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Message complété le 25/08/2018 21:53:11 par son auteur.
Endettement des administrations publiques, comparatif
http://www.aft.gouv.fr/rubriques/dette-des-administrations-publiques_152.html
Message complété le 25/08/2018 21:55:12 par son auteur.
http://www.aft.gouv.fr/default.asp
Message complété le 25/08/2018 22:00:15 par son auteur.
Une adjudication : les écarts entre les volumes demandés et adjugés reflètent bien l'intérêt des investisseurs pour la dette de l'Etat français.
http://www.aft.gouv.fr/articles/emission-de-l-aft-6-356-milliards-d-euros-d-oat_13304.html
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Les intérêts réalisés depuis 2010 sur les obligations grecques achetées pour alléger la dette du pays surtout par l'Allemagne, seront retournés à la Grèce, a assuré samedi le ministre allemand des Finances Olaf Scholz, soulignant que "personne ne veut gagner de la crise grecque".
Interrogé, lors d'un entretien au quotidien grec Ta Néa, à savoir si Berlin est "l'un des bénéficiaires" de la crise de la dette car la Bundesbank a conservé de 2,9 milliards d'euros d'intérêts réalisés depuis 2010 sur les obligations grecques, le ministre a rétorqué qu'"il semblait avoir un malentendu sur ce sujet".
Le montant des bénéfices de la Bundesbank, grande acheteuse de ces titres à côté d'autres banques centrales, dans le cadre du programme de rachat de dette grecque, le "SMP" mené entre 2010 et 2011, lors de l'éclosion de la crise grecque, a été confirmé par un rapport parlementaire allemand dont l'AFP avait obtenu copie en juin.
"Personne ne veut gagner de la crise grecque. En réalité, l'objectif est que tous les bénéfices des banques centrales (européennes qui avaient participé au SMP) soient régulièrement rendus à l'Etat grec", a expliqué Olaf Scholz dans cet entretien paru samedi.
"C'est ce que nous avons décidé à l'Eurogroupe (réunion des ministres des finances de la zone euro, ndrl), lors de la fin du troisième programme grec", a-t-il ajouté.
Le 20 août, de nombreux dirigeants européens ont salué la fin du troisième et dernier programme grec et la sortie du pays de la stricte tutelle de ses créanciers, UE et FMI.
Ils ont toutefois prévenu que le pays était toujours contraint à réaliser des excédents budgétaires et des "réformes" nécessaires pour pouvoir rembourser son énorme dette.
L'Eurogroupe débat depuis des mois sur la reprise du transfert des intérêts de la dette à Athènes, mais en remontant seulement au début de l'année 2017.
© 2018 AFP
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