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Prélèvement à la source: victorieux, Gérald Darmanin n'a plus droit à

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colet colet
06/09/2018 17:57:02
0
j'ai noté que Mr DARMANIN a annonçé qu'il n'y aura pas de perdant


j'en ai fait un bond sur ma chaise.
quant aux journaleux qui nous dises que cela ne va rien changé ... ils parlent pour eux ... salariés .


en réalité, s'ils savaient compter ils auraient compris que c'est l'état qui gagne A TOUS LES COUPS.


1ER CAS DE FIGURE :
le leur, à savoir toujours les mêmes revenus en 2017 2018 et 2019
effectivement rien ne bouge pour eux
bon, çà va pas concerner beaucoup de monde car il existe un concept qui est "l'augmentation de salaire" et la non augmentation des tranches d'imposition fait augmenter l'impot
zut alors !


2EME CAS DE FIGURE :
il y a une augmentaion des revenus entre 2017 2018 et 2019
là vous aurez le prélèvement sur les revenus de 2017 .... avec rappel éventuel lors de la délaration de 2019
zut alors !


3EME CAS DE FIGURE :
alors celui-là chut on en parle pas
ceux qui ont des revenus plus bas en 2018 qu'en 2019
mais çà concerne les artisans commerçant agriculteurs, etc
ceux qui étaient au chômage et qui reprennent une activité par exemple
ceux qui ont des revenus autres, type foncier
ils aurairent payé des impôts EN 2019 sur la base de 2018 donc plus FAIBLES et en tiers
ceux là ce sont prendre les impôts EN 2019 bien plus haut
zut alors !


bref gagnant gagnant gagnant ... on vous le di tous les jours
l'état aura dans tous les ca de figure l'augmentation de 2018 + celle de 2019
et aucune diminution
bien vu !


mais au fait , personne ne nous explique comment seront imputés les années de déduction pour le scellier par exemple ?
comment les déficits fonciers de 2018 seront-il simputés ? comment les déficit des TNS (travailleurs non salariés) seront imputés ? (car dan sleurs compta , ils sont bien là )
zut alors !!


Comme ceux qui me suivent, ils savent que je paie plus d'impôt que je n'ai de revenus, je me trouve... dans le cas de figure 3
bref, j'ai sauté sur les freins des dépenses !!! et encore plus fort ...


hier j'avais une cliente qui se demandait comment imputer ses déficits fonciers de 2018, tout en m'expliquant qu'elle avait bloqué tous les travaux correspondant.
c'est les artisans qui vont avoir de beaux revenus en 2018 ... allez en cas 3 ! na !


la croissance là dedans ???
et pour 2018 et 2019 (le temps de réguler le tout) pfff le carburant augmente, çà va la soutenir, n'est-ca pas.


perso j'anticipe mes commandes ; je m'adapte ..... comme tous mes confrères.


alors le prochain qui me raconte que c'est gagant/gagnant ... gggggggggggggrrrrrrrrrrrrrrrr



  
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corte28 corte28
05/09/2018 18:38:09
0
Ce pays de racketteurs me dégoûte.
  
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gars d'ain gars d'ain
05/09/2018 17:40:37
1

L'écologie en marche à "reculons"

Attention au nouveau frelon : L'espèce nommée "Dard malin" s'attaque exclusivement aux valeurs fiduciaires et surtout elle pique les sous partout où il y en a...


Vous êtes prévenu.
  
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lfdp lfdp
05/09/2018 16:17:09
1
Victoire de l'inutile, au mieux cette réforme aura les mêmes produits, au réel,...
  
Répondre
lfdp lfdp
05/09/2018 16:17:09
0

L'avenir du prélèvement à la source pourrait se préciser lors d'une réunion cruciale à l'Elysée (AFP/Archives/DENIS CHARLET)

Il défendait la réforme depuis des mois, par pragmatisme autant que par conviction: le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin se retrouve conforté par le maintien du prélèvement à la source, mais se sait attendu en cas de "bug" technique.

