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Chômage: un député LREM pour une dégressivité des allocations des haut

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Obywan Obywan
22/08/2018 11:57:28
2
@bawa


ou est ce écrit "tout les chômeurs ?"


moi j'ai lu "les haut cadres à revenu de 6.200€ touchant près de 5000€ d'allocation... donnerait droit à ouvrir le débat pour qu'à partir de 6 mois ce soit dégressif.. et seulement pour les hauts revenus.


je suis pour !!


quand tu as les capacités de gagner 6.200€/M tu es donc capable de retrouver un emploi ou même de créer !!


je ne vois pas ou est le mal... mais ce qui est sûr c'est que celui qui obtient les 63% du salaire brut smic pendant 2 ans soit environ 800€/M = 19.200€/2ans n'est qu'une goutte d'eau par rapport à celui qui touche pendant 1 an : 5000*12= 60.000€


voilà voilà...
  
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whatelse whatelse
22/08/2018 11:57:21
0
70% du SMIC pour inciter à un retour à l'emploi. Si c'était aussi simple, nos (très) chères têtes pensantes l'auraient déjà instauré.
  
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jcleb70 jcleb70
22/08/2018 11:44:14
0
il faut remettre du bon sens, perdu depuis bien longtemps
plafonner à 70 % du SMIC permet de donner du sens
les cotisations ne sont pas un problème, rien n’empèche de les plafonner aussi à la hauteur du SMIC
parce que le système n’est pas parfait, on oublie de faire l’essentier
le montant des dépenses publiques au contraire, c’est bien le vrai problème
on vit au dessus de nos moyens sociaux, on a un train de vie social qu’on finance par l’emprunt, il faut réduire donc les dépenses, et le train de vie de l’etat, par la même occasion
  
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joseph_P joseph_P
22/08/2018 09:31:30
0
jcleb70.
Si vous percevez un salaire de 3000€, que vous payez vos cotisations dessus et qu'on vous plafonne à 70% du SMIC en cas de perte d'emploi, vous n'avez pas l'impression que cela va créer quelques problèmes ?


Réduire les dépenses ne veut rien dire, on s'y emploie depuis plus d'un demi siècle avec les résultats que l'on connait. Rendre responsable les gens en leur laissant le choix de choisir le montant et la durée des allocations qui leurs sont versées en cas de perte d'emploi, permet aussi de sortir d'un débat socialoïde en cela qu'il englobe tout le monde là ou il n'est qu'une affaire personnelle d'assurance.
  
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jcleb70 jcleb70
22/08/2018 09:23:49
0
il faut un forfait un forfait qui ne puisse pas dépasser 70% du SMIC
pour tous
ainsi on incite vraiment le retour à l’emploi et surtout on réduit nos dépenses sociales
  
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joseph_P joseph_P
22/08/2018 09:22:50
0
Oui, bof, c'est la continuité de l'application de règles qui s'imposent à la France.


On pourrait être d'accord avec la mesure proposée qui est rationnelle, et personne ne songe à nier les abus de certains allocataires des cotisations chômage. D'accord à la condition qu'une telle mesure soit précédée par une politique, un cadre qui permette justement à la France de retrouver des emplois.
Mais ici il est juste question de punir et tenter de remettre au travail des gens qui ne trouverons pas de travail, car il y en a pas, sinon dans des jobs à la con. Serveur chez Mc Do ou bosser chez Disney en vacataire, c'est super quand on est étudiant, pas vraiment lorsqu'on a un métier et surtout passé un certain âge.


Le débat sur le chômage est lunaire, j'ai ferraillé sur le sujet avec des libéraux ou prétendus tels, ceux pour qui les problèmes se règlent avec des chiffres. Des totalitaristes qui s'ignorent.


