Roux de Bézieux veut une réduction de la dépense publique en France

Si on arrêtait de parler des migrants cela donnerait plus de hauteur au débat.

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Vous en avez beaucoup en magasin des solutions aussi iniques que celle là ?
Il suffit de regarder les comportements dans les marchés financiers et surtout constater les dégâts sur les retraites et la paupérisation de ceux qui en dépendent pour quantifier le niveau inapproprié de la formule
Les compagnies d'assurance font le siège de l'état depuis plus de 30 ans pour s'emparer de la poule aux oeufs d'or afin de s'emparer du cash et reverser comme elle le font aujourd'hui de vils revenus , mauvaise foi à la clé concernant l'argumentaire .

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C'est juste le début d'un lever de rideau pour entamer un nouvel Acte de la pièce de théâtre "France". Je ne vois pas là toutes les questions posées par les quarante dernières années du pays. Rien que pour les enseignants,par exemple, les instituteurs se situaient dans l'honnête moyenne des fonctionnaires. A ancienneté égale (en années) un couple d'instituteurs gagnait (à 2) à peu prés la même chose qu'ingénieur de l'état ou un officier sorti d'une Grande Ecole, en se limitant aux grades de jeunes cadres, la comparaison n'était plus possible dés les grades d'officier supérieur ou de trés hauts fonctionnaires; et chacun des instituteurs gagnait à peu prés ce que gagnait un couple de postiers du métier le plus subalterne.
Maintenant ne parlons pas des postiers pour qui le ratio s'est considérablement étiré, mais seulement d'un couple d'instituteurs (même renommés professeurs des écoles) dont la retraite cumulée dépasse la retraite d'un général ou d'un autre trés haut fonctionnaire. Est-ce vraiment une incitation à se dépasser, à préparer des Grandes Ecoles, ou à devenir Professeur de Médecine par exemple. NON PAS DU TOUT. Et l'alternance politique n'a pas vraiment opéré de ré-équilibrage. Alors introduisons une part de marché boursier dans le paiement des serviteurs de l'état et nous y verrons peut-être plus clair. L'évaluation des services rendus sera peut-être plus réaliste. Les Britanniques l'ont fait pour les retraites...

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je te rejoins stef,




on est sur un forum bourse; on parle d'abord bourse, on déconne ensuite, voire on fait les 2 et accessoirement on fait de la politique ...

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Trop dur de diminuer la dépense publique !!!
Donc pour
-faire la transition écologique

-aider les chômeurs
-aider les handicapés
-aider les personnes âgées avec petite pension de retraite

-aider les migrants
-aider les prises en charge des patients à l’hôpital
-augmenter les enseignants
-mettre des moyens supplémentaires dans les tribunaux
-idem dans les établissements pénitenciers
-dans la police
-dans l'armée
-à la SNCF rembourser sa dette
-mettre en état les routes, surveiller ponts, barrages, centrales nucléaires

-rembourser les intérêts de la dette Française (ne parlons pas de rembourser la dette en elle même... impossible).
-aider la Grèce en gommant sa dette
... ... ...
De Gaulle disait "après moi le chaos"
Pompidou disait "arrêtez d'emmerder les Français"
Rocard disait "on ne peut accueillir toute la misère du monde mais on se doit d'y participer"

Fillon disait " la France est ruinée"
Macron disait" Faut supprimer 120.000 fonctionnaires"
arrêtez de parler AGISSEZ BORDEL.

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Histoire vrai,


chez Capelle à Montauban, autour des années 80, à un pot de fin d'année .




Réponse de Mr Capelle, PDG de l'usine du même nom à un syndiqué qui l'apostrophait un peu trop;


-" Mais n'oubliez pas que je vous fait vivre qd même ! "
- Oui Mr Capelle, vous nous faites vivre, mais nous on vous fait très bien vivre !!!" ...

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Salut à tous

Avec un nom pareil ( Geoffroy Roux de Bézieux, ) encore un qui connais bien le travail, pardon je voulais dire qu'il savais faire travailler DUR les autres .
Normal quand on est née avec une cuillère en argent dans le berceau ( peut être voir même en OR)
@ plus

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Il a raison, mais les gouvernements successifs de ces dernières décennies n'ont peut-être pas pensé à tout. Le soutien de l'Etat aux associations (en tout genre) nous a coûté plus de 40G€ en 2017; je n'ai entendu aucune mention à ce sujet particulier en 2018 donc je suppose que nous sommes toujours sur la même pente. Pourquoi ce gouvernement de membres d'origines différentes ne prend-il pas en considération cette énorme dépense. Il y a des associations très discutables comme celle qui prétend apprendre aux fonctionnaires des "territoires" à travailler dans la bonne entente hommes-femmes, qu'est ce que cette assoc de jobastres? Quand l'homme a-t-il été créé? et la femme? Et j'espère qu'on va assigner en justice de pareilles assocs pour qu'elles remboursent ce qui a déjà été perçu de l'Etat, ou condamner les dirigeants à le faire.

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Le nouveau président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a appelé lundi le gouvernement à réduire la dépense publique et à poursuivre les réformes structurelles qu'il a engagées.

"Sans baisse effective des dépenses publiques, on a structurellement un problème de déficit pour tenir nos engagements vis-à-vis de Bruxelles", a déclaré le patron des patrons avant l'Université d'été de l'organisation patronale, qui se tient mardi et mercredi sur le campus d'HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines).

Il a rappelé que cette dépense atteignait environ 57% du Produit intérieur brut (PIB) en France, contre une moyenne européenne de 50%.

Deux annonces lundi du ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, le report de neuf mois d'une baisse de cotisations patronales et la hausse d'un acompte de l'impôt sur les sociétés pour les grandes entreprises, sont jugées "assez perturbantes" par M. Roux de Bézieux.

"On est sur l'angle mort de la politique pro-entreprises du gouvernement" qui "ne touche pas fondamentalement aux dépenses publiques", a déploré celui qui a succédé à Pierre Gattaz en juillet.

"Je ne pense pas que ce soit un revirement" de la part d'un gouvernement "qui depuis un an a fait beaucoup de choses assez structurelles - je rappelle juste la fiscalité sur le capital, les ordonnances travail - simplement il faut garder un cap", a tempéré le président du Medef.

"Il ne faut pas qu'on revienne à une époque pas si lointaine où on alternait le zig et le zag, et où il n'y avait plus de boussole", a-t-il souligné en référence au quinquennat de François Hollande (2012-2017).

M. Roux de Bézieux a encore déploré l'absence d'une "véritable réflexion de long terme sur les missions de l'Etat, sur ce que l'Etat doit faire et ne doit pas faire et comment le faire, avec tous les gains de productivité que les nouvelles technologies peuvent procurer".

La prévision de croissance de 1,7% pour 2019 annoncée dimanche par le Premier ministre Edouard Philippe est pour le président du Medef un chiffre "positif", mais "on est loin de ce qu'on peut potentialiser dans notre pays", alors que la zone euro devrait réaliser l'an prochain 1,9% et la croissance mondiale caracoler à 3,9%, selon le FMI.

© 2018 AFP

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