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Message complété le 02/08/2018 17:01:24 par son auteur.
""Mais on n’a pas à se faire traiter de tarés ou de mouton de panurge pour autant.""
J'avais également relevé la chose, mais je n'y m'attarde plus. Cela ne faisant pas partie de mon vocabulaire.
Message complété le 02/08/2018 17:35:15 par son auteur.
""Ne pas faire preuve de l'intelligence qu'on peut espérer d'un être humain"" serait neutre?
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Message complété le 02/08/2018 16:22:34 par son auteur.
Concernant les British et leur Brexit, j’etais totalement contre leur entrée dans l’UE, alors qu’ils se cassent ne m’emeut pas plus que ça !
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Message complété le 01/08/2018 17:12:15 par son auteur.
Au fait CRI, avec votre vote Castor, c'est bien pour ce gouvernement de bras cassés que vous avez voté ? https://www.abcbourse.com/marches/la-france-abaisse-sa-prevision-de-croissance-mais-maintient-son-objectif-de-def_444157_PX1p
Alors dansez maintenant...
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Message complété le 01/08/2018 16:56:17 par son auteur.
Si l'Europe avait plus à perdre que la GB dans le Brexit, je ne comprends pas pourquoi tous les jours les politiques Anglais viennent lécher pour un Brexit soft. L'Europe va les mettre dehors avec un Brexit hard car Barnier ne peut faire autrement, sinon l'Italie, l'Espagne, le Portugal la Grèce et peut être d'autres demanderaient à sortir, sans plus avoir les charges de l'Europe mais en gardant les avantages.
Dans la vie, c'est rare de pouvoir avoir le beurre et l'argent du beurre voire plus.
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Le nouveau chef de la diplomatie britannique Jeremy Hunt s'est inquiété mercredi du risque d'un "divorce houleux" avec l'Union européenne, en l'absence d'avancées à trois mois de la fin prévue des négociations censées déboucher sur un accord.
Un échec, qui conduirait à une coupure brutale des ponts commerciaux avec l'UE fin mars 2019, aurait "un profond impact sur les relations entre la Grande-Bretagne et les pays de l'UE pour une génération", a-t-il estimé lors d'une visite à Vienne.
"Le risque d'un divorce houleux est réel, ce qui serait une énorme erreur géostratégique", a-t-il déclaré après une entrevue avec son homologue autrichienne Karin Kneissl, dont le pays assume la présidence tournante de l'UE.
L'issue des discussions sur le Brexit, qui sont censées déboucher sur un accord de divorce d'ici à la fin octobre avant la séparation prévue pour le 29 mars 2019, reste encore incertaine, Bruxelles restant inflexible sur ses lignes rouges.
M. Hunt, qui effectuait la dernière étape d'une mini-tournée qui l'a également mené à Pékin et à Paris, a reconnu que le fait de négocier avec la Commission européenne était la façon "correcte et légale" de procéder.
Mais "au final, le résultat de ces négociations concernera les pays européens dont la Commission a obtenu son mandat", a-t-il souligné, alors que Londres a été accusé de tenter de fissurer le consensus des Vingt-Sept.
Mme Kneissl a toutefois relevé qu'en dépit de différends sur des dossiers comme celui de l'immigration, l'UE faisait preuve d'"un haut degré de cohésion" concernant le dossier du Brexit.
Interrogé sur une éventuelle possibilité de repousser la date-butoir des négociations, voire celle de la séparation proprement dite, M. Hunt a jugé cette hypothèse "très improbable".
"Les gens seraient préoccupés s'il y avait un délai dans la date du Brexit" qui pourrait être interprété comme "une sorte de projet destiné à éviter de quitter l'UE", a-t-il indiqué.
La Première ministre britannique Theresa May doit rencontrer vendredi Emmanuel Macron sur le lieu de vacances du président français au fort de Brégançon, dans le sud-est de la France, à l'occasion d'une réunion de travail suivie d'un dîner privé.
© 2018 AFP
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