Une des mesures envisageable, serait libérale.
Partant du constat que se prémunir du chômage est une assurance, et qu'elle ne peut être qu'individuelle (!). Dans ce cas, pourquoi ne pas proposer une assurance aux salariés et en fait à tous ceux qui le veulent, à laquelle l'assuré souscrirait sur une base minimale, le SMIC en référence. L'assuré définirait la durée des cotisations qui lui seraient reversées : 1 mois/2 mois/3 mois, 1 an, etc ainsi que la somme qu'il entend percevoir en cas de perte d'emploi.
Ce même assuré pourrait parfaitement renoncer à toucher cette indemnité d'assurance ou l'écourter selon son choix. Les cotisations non perçues pourraient faire l'objet d'un bonus, pourquoi pas.
Afin de prévenir tous dérapages, et limiter les abus, l'assuré aurait un délai de carence, par exemple avoir bossé au minimum 6 mois ou un an pour prétendre au versement des cotisations assurance.


Avec une telle mesure, le gouvernement sort du jeu, le chômage ne le concerne en rien, si l'Etat était efficace ça se saurait depuis le temps. Les "chômeurs" auraient le choix de s'assurer, individuellement, selon leur propre perception.
Un salarié pourrait aussi négocier avec son entreprise la prise en charge des cotisations assurance. Mieux encore, à l'ère de la DATA, les entreprises qui auraient pour habitude de traiter le personnel comme de la marchandise, se verraient imposer un malus par l'assurance, pourquoi pas aussi.
Le débat est ouvert et peut porter loin, mais il a le mérite de proposer une réelle réforme. Mais l'Etat n'en a cure, il s'accapare d'un sujet qui ne le concerne en rien, qui plombe les résultats des entreprises, créé des dissensions dans la société et qu'en plus, et c'est prouvé, c'est un sujet auquel il n'entend rien ni n'est efficace.


Macron est un jeune vieux, très vieux même...

  
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BAWA50 BAWA50
22/08/2018 08:55:14
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Les partenaires sociaux vont, à la demande du gouvernement, renégocier les règles de l'assurance chômage pour la troisième fois depuis début 2017 (AFP/Archives/Philippe LOPEZ)

Le député LREM Aurélien Taché assure mercredi qu'"il n'y aura aucun tour de vis généralisé" sur les droits des demandeurs d'emploi, et propose la possibilité d'une "dégressivité" des allocations chômage pour les cadres aux hauts revenus.

"On sait que pour les cadres ayant des hauts revenus il n’y a quasiment pas de chômage. La France est le pays où le plafond de l’indemnisation est le plus élevé, à plus de 6.200 euros", remarque-t-il dans un entretien au Parisien.

"Pour ces cadres au chômage qui touchent entre 5.000 et 6.000 euros par mois, il faut ouvrir le débat", estime-t-il: "pourquoi ne pas instaurer une dégressivité à partir de six mois ou forfaitiser le revenu ? La justice sociale ce n’est pas de couvrir pendant deux ans des gens qui ont de très hauts revenus et pourraient retrouver un emploi", argumente le député du Val-d'Oise, qui a été co-rapporteur du projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel.

Plus généralement, concernant le cumul emploi-chômage, il estime que "si l’on responsabilise les entreprises avec la mise en place d’un bonus-malus sur les cotisations chômage, il est normal de revoir les règles qui encadrent l’activité réduite des salariés". Il souligne qu'"aujourd’hui on peut cumuler une allocation-chômage et un salaire de manière illimitée dans le temps, grâce aux droits rechargeables", alors que "jusqu’en 2014, le cumul était limité à quinze mois et ça fonctionnait bien".

Mais, assure-t-il, "en aucun cas il n’y aura de tour de vis généralisé sur les droits des demandeurs d’emploi". "Il n’est pas question de toucher au cœur de l’assurance chômage"; il s'agit de mettre autour de la table les partenaires sociaux pour regarder comment lutter contre la précarité, mieux protéger les chômeurs de longue durée et rendre les règles plus lisibles", dit-il.

Les partenaires sociaux vont, à la demande du gouvernement, renégocier les règles de l'assurance chômage pour la troisième fois depuis début 2017. Une concertation doit débuter fin août avec l'exécutif pour élaborer le document de cadrage de la négociation, qui doit s'étaler entre l'automne et février au plus tard.

© 2018 AFP

  
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