Sans précédent en Argentine, des grands patrons tombent pour corruptio

Laisse Forhum, CRI aime me faire parler car cela lui apprend des choses, si t'es observateur, t'as du remarqué qu'il empruntait à ma syntaxe et réutilisait mes mots.
Çà les instruits, rien n'est perdu !

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A mon avis tout ce qu'un PP doit prendre en compte avant de se lancer sur la marché des biotechs en général.
1/ Analyser ce qu'il est prêt à perdre au cas ou le marché dans ce secteur venait à fortement chuter.
2/ mettre que l'argent dont il n'aura pas besoin dans l'immédiat
3/ être 100% sur ce secteur me parait de la pure folie de joueur de poker.
Il va de soit qu’être 100% sur une seule de ces valeurs c'est carrément de la roulette Russe mais inversée (5 balles sur 6 dans le barillet)
4/ Passé ce cap reste encore à faire le tri entre celles qui paraissent avoir un avenir et celles qui pourraient tomber dans une longue léthargie suite à une mauvaise new ..
Maintenant que vous avez fait votre choix:
1/vous devez savoir que ce marché est hyper volatile.. des 20% et plus sont fréquents.. sur un simple teewt ou une simple recommandation d'analyste.
Reste à savoir pour quel fond opère cet analyste lorsque cette recommandation sort .
La plupart du temps la valeur en question reperd une bonne partie les séances suivantes.
2/Vous devez savoir egalement que rare sont celles qui n'appellent pas le marché pour se financer..du fait de bénéfice insignifiant..hors la recherche coute cher et dure des années
et parfois mais ça n'engage que moi .. pourquoi tuer la poule aux œufs d'or .. on se comprendra!!
pour résumer investir sur ce marché demande un minimum de connaissances scientifiques et de connaissances procédurières à suivre avant que la molécule arrive sur les comptoirs de votre pharmacien préféré
bien sur ce message concerne la grande majorité des biotechs
Message complété le 23/03/2016 09:42:07 par son auteur.
perso comme je n'ai ni les compétences scientifiques ni les compétences de procédure avant la mise sur le marché de la molécule et que je suis prudent de nature .. j’évite ces valeurs en général sauf peut être en intraday en coupant mes pertes rapido
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cricri t'as fini oui?


bonne journée et surveille bien Genfit elle va up!!up!!up!!


(;o))

Message complété le 13/08/2018 08:46:07 par son auteur.

pour le up up c'est de l'humour noir (;o))

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CRI. Le ridicule du propos de votre post doit être assumé.
"La grande nouveauté, c'est que le juge Claudio Bonadio n'a pas hésité à interpeller, mettre en examen ou ordonner la détention de puissants responsables d'entreprise "" de toutes tendances politiques "" , en aussi grand nombre". C'est votre caractéristique cette absence de réflexion. En Argentine, un juge s'est soudain et miraculeusement levé et a marché sur le lac de la justice... Que votre facilité doit quelque part être douillette.


De "puissants responsables", ça doit vous exciter une telle annonce ! Vous le sectateur de gauche tendance robespierriste, toujours disponible à couper les têtes de tous les vilains capitalistes.
"de toutes tendances politiques" Et bien non bidule, pour que la corruption fonctionne, il faut des corrupteurs et des corrompus. Ici nous avons donc de vilains patrons corrupteurs mais surtout vos amis corrompus au pouvoir !
Le tableau que j'ai proposé dans le post du bas avec le lien idoine, fait la liste de l'association mafieuse (Unité Citoyenne) élaborée par la Présidente Cristina Fernandez de Kirchner. Je sais que ça vous fait mal, mais regardez la bien, difficile de le nier, ce sont bien vos amis ! Tout l’éventail de la gauche si trouve représenté.


Non pas que ce qui n'est pas de gauche ne soit pas corruptible, mais la différence, essentielle, c'est que la personne de gauche est censément une personne qui œuvre pour le bien commun, adossé à un registre de "valeurs" : la justice, l'égalité, la solidarité, l'humanisme, la laïcité, entre autre. Ces "valeurs", les gens de gauche les martèlent aux autres comme le fait le muezzin lors d'Adhan quotidiens.
Mais ce ne sont que des intentions, qu'une utopie, votre idéal ascétique est une fois de plus mis à mal et confronté à la réalité de ce monde. Si vous aviez lu Nietzsche, vous le sauriez, et vous éviteriez ainsi beaucoup de souffrances.


