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La crise de 2008 hante toujours les jeunes Américains

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Luncyan Luncyan
06/09/2018 15:20:04
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Vous etes belge michel non ?
Ça expliquerai de nombreuses choses
  
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Luncyan Luncyan
06/09/2018 13:03:59
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Ce moment où je realise que je suis bien le seul ici à trouver Trump extremement fort comme président
  
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iliana iliana
06/09/2018 12:55:02
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avec le Président qu'ils ont, il faut craindre le PIRE. Avec ses folies et surtout son INCOMPETENCE sur tous les sujets il est le plus dangereux de tous les présidents en exercice
avec un degré moindre, notre Roi " sa majesté 1er roi de FRANCE".
La seule solution est de le destituer, afin que le monde retrouve un peu de calme.
  
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Luncyan Luncyan
06/09/2018 12:49:54
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Je saisie pas trop la morale, pour le futur donc ?
  
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michel1993 michel1993
06/09/2018 12:41:31
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"A 15 ans ils te demandaient de l’argent ?"


Oui , j'ai travailler dès 16 ans et je voulais leur emprunter pour acheter des garages qui avaient salement dévalués en sachant que je pourrais le leur rendre facilement SURTOUT qu'un garage c'est pas grand chose en rénovation.
Une autre partie de mon argent venait d'un petit héritage ( en fait ils ont pas demandé : ils se sont servi ).


Bon je leur ai pardonné cela , par contre leur stupidité et leur naïveté ( tendance à croire la télé etc etc ) ça je ne pardonne pas car c'est pas la première fois que je les ai mit en garde , entre autre que l'argent qui arrivait dans la caisse de l'entreprise devait être gardé en vue de payé les impôts et les fournisseurs , pas pour être dépenser.
Ou encore que dans une entreprise normale on compte l'argent qu'on a en caisse à la fin de la journée et qu'on tient des comptes , et qu'on ne fout pas l'argent dans un sac en vrac. " T'as cas le faire toi-même" qu'on me répondait.
Qu'on était la seule entreprise même pas présente sur internet , les livraisons étaient même pas vérifiées ni suivies ( "t'as cas le faire toi même si t pas content" ) donc certains clients attendaient parfois leur produits pendant 8 semaines.



5 ans après , la faillite. L'argent """""""""""" emprunté """"""""""" parti en fumée.






  
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moicmoi moicmoi
06/09/2018 12:31:50
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Ils nous disent : jeunes Américains , et sur la photo, on voit une nana. C’est à me faire douter quant aux mœurs des jeunes Américains
Le poids des mots, le choc des photos. Selon un vieux slogan journalistique.
  
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Luncyan Luncyan
06/09/2018 12:19:34
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A 15 ans ils te demandaient de l’argent ? A 15 ans tu gagnais de quoi subvenir aux besoins de tes parents ? Chapeau mec
