La croissance déçoit et complique l'objectif gouvernemental
Cours temps réel: 8 016,65 -0,93%| Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
Il y a encore quelques petites décennies, les élus l'étaient déjà pour la fonction et ses avantages mais, leur éducation permettait d'envisager un minima en terme de retours attendus. L'Etat était ainsi relativement axé vers l'intérêt général.
De nos jours, un Président de la République n'a même plus besoin d'un programme. Il peut même se permettre d'insulter, selon ses humeurs, certains français : "d'alcooliques", "d’illettrés", "fainéants", et j'en passe. Il peut même en tant que chef de l'Etat insulter des pays alliés, donc au nom des Français, mais en a t-il seulement conscience ?
Il peut aussi, alors qu'il est à sa tête et qu'il s'est beaucoup employé pour y être, déclarer goguenard que la France n'a pas de culture, déclarer n'avoir jamais vu l'art français, et que la France serait passible de crime contre l'humanité !
La question qui ne se pose pas, est : pourquoi postuler pour diriger un tel ramassis de merde ? Aurait-il une haute idée de lui même ? la réponse est d'évidence oui car il se dit Jupiter, rien que ça. Ainsi, il n'est pas en poste pour diriger la France, mais pour la sauver ! Nous, toi et moi, devrions être reconnaissant qu'un tel génie se pencha sur nos déviances.
Pourtant, à y regarder de plus près, le type fréquente la racaille, en col blanc, mais aussi celle issue des culs-de-basse-fosse, son pote Benalla en témoigne. Il est également pote avec les Bogdanoff, imposteurs et affabulateurs bardés de faux diplômes. Les techniciens de l'état, pourtant nombreux et compétant, ne lui plaisant pas, il nome son autre pote Stéphane Bern pour une mission sur le patrimoine Français (dont il dénie par ailleurs l'existence). Il a également pour proche Sibeth Ndiaye et sa remarquée saillie "yes la meuf est dead" pour évoquer la mort de Mme Simone Veil. Il nome secrétaire d'Etat une certaine Marlène Schiappa qui expliquait dans un de ses ouvrages comment frauder la sécurité sociale. Cessons là, la liste est sans fin.
En considérant ce qui précède et qui ne sont que des extraits de sa déjà trop longue carrière, de son passif, Emmanuel Macron est un imposteur, mais ce qui importe c'est qu'il se soit dresser en rempart contre un fascisme inventé de toutes pièces.
Ceux qui ont voté pour lui, disent sans détour que ce n'est pas leur Président mais qu'eux aussi ont empêché par leur votes que la "lèpre" (autre mot de Jupiter pour désigner ce qui ne lui ressemble) ne contamine la France.
Tout ceci n'est que divine comédie, l'enfer de Dante Alighieri et ses cercles concentriques que sont tenus de parcourir les français pour expiations de leurs fautes. Et en plus, il faudrait que l'on se taise...
|
Répondre
|
« Le second degrés est une particularité toute française, »
Je ne sais pas si c’est une particularité toute française,mais j’aime bien en user quelques fois. Idem d’ailleurs pour l’auto-dérision.
Le second degré ? J’en reviens à mon parallèle avec le photographie de « dans le temps. » Au développement, on obtenait un négatif, qui ne révélait son bon côté qu’après être passé dans les 3 bains. Ce qui imposait de savoir déchiffrer le négatif, pour en deviner le résultat final. Et c’était pire encore avec le développement des diapositives couleurs.
Mais je pense que la génération qui n’a connu que le numérique ne peut pas savoir cela, ni connaître toutes les possibilités d’effets spéciaux qui étaient offertes par l’argentique (pour l’instant).
Je suppose que notre ami Luncyan est de la génération numérique. Et qui plus est, peut-être un peu trop cartésien, (formaté oserais-je dire sans vouloir l’offenser). La raison pour laquelle il a cru percecvoir de la haine alors que je n’y ai perçu que de l’humour.
« les fameuses question existentielles, »
Merci bien ! Je leur préfère grandement le bon sens paysan ! Le paysan , lui, il sait de quoi il parle. Alors que les philosophes…...suivez mon regard.
