OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

La Turquie jure d'émerger "plus forte", écarte toute aide du FMI

Cours temps réel: 8 091,86  -0,17%



joseph_P joseph_P
16/08/2018 22:07:11
0
Allons messieurs, une peu de tenue, c'est de Jupiter dont vous causez ! Le type est banquier et a été presque 3 ans ministre de l'économie sous le règne de Culbuto 1er, sacré cursus, non ? N'oubliez pas la caisse à outils et le pacte de responsabilité, avant ces gugusses les entreprises étaient irresponsables, maintenant elles le sont et en plus elles disposent d'une caisse à outil. Si ça c'est pas un bilan ! qu'est ce qui l'est, je vous le demande ?


Moi ce qui me plait, c'est la chronologie des appels téléphoniques, l’Allemagne le mercredi, l'ami de Benalla le jeudi, certes, l'Allemagne a une forte immigration Turque, mais tout de même, ont sait que Godzilla Merkel s'est fermement opposée à l'entrée de la Turquie dans l'UE, les Turcs ne l'aiment pas beaucoup Frau Merkel ! Bah non, ils ont d'abord téléphoné à Godzilla.


Il ressort de l'échange entre Jupiter et Erdogan "l'importance de renforcer davantage les relations économiques". Avec ça Erdogan pourra passer de bonnes vacances, il est rassuré, la France du représentant de commerce de Desjoyaux piscines et concurrent de David Guetta, va s'occuper de tout. Comme en France...
  
Répondre
JCROIPLU JCROIPLU
16/08/2018 18:04:54
0

Ce ministre n'apporte rien de concret.
Macron idem...

donc rien à foutre de cet article, aux chiottes direct, chiottes turques évidemment.

  
Répondre
angeloysse angeloysse
16/08/2018 17:59:20
0
le bruxellois macron s'est engagé a payer tu dis ??? avec l'argent de la France !!!
  
Répondre
BAWA50 BAWA50
16/08/2018 17:27:05
0

Le ministre turc des Finances et gendre de Recep Tayyip Erdogan, Berat Albayrak, à Istanbul le 10 août 2018. (AFP/Yasin AKGUL)

Le puissant ministre turc des Finances s'est efforcé jeudi de rassurer les investisseurs étrangers, assurant que la Turquie n'avait pas besoin de l'aide du Fonds monétaire international pour émerger "encore plus forte" de la crise monétaire qu'elle traverse.

Berat Albayrak, qui est aussi le gendre du président Recep Tayyip Erdogan, s'est adressé dans l'après-midi à quelques milliers d'investisseurs originaires des Etats-Unis, d'Europe et d'Asie au cours d'une téléconférence inédite qui s'annonçait comme un test de crédibilité.

"Nous émergerons encore plus forts de ces turbulences", a déclaré le ministre, selon des propos rapportés par la télévision d'Etat TRT.

Affirmant que la Turquie ne planifiait pas d'avoir recours au FMI, il a ajouté que son gouvernement s'efforcerait d'attirer des investissements étrangers directs.

La livre turque, qui s'est effondrée la semaine dernière sur fond de crise diplomatique avec les Etats-Unis, a réagi positivement à ces déclarations, rebondissant jeudi pour le troisième jour de suite. Elle gagnait ainsi environ 3,9% face à la devise américaine à 14H10 GMT par rapport à la précédente séance, s'échangeant à 5,72 pour un dollar, même si cela était loin d'effacer l'importante perte de ces derniers jours.

La livre semble stabilisée depuis mardi sous l'effet de mesures prises par la banque centrale et de nouvelles barrières dressées par le régulateur turc des banques (BDDK) pour limiter la spéculation sur la monnaie turque.

- Risque de contraction -

Cette dernière, qui a perdu 40% de sa valeur cette année, a connu la semaine dernière une spectaculaire débâcle qui a fait souffler un vent de panique sur les places boursières mondiales, celles-ci ayant alors redouté un effet de contagion.

Cet effondrement a été accéléré par l'aggravation des tensions entre la Turquie et les Etats-Unis qui se sont mutuellement imposés des sanctions et des augmentations de droits des douane sur certains produits.


Le président turc Recep Tayyip Erdogan lors d'un rassemblement public dans la région d'Unye. Le 11 août 2018. (TURKISH PRESIDENTIAL PRESS SERVICE/AFP/Cem OKSUZ)

Malgré le rebond de la livre de ces derniers jours, les économistes restent préoccupés par la dispute entre Ankara et Washington, liée notamment à la détention d'un pasteur américain en Turquie, et par la mainmise de M. Erdogan sur l'économie.

Les marchés ont sévèrement sanctionné le refus de la banque centrale de relever ses taux d'intérêt le mois dernier, en dépit de la chute de la monnaie nationale et d'une inflation galopante. M. Erdogan, partisan de la croissance à tout prix, s'y oppose fermement.

M. Albayrak a promis jeudi que son gouvernement aurait deux priorités : combattre l'inflation, qui a atteint près de 16% en glissement annuel en juillet, et la discipline budgétaire.

- Entretien avec Macron -

Dans la tourmente financière, la Turquie a reçu un soutien de poids mercredi : l'émir du Qatar, Cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, a promis au cours d'un entretien avec M. Erdogan à Ankara que son pays y investirait 15 milliards de dollars.


Le président turc Recep Tayyip Erdogan reçoit l'émir du Qatar, Cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani (TURKISH PRESIDENTIAL PRESS SERVICE/AFP/Kayhan OZER)

Signe que la crise avec Washington incite par ailleurs la Turquie à renouer avec l'Europe, M. Erdogan s'est entretenu au téléphone mercredi avec la chancelière allemande Angela Merkel et jeudi avec son homologue français Emmanuel Macron.

Selon Ankara, MM. Erdogan et Macron ont souligné, au cours de cet échange, "l'importance de renforcer davantage les relations économiques" entre leurs deux pays.

M. Albayrak s'est quant à lui entretenu jeudi avec son homologue allemand, Olaf Scholz, et les deux ministres sont convenus de se rencontrer le 21 septembre à Berlin, selon la Turquie.

Par ailleurs, la justice turque a ordonné mardi la libération de deux soldats grecs et mercredi du président d'Amnesty International en Turquie, des décisions inattendues dans deux affaires qui ont contribué à tendre les rapports entre ce pays et les Etats européens.

"Ces libérations ne sont évidemment pas une coïncidence", remarque une source diplomatique européenne.

"Mais les causes sous-jacentes (de la défiance) sont toujours là : on n'a toujours pas de garantie sur l'indépendance de la banque centrale ou de la justice", poursuit cette source. "Cela montre juste qu'Erdogan est très pragmatique quand il est sous pression économique".

© 2018 AFP

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

201808162207 644941
logiciel chart 365 Suivez les marchés avec des outils de pros !

Chart365 par ABC Bourse, est une application pour suivre les marchés et vos valeurs favorites dans un environnement pensé pour vous.
Ma liste