Davantage d'EPR ? Un rapport attise le débat sur le nucléaire en Franc

Le solaire, comment voulez vous que ça se développe, on a plus de margoulins qu'autre chose... démonstration:

il y a peu j'ai été démarché par tel par un démarcheur qui savait que j'avais une installation (dont je suis très satisfait), amortie en moins de 5 ans, mais dont la boite qui me l'a installée avait ensuite fait faillite, comme beaucoup d'autres quand les tarifs de rachat on commencé à baisser....
On me proposait d'augmenter ma production en posant des panneaux supplémentaires, etc... j'ai de suite vu qu'on ne me disait pas que la vérité, mais rien que pour "m'instruire", j'ai accepté de recevoir quelqu'un, en précisant que je ne signerais rien sans avoir pris le temps de tout bien vérifier..., soit après les vendanges...rendez vous est pris, rappel de confirmation, puis le gars qui devait passer le lendemain m’appelle... je le mets de suite au courant de ce que j'avais dit auparavant... sa réponse: " Bon, ce n'est pas la peine que je me dérange, au revoir " !!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Bonsoir McM,


"conflit armé ? Fini la gué-guerre à papa. La parole sera à l’informatique, sans déplacer de troupes, sans prendre de risques de pertes d’hommes....".
Detrompes -toi, ca c'est dans les films de science-fiction; il y a des boucliers, des "programmes durcis", des satellites tueurs, et beaucoup d'autres moyens, mais au final il y aura carnage.
Par ex, il se dit, en ce moment et ici (en Chine) que, (restons bien dans le contexte actuel de guerre commerciale avec les USA, de l'arret de l'importation de porc des USA et de la taxation de la viande de porc US a l'entree en Chine), il se dit donc que la peste porcine qui se developpe ici (et ...en Russie), ne serait pas tout a fait un hasard....certains doigts pointant en direction de l'Oncle Sam...
Toucher a la securite alimentaire d'un pays, c'est tres grave... et ca peut mener a une escalade incontrolable.

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jamariuscky



« « Comment vont faire les pays qui ont programmé l’arrêt des centrales nucléaires » »

Comme l’Allemagne Nous acheter du courant nucléaire, et nous envoyer les pollutions dues à leurs centrales au charbon remises en service.


« « ou qui n'en ont pas ? » »

Ils feront comme avant.

« « Quant à l'argument de garder une technologie que nous ne maîtrisons pas, ça laisse pantois ! » »

Commentaire un peu léger. La technologie nous la maîtrisons . Reste les déchets …...Mais, maîtrisons-nous les déchets ménagers, plastiques, amiantés, chimiques, etc...etc….


« « Si on considère les 35 Mds de dette d'EDF, les risques financiers induits par la construction d'inkley point la ruine est proche. » »

La ruine ? Impossible. C’est un secteur stratégique, comme la Défense, l’Energie, etc...donc l’État paiera (C. à D. : NOUS!)


« « Je n'ose pas parler des risques physiques en cas de conflit armé.... » »

conflit armé ? Fini la gué-guerre à papa. La parole sera à l’informatique, sans déplacer de troupes, sans prendre de risques de pertes d’hommes. Un logiciel capable de bloquer le fonctionnement des banques et des entreprises, de clouer au sol les magnifiques Rafales et bâtiments de la Marine, de bander les yeux des missiles , et le pays attaqué sera comme une tortue retournée sur le dos.
Le seul risque sur nos centrales nucléaires est un attenta perpétré par des sauvages kamikases.

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On va finir grillés un jour ou l autre. Solutions : https://www.ademe.fr/.../mix-electrique-synthese-2015.pdf

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"Je n'ose pas parler des risques physiques en cas de conflit armé...."


C'est une bonne question, mais je suppose que le pays qui s'attaquerait a une de nos centrales nucleaires peut se considerer comme declenchant une guerre nucleaire et donc s'attendre a recevoir dans la foulee sur la tronche une dizaine de vecteurs 10 a 100 fois plus puissants qu'Hiroshima.
Enfin si j'etais PR, le debat et les etats d'ame ne dureraient pas longtemps avec moi.

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Comment vont faire les pays qui ont programmé l’arrêt des centrales nucléaires ou qui n'en ont pas ? Sont-ils inconscients ou idiots ou ?
Quant à l'argument de garder une technologie que nous ne maîtrisons pas, ça laisse pantois !
Si on considère les 35 Mds de dette d'EDF, les risques financiers induits par la construction d'inkley point la ruine est proche.
Je n'ose pas parler des risques physiques en cas de conflit armé....