« Jupiter, même avec beaucoup de volonté, on à peine à voir où il veut aller »
Ou il veut aller ? Pour moi, c’était clair dès le début : + d’Europe qui ne fait rien. (et avec un gouvernement pompe à fric) – paupérisation des classes moyennes (impositions et immigration)
avec pour corollaire, enrichissement de ceux qui l’ont propulsé à ce poste : les banques , les médias et le patronat de multinationales. (éradication de la concurrence « mal-pensante » pour le premiers lloi Fake News) a main-d’oeuvre pas cher et corvéable à merci (immigration et sans papiers) ne peut que leur convenir.)
Du petit peuple, il n'en a rien à foutre.
Hélas, un certain nombre d’électeurs ne l’ont pas perçu. Le réveil sera difficile.
|
Répondre
|
Le second degrés est une particularité toute française, toi et moi en abusons. Mais ne s'usent les choses que si l'on s'en sert.
J'ai échangé un temps avec des Canadiens, des Québécois pour la plupart, on m'avait demandé de pondre quelques articles. Je n'ai pas souvenir de gens ayant autant de premier degrés ! Tout y est pris au pied de la lettre, je connais mal ce pays, mais ça au moins ça m'avait interpellé, et le groupe dont je parle était composé d'universitaires. J'ai vite révisé mes copies, puis j'ai lâché l'affaire pour d'autres motifs.
On retrouve l'esprit français chez nos amis Anglais, ils sont acides et caustiques, il t'en balancent toujours quelques unes mais avec le sourire. L'humour anglais est du reste délicieux.
Je ne réponds pas aux injonctions, je pense que sur ce point, à minima, nous sommes proches.
Luncyan m'interpelle, il n'est pas le seul, je veux bien répondre mais il ne pose pas une question, il fait part d'un sentiment, il dit déceler chez moi de la haine. Rien à répondre à ça, c'est son problème, pas le mien. Je sais qui je suis et j'ai ce minima d'intelligence qui me permet de savoir que la haine est un sentiment qui n'atteint que son émetteur.
Il y a comme bien souvent de grandes différences culturelles, je préfère certains du site qui, comme moi commettent des fautes, s'expriment avec leurs mots, mais jamais ne se posent des questions auxquelles ils ne peuvent avoir de réponses, les fameuses question existentielles, celles qui remplissent les cabinets des sociologues. Ceux-là expriment leurs idées, ils n'ont que faire du qu'en-dira-t-on, leur propos peut paraître excessif mais comme je l'ai dit par ailleurs, les gens en on marre, ils en ont assez des conneries du style "laissons lui une chance". Un Président n'a pas de période probatoire, à ce niveau de pouvoir la compétence est le minima attendu. Ont peut ne pas soutenir une politique, c'est même l'expression de la démocratie que les forces contraires s'expriment et s'affrontent. Mais un Président de la République doit s'activer, avoir un projet politique, on ne les paye pas pour s'occuper des migrants, du racisme en peau de lapin, à se rependre dans des commémorations, à donner des leçons aux autres, donner des gages aux pseudos féministes, tenir salon avec des assoces, etc.
Jupiter, même avec beaucoup de volonté, on à peine à voir où il veut aller, sa République est en marche, mais on ne sait toujours pas vers où. Il est en échec absolument partout, il est évident maintenant que le roi est nu, et que 3 ans en sa compagnie ne seront que bis repetita des Sarkozy et Hollande. Si ça convient à certains, grand bien leur fasse, pour ma part et la tienne, je pense pouvoir t'associer, il me reste, encore pour un temps, la possibilité de m'exprimer. Dont acte.
Notre époque, celle de l'avènement de balance ton porc, est d'un formalisme effarent, je suis consterner de lire des tweets (je n'ai pas de compte Tweeter !) qui ne sont que de congratulations et avis péremptoires, c'est normal du reste, le format n'est pas fait pour l'expression des idées, mais pour la réaction basée sur les images et les sentiments qui en découlent.
|
Répondre
|
Salut,
« Tu dis tout ça car tu as mauvais fond ! »
Mauvais fond, mauvais fond…...disons révolté devenu révolutionnaire à force de se faire empapaouter.
Mais, ne serais-tu pas toi-même un peu révolté ? Pour les mêmes raisons que moi.
« Tu devrais être content de payer des impôts »
Mais….cher ami, je suis content de payer des impôts. Ça veut dire que je gagne des sous (ou du moins, j’ai gagné durant mes années d’activités , sans avoir jamais quémandé le moindre assistanat). Et ma retraite, je ne l’ai pas volée. Y’en a qui se charge de me la voler.