"Je serai le ministre qui fera l'impôt à la source", répétait à l'envi l'ancien maire de Tourcoing, chargé par Emmanuel Macron de mener à bien cette réforme délicate. "Sur le plan purement technique, nous sommes prêts et c'est ma responsabilité d'y veiller".

Un discours de fermeté à mille lieues du message véhiculé par Emmanuel Macron, qui a laissé transparaître ses hésitations en estimant avoir "besoin d'une série de réponses très précises" pour "être sûr" de ce que vivront les Français avec cette réforme.

Prudence ou défiance? "Le président de la République s'est posé des doutes sérieux, mais ce sont des doutes qui font avancer", a jugé mercredi sur France Info le ministre des Comptes publics, refusant de parler de "victoire" après la décision de l'Elysée.

Pour l'ancien coordinateur de la campagne de Nicolas Sarkozy, qui a multiplié depuis janvier les entretiens et les visites de terrain pour faire la pédagogie de la réforme, un abandon ou un report aurait pourtant sonné comme une humiliation.

"Je sers le président et sa politique. Soit je le convaincs, et il fera l'impôt à la source, soit je ne le convaincs pas, et ce sera une erreur du ministre", avait d'ailleurs reconnu lundi le locataire de Bercy.


Le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin, le 31 août 2018 à Paris (AFP/Archives/STEPHANE DE SAKUTIN)

Le maintien de l'impôt à la source, dans ce contexte, constitue un succès personnel pour ce proche d'Edouard Philippe. Ce succès lui permet de soigner son image d'élu pugnace, capable de défendre ses dossiers.

"La décision de L'Elysée lui a permis de conforter sa position au sein de la majorité comme à Bercy. Il s'est fait le porte-parole de la fiabilité de ses services", analyse Pascal Perrineau, politologue au Cevipof.

"C'est une réforme qu'il a défendue becs et ongles. Pour lui, l'annonce d'Edouard Philippe est forcément un soulagement", abonde une source gouvernementale, pour qui Gérald Darmanin -- en montant en première ligne -- a toutefois "pris un risque".

- "biscotos" -

Qu'adviendra-t-il en cas de problème technique fin janvier, lorsque les contribuables verront arriver leur feuille de paye leur salaire net amputé de l'impôt sur le revenu? Interrogé par l'AFP, le principal intéressé s'est voulu rassurant mardi soir.

"On aura ici ou là des petites difficultés en janvier prochain, c'est normal", mais "il n'y aura pas de bug systématique", a déclaré l'élu, souvent loué au sein de la majorité pour son "sens politique".

Le débat, cependant, n'est pas complètement clos. "Il essaye de se rassurer lui-même", juge Alexandre Derigny, de la CGT Finances publiques, qui reste "objectivement inquiet" pour l'entrée en vigueur de la réforme.


Le patron du Medef Geoffroy Roux de Bezieux, à Paris, le 27 août 2018 (AFP/Archives/ERIC PIERMONT)

"Darmanin a montré ses biscotos, c'était une façon pour lui de s'affirmer. Mais nous, on a des informations très différentes sur l'état du futur dispositif, et qui ne sont pas rassurantes. On va vers un naufrage fiscal", maintient le responsable syndical.

Pour le ministre, qui a fait adopter cet été son projet de loi sur le droit à l'erreur, une telle perspective serait forcément compliquée à gérer politiquement parlant -- quand bien même la décision de maintenir la réforme a été prise collectivement.

"Je pense que l'hésitation de Macron visait sans doute à atténuer ou détourner les critiques, par exemple sur Darmanin, si en effet les choses se passaient mal", estime Chloé Morin, politologue à l'institut Ipsos.

"Mais in fine le Président est toujours responsable de tout aux yeux des Français, et c'est bien lui qui a validé la décision", ajoute-t-elle.

"Gérald Darmanin est attendu au tournant, mais comme l'ensemble du gouvernement", abonde la source gouvernementale, qui se veut rassurant sur la capacité de l'exécutif à gérer les interrogations qui pourraient survenir.

"Le débat qu'on a eu cette semaine a servi à mettre la question du prélèvement à la source sur le devant de la scène. Du coup, les enjeux sont à présent connus".

© 2018 AFP

  
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