle permet de repousser toute tension inutile et d’oeuvrer à l'apaisement est utile", a déclaré le président français après un entretien avec le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez.
"Mais une bonne discussion commerciale (...) ne peut se faire que sur des bases équilibrées, réciproques et en aucun cas sous la menace", a ajouté Emmanuel Macron. "A cet égard, nous avons un certain nombre d'interrogations et de préoccupations que nous allons clarifier".
"Je ne suis pas favorable à ce que nous nous lancions dans la négociation d'un vaste accord commercial, à la manière du TTIP, parce que le contexte ne le permet pas", a-t-il prévenu, en réaffirmant son opposition à y inclure l'agriculture.
"Je considère qu'aucun standard européen ne doit être supprimé ou abaissé en matière environnementale, sanitaire ou alimentaire par exemple", a-t-il ajouté.
"Il faut aussi des geste clairs des Etats-Unis, des signaux de désescalade sur l'acier et l'aluminium auxquelles des taxes illégales ont été appliquées. C'est pour moi un préalable à toute avancée concrète", a souligné le chef de l'Etat français.
M. Trump et M. Juncker ont annoncé une série de décisions dans l'agriculture, l'industrie et l'énergie dont la portée exacte reste cependant à confirmer.
Pedro Sanchez a déclaré de son côté ne pas croire "à l'imposition d'une certaine économie, de ses critères et de ses politiques en lien avec le commerce internationale".
"Nous ne voulons aucune guerre commerciale", a ajouté M. Sanchez, se disant déterminé à "défendre la politique agricole commune" de l'UE.
© 2018 AFP
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