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Après la démission de Nicolas Hulot, un rapport préconisant la construction de nouveaux réacteurs EPR s'ajoute au débat sur l'utilité de se lancer dans de tels chantiers controversés malgré la baisse programmée du nucléaire dans la production d'électricité française.

Le rapport, rédigé par deux acteurs historiques du nucléaire - un ancien administrateur général du Commissariat à l'énergie atomique (CEA), Yannick d'Escatha, et un ex-délégué général à l'armement, Laurent Collet-Billo -, recommande de lancer la construction de six nouveaux réacteurs EPR.

Remis cet été au gouvernement et classé "secret défense", le rapport suggère que le premier chantier démarre en 2025 et que les suivants débutent régulièrement tous les deux ans, selon Les Echos.

La France compte aujourd'hui 58 réacteurs (soit environ 63 gigawatts), et un EPR est en construction à Flamanville (Manche) mais ce chantier multiplie les déboires, qui ont entraîné d'importants retards et un triplement de son coût qui atteint maintenant 10,9 milliards d'euros.

La loi sur la transition énergétique prévoit de ramener de 75% à 50% la part de l'atome dans la production de courant à horizon 2025, même si le gouvernement a déjà indiqué qu'il ne tiendrait pas ce calendrier.

Pour réduire la part du nucléaire, des réacteurs devront fermer, et seuls les deux de la centrale de Fessenheim sont actés. La feuille de route énergétique (PPE) de la France pour 2028, attendue d'ici à la fin de l'année, doit donner des précisions sur ce sujet, même si EDF ne souhaite pas fermer d'autres réacteurs avant 2029.

Dans l'optique de ces fermetures, EDF défend aussi la construction de nouveaux réacteurs, des EPR "simplifiés", grâce au retour d'expérience des chantiers en cours. Il a d'ailleurs appelé l'Etat à prendre une décision rapide pour mettre une "première" centrale en service "en 2030 ou peu après".

L'ancien ministre de la Transition énergétique Nicolas Hulot y semblait opposé. Dans des propos datant de cet été et publiés mardi par Libération, il disait : "Si je m'en vais, il va y avoir trois EPR de plus dans les prochaines années".

- Le Maire temporise -

Pour EDF, l'enjeu est avant tout industriel, pour maintenir ses compétences avec des chantiers qui se succèdent, et remporter des marchés à l'étranger. "Avec (le projet de deux EPR à) Hinkley Point il y a eu un petit répit, mais il faut voir au-delà", explique Nicolas Goldberg, du cabinet Colombus Consulting.

"EDF a besoin d'un signal clair, d'autant plus qu'on leur a demandé de prendre en charge toute la filière nucléaire", avec le rachat de la branche réacteurs d'Areva, ajoute Matthieu Courtecuisse, président du cabinet Sia Partners.

Jeudi, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a temporisé. "La sagesse recommande déjà d'attendre que l'EPR de Flamanville soit achevé avant de prendre des décisions", a-t-il déclaré sur Radio Classique, tout en soutenant l'atome et sa filière industrielle.

Mais au-delà de l'enjeu industriel, la France a-t-elle besoin de construire de nouveaux réacteurs pour satisfaire sa consommation de courant, plutôt attendue stable ou en baisse à l'avenir ?

"Ce genre de décision doit se prendre en évaluant l'évolution de la consommation. Six EPR, comment ça s'inscrit dans l'équilibre offre-demande à long terme, et comment on intègre ce projet dans le marché européen de l'électricité ?", s'interroge un économiste préférant rester anonyme, pointant aussi le "manque de transparence" des industriels sur le coût de construction d'un EPR.

Matthieu Courtecuisse juge lui la construction de nouveaux réacteurs "indispensable", même dans le cas d'une consommation stable, estimant toutefois que "c'est plutôt 3 à 4 EPR qu'il faudra construire à horizon 2030".

"Il faudrait avoir une croissance du renouvelable beaucoup plus rapide" pour compenser totalement la fermeture de réacteurs, souligne Nicolas Goldberg. "Si on lance de nouveaux réacteurs en 2025, la mise en service c'est 2035, et en 2035 on aura déjà un certain nombre de réacteurs fermés", ajoute-t-il.

Un point de vue contesté par les acteurs des énergies renouvelables et les associations environnementales, qui affirment que le maintien du nucléaire bloque le développement des énergies alternatives.

"On nous dit qu'il faudrait faire des réacteurs nucléaires simplement pour garder de la technologie ou un savoir-faire, mais clairement, il n'y a pas d'argument énergétique", s'indigne Yannick Rousselet de Greenpeace France.

"Si on ne fait pas de place sur le réseau pour du renouvelable, il ne se fera jamais", ajoute-t-il.

© 2018 AFP

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