Pour le reste, je répondais à l'interrogation de Fibopivot (qui est aussi la mienne), si quelque chose vous échappe, je n'y peut rien, si ce n'est un simple rappel, douloureux pour vous, j'en suis contrit de vous imposer cette souffrance: l'affaire de corruption Urba (1987/1989) sans équivalent en France, le parti socialiste se finançait en rackettant les entreprises auxquelles il octroyait des marchés publics. Cette affaire qui aurait du envoyer des dizaines de corrompus en prison, vos amis de "gauche", s'est soldée par une loi d'amnistie dont Michel Rocard était l'instigateur. https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Urba et la ridicule condamnation d'Henri Emmanuelli, non s'en avoir procédé à moultes destitutions de juges, pouvoir oblige.


En France, dormez tranquille CRI, les juges ne risquent pas d'expédier en prison des politiques corrompus, notamment vos amis, car ils sont liés au pouvoir plus que partout ailleurs. Pas à leur initiative en tout cas.
En revanche, le déclenchement d'affaires comme celle argentine, seront de plus en plus inévitables car le phénomène des lanceurs d'alertes (comme dans l'affaire argentine CRI... lisez avant de pérorer) est en expansion et qu'il est illusoire de croire qu'il puisse être contenu, Wikileaks ou pas, Loi Fake News ou pas, les dénonciateurs de demain, sont les petites mains d'aujourd'hui.
Redouteriez vous quelque chose de personnel CRI ?

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Il faudrait lire et comprendre les articles produits avant d'en faire une sauce délirante , de plus en le rapportant systématiquement à des pays qui n'ont rien à voir avec le sujet !!


==> La grande nouveauté, c'est que le juge Claudio Bonadio n'a pas hésité à interpeller, mettre en examen ou ordonner la détention de puissants responsables d'entreprise "" de toutes tendances politiques "" , en aussi grand nombre.
Mais dans la "trumperie " , on a maintenant un spécialiste hors pair sur ce forum qui , je l'espère , ne dupe personne , sauf à prendre chacun pour des demeurés

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S'il fallait commenter le sujet de la corruption chez nous, un livre de 500 pages ne suffirait pas ; nos gouvernants en sont un bel exemple et montrent le chemin aux autres .......... 👎🏽

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Fibopivots.
"A quand le mème phenomene ici ?". En France pour ne parler que de ce qui nous intéresse, je dirai que ce n'est pas, hélas, pour tout de suite. Il suffit de constater l’effarante promotion de Françoise Martres, l'ancienne présidente du syndicat de la magistrature impliquée dans l'affaire du mur des cons.
http://www.atlantico.fr/decryptage/cette-jolie-et-discrete-promotion-accordee-presidente-syndicat-magistrats-mise-en-examen-pour-mur-cons-3110724.html
La magistrature française n'a d'indépendante que le nom, dès lors, quoi en attendre ? La corruption est une institution, elle adopte les mêmes mécanismes que ceux de la mafia.


Dans l'affaire argentine, c'est un chauffeur (!) qui tenait méticuleusement les comptes des trajets qu'il faisait pour remettre des "enveloppes" à qui de droit.


Toutefois les choses bougent, un lanceur d'alerte tel Bradley Birkenfeld qui a été à l'origine du scandale UBS en 2008, donne un aperçu de ce que va être notre futur.


L'ouvrage de Julian Assange "Google contre WikiLeaks" https://www.amazon.fr/Google-contre-WikiLeaks-Julian-Assange/dp/B079VDDDYK qui n'est que l'entretien (officiel) entre lui et son principal interlocuteur (interviewer pour l'occasion) Eric Schmidt, aborde la problématique du secret.
Assange développe fort brillamment sur le fait que tenir une chose secrète est impossible (Hannah Arendt disait que pour qu'un secret le reste il fallait tuer tout le monde sur terre...) et il invite ainsi les grands groupes à communiquer leurs documents.


Ce qui signifie que de nos jours, les pires détracteurs, ceux par qui les scandales seront dénoncés, sont ceux qui occupent des postes au sein même des entreprises ou organismes qui les emploient. Wikileaks a de beaux jours devant lui et survivra à Assange et même sans Wikileaks les choses se feront.
Peu sont ceux qui ont compris qu'à l'ère d'internet, rien ne pouvait plus être ni secret, ni interdit. Pour s'en convaincre, il suffit de constater l'inique loi sur les Fake News, tentative maladroite et inapplicable d'imposer le silence. Edward Snowden, Chelsea Manning (ex Bradley Edward Manning...) ne sont que des précurseurs.
Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne, ce seul homme, a fait vaciller le pouvoir soviétique pourtant réputé des plus hermétiques avec son "L'archipel du Goulag". C'était lui aussi un lanceur d'alerte avant internet.


Les faits sont têtus et s'opposent toujours dans l'infinitude du temps à tous les mensonges et dissimulations et par la même aux idéologies de toutes sortes. Il y a quelque part, à cette heure, une personne qui détient des secrets qui seront révélés, ce phénomène va s'accélérer...

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A quand le mème phenomene ici ?