Ça veut aussi dire que je contribue à la bonne marche du pays.
Là où je ne suis plus d’accord, c’est quand mes impôts sont utilisés par des cons qui se disent z'élites, et comme des cons
« de vieux, de populiste, de raciste, de phobe, de blanc. »
Ils peuvent me traiter de ce qu’ils veulent, j’en ai rien à foutre. Et je leur dis , aux traiteurs de...: »faites un test de connerie, et on verra après. »
Moi, je suis propre, Par contre, nos z’élites, c’est des wagons entiers de +OMO lave plus blanc+ qu’ils auraient besoin. Résultat non garanti !
Luncyan
« Joseph pourquoi tant de violence ? »
violence ? Après moi ?….Je ne vois pas.
L’humour ne doit jamais se prendre un premier degré.
Souvent, l'humour, c'est comme dans au temps de la photo argentique : il y a un négatif.
|
Répondre
|
Salut luncyan
Faut pas chercher, même pas capable de se rendre compte de ce qu'il dit ... violence ? Ne serait-ce que des mots, il ne connait pas la mesure. Petit exemple parmi tant d'autres, " Au passage, achète (non remboursable bien sur) un grand pot de vaseline, car une fois courbé... " qu'il en parle à ses partenaires féminines c'est son affaire, mais ici, il trouve ça normal? pas violent...je sais, la vaseline ça adoucit... il a du en manquer dans sa vie, il parle certainement de même à ses collaborateurs, (il a parlé de "ses entreprises", je me demande qui peut rester à travailler avec un individu aussi intransigeant, violent dans ses propos.
Il a zappé mes posts pour ne plus les voir, parce qu'il n'avait pas d'arguments pour répondre à mes questions sans se renier, toujours à se croire supérieur aux autres...
C'est mieux ainsi, et s'il n'a pas pu lire ma réponse du 26/07 à 11h48 sur la file--- L'UE menace de taxer 20 milliards de dollars de produits américains---,c'est son affaire, il ne fait que prouver son arrogance. Ça m'évite de recevoir des insultes inutilemnt, mais ne m'interdit pas de relever ses contradictions. Il a de l'instruction, ...mais à n'en pas douter, des lacunes tout aussi importantes..!. Dans la vie tout est relatif... ce n'est finalement qu'un pauvre type.
|
Répondre
|
Si vous ne comprenez pas ce que je dis, ce qui est d'évidence le cas, c'est votre problème.
|
Répondre
|
Exprimez vous une bonne fois pour toute pour la raison de toute cette haine
|
Répondre
|
|
Répondre
|
|
Répondre
|
Tu dis tout ça car tu as mauvais fond ! Tu devrais être content de payer des impôts, et en plus tu devrais baisser la tête quand on te traite de vieux, de populiste, de raciste, de phobe, de blanc. Au passage, achète (non remboursable bien sur) un grand pot de vaseline, car une fois courbé...
Tu ne sais pas apprécier les bonnes choses !
|
Répondre
|
Dans l’histoire, ils oublient que le revenu à la source joue en plein : quand je vois mon bulletin de salaire amputé de quelques %, j’ai tendance à lever le pied sur mes dépenses. Et ça, ce sera durable.
Alors, si la conso des ménages est en repli, si nos entreprises ne sont pas concurrentielles, comment voulez-vous qu’elles embauchent ? Pour faire faire des cocottes en papier à ses salariés?
Et naturellement, cela ne peut pas s’arranger vu que macron ne passe pas plus de 8 jours par an en France. (il en aura bien profité, et fait profiter, lui aussi.)
Mais nos brasseurs de vent patentés vont nous assurer que la méthode macron est la bonne, et que les vilains sont : trump, l’Italie, et le Brexit.
Ce qui est remarquable, c’est que la France est en tête des pays E.U…….quand les PIB chutent, mais jamais quand les PIB se redressent. C’est p’têt qu’il y a un problème, non ?….
Il y aurait bien une solution, mais je ne suis pas sûr que ce soit la bonne : multiplier par 5 ou 10 le nombre d’ élus.
Message complété le 27/07/2018 12:53:15 par son auteur.
PARDON : LES IMPOTS PRELEVES à la source
|
Répondre
|
|
Répondre
|
Le ralentissement de la croissance s'est confirmé au deuxième trimestre, pénalisée par une consommation affaiblie par la hausse du prix du pétrole et la fiscalité, ce qui complique sérieusement l'objectif gouvernemental d'atteindre 2% de hausse du PIB en 2018.