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Cristina Kirchner (centre gauche, tout un programme !) c'est la coalition de partis "Unité Citoyenne".


Le tableau ci-dessous (source Wiki) : https://es.wikipedia.org/wiki/Unidad_Ciudadana fait liste de la coalition et de la couleur des partis, éloquent !
- social démocratie
- marxisme leninisme
- peronisme
- socialisme
- comunisme
- radicalisme
Du beau monde...

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Le scandale des "cahiers de la corruption" --des dizaines millions de dollars de dessous-de-table versés à l'administration Kirchner--, a fait tomber de grands patrons d'entreprise, une première dans l'histoire de l'Argentine.

L'affaire touche l'ex-présidente Cristina Kirchner et plusieurs membres de son gouvernement.

Elle éclabousse des dirigeants de grandes entreprises, parfois proches du président argentin de centre droit Mauricio Macri.

La grande nouveauté, c'est que le juge Claudio Bonadio n'a pas hésité à interpeller, mettre en examen ou ordonner la détention de puissants responsables d'entreprise de toutes tendances politiques, en aussi grand nombre.

Ils sont au moins une vingtaine, et chaque jour, un nouveau chef d'entreprise est convoqué au tribunal de Comodoro Py, à Buenos Aires.

"Ce n'est pas la première fois que des chefs d'entreprises importants vont en prison. Ce qui est inédit, c'est le nombre et le motif", fait remarquer Sergio Morresi, politologue de l'Université nationale San Martin.

- Patrons détenus -

Le procureur Carlos Stornelli a indiqué que les versements de pots-de-vin atteignent 160 millions de dollars pour le chapitre des "cahiers de la corruption".

Le juge Bonadio a mis sous les verrous plusieurs patrons à la suite de la publication des registres d'Oscar Centeno, le chauffeur d'un vice-ministre du ministère de la Planification et des Travaux publics, Roberto Baratta, qui notait méticuleusement sur des cahiers d'écolier les remises de sacs de dollars entre 2005 et 2015.

Huit ont avoué, confirmé les faits recensés par le chauffeur, un ancien militaire, et obtenu le statut de repenti. Cela les met à l'abri d'un placement en détention, mais pas d'une condamnation ultérieure, en échange d'une collaboration avec la justice.

Cousin du président argentin, Angelo Calcaterra a avoué avoir ordonné le versement des sommes en liquide demandées en échange de marchés publics. Dans sa déposition devant le juge, il a considéré qu'il s'agissait d'une contribution obligatoire à un financement de campagne électorale.

Des dirigeants de multinationales comme l'argentin Techint, l'espagnol Isolux et de groupes argentins de BTP ont défilé dans le bureau du juge Bonadio.

"La mise en cause et la détention de dirigeants d'entreprises est un fait nouveau, et si on considère la mauvaise image et l'impunité dont jouissent les grands patrons, il est probable que ce soit bien perçu par l'opinion publique", estime le sociologue Ricardo Rouvier.

- Privilégiés -

Pour Sergio Morresi, "un résultat possible est une véritable avancée en matière de transparence, et des condamnations en justice".

En attendant, la Bourse de Buenos Aires a réagi à la baisse. Les actions argentines à New York ont perdu du terrain.

Un ancien chef du gouvernement de Nestor Kirchner, Alberto Fernandez, dénonce que seuls des chefs d'entreprises "kirchnéristes" sont derrière les barreaux, pointant que ceux qui sont proches du pouvoir sont ressortis libres du bureau du magistrat.

"Il n'y a pas de doute, les cahiers décrivent avec précision comment le Kirchnérisme levait illégalement des fonds sans qu'aucune alarme ne se déclenche", observe le politologue Nicolas Solari.

Le président de la puissante Union industrielle argentine (UIA), Miguel Acevedo, est inquiet. "Et maintenant, qui va investir dans les Travaux publics ? Après le Lava Jato, on a eu trois ans de baisse de l'activité au Brésil".

Après l'audition d'une dizaine de membres du défunt ministère de la Planification, dont le ministre et deux vice-ministres, ce sera lundi au tour Cristina Kirchner, présidente de l'argentine de 2007 à 2015, d'être convoquée par le juge.

Ils n'ont pas encore été mis en examen dans le cadre de cette affaire mais le ministre de la Planification Julio De Vido et un autre vice-ministre de ce ministère sont en prison depuis 2017 et 2016, pour corruption.

Le second pris en flagrant délit en train de dissimuler dans un couvent, avec l'aide d'une religieuse, 160 sacs contenant 9 millions de dollars en liquide.

Quel usage a-t-il été fait des 160 millions de dollars de pots-de-vin ? Enrichissement personnel ou financement de parti politique ? Le mystère reste entier.

© 2018 AFP

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