Le coup de mou du début d'année s'est poursuivi d'avril à juin, avec une hausse de seulement 0,2% du Produit intérieur brut (PIB) d'un trimestre à l'autre, une augmentation identique à celle du premier trimestre, après un bond de 0,7% au dernier trimestre de 2017, a indiqué vendredi l'Insee dans sa première estimation.
Ce chiffre est inférieur aux attentes: le 19 juin, l'organisme public tablait encore sur une hausse du PIB de 0,3% au deuxième trimestre par rapport au précédent, tout comme la Banque de France (BdF).
Cette décélération sur la première partie de 2018 intervient après une année 2017 marquée par une croissance de 2,2% (2,3% en données corrigées des jours ouvrés) largement supérieure aux attentes.
Selon l'Insee, l'"acquis de croissance" pour l'année en cours - le niveau que le PIB atteindrait si l'activité stagnait d'ici la fin de l'année - est de 1,3%. L'organisme public prévoit 1,7% de croissance pour 2018, la BdF étant légèrement plus optimiste avec 1,8%, s'attendant à une accélération marquée sur la deuxième partie de l'année.
Après la légère hausse du chômage annoncée mercredi, le dernier chiffre de la croissance n'est pas une bonne nouvelle pour le gouvernement qui pourrait devoir revoir à la baisse son objectif de croissance de 2% pour l'année.
"Ce n'est plus jouable", a affirmé à l'AFP Philippe Waechter, économiste chez Natixis AM. "Pour y parvenir, il faudrait 1% de croissance au troisième et au quatrième trimestre", a-t-il expliqué, tablant sur une croissance annuelle autour de 1,5% seulement.
"L'objectif gouvernemental devient difficilement atteignable", a renchéri Mathieu Plane, économiste à l'OFCE, qui attend toutefois une accélération sur la deuxième partie de l'année.
- Consommation en berne -
La consommation est la principale responsable de ce coup de mou, les dépenses des ménages ayant fléchi de 0,1% au deuxième trimestre, contre une hausse de 0,2% au premier.
"C'est la vraie faiblesse. La consommation des ménages a été pénalisée par les effets fiscaux au premier trimestre", a assuré M. Waechter, en allusion à la hausse de la CSG et à celle des taxes sur l'essence. Ces mesures, associées à la hausse du pétrole, ont rogné le pouvoir d'achat des Français.
"Il y a un tassement de la croissance partout en Europe, mais en France il est beaucoup plus marqué qu'ailleurs. Il y a un choc spécifique", a ajouté M. Plane, pointant lui aussi du doigt la hausse de la fiscalité du début de l'année.
L'économiste s'attend à une amélioration en fin d'année avec la première réduction de la taxe d'habitation, en vue de sa suppression d'ici 2022 pour 80% des Français, mais qui arrivera trop tardivement pour donner une impulsion déterminante à la croissance en 2018. En octobre, interviendra également la deuxième phase de la suppression des cotisations salariales.
Avec une croissance inférieure aux attentes, "la vraie question devient désormais celle du respect de l'objectif gouvernemental de réduire le déficit à 2,3% cette année", a déclaré M. Waechter, qui pense qu'il restera autour de 2,6%, comme l'année dernière.
Selon lui, la marge de manœuvre de l'exécutif est faible: "Une augmentation des impôts renforcerait les problèmes et des mesures d'économies supplémentaires pourraient aussi affaiblir la demande. Du coup, il faudra laisser le déficit se creuser par rapport aux objectifs", a-t-il assuré.
Contrairement à la consommation, les investissements des entreprises, qui ont bénéficié ces dernières années de nombreuses mesures favorables de la part du gouvernement, ont accéléré avec une hausse de 1,1% d'un trimestre à l'autre, après 0,1% sur les trois premiers mois de l'année.
Le commerce extérieur a en revanche eu un impact négatif de 0,3 point sur le PIB, avec une accélération des importations de 1,7% au deuxième trimestre, contre un recul de 0,3% au premier, qui n'a été que partiellement compensé par un rebond des exportations de 0,6% après avoir cédé 0,4% en début d'année.
© 2018 AFP
|
Répondre
|
Suivez les marchés avec des outils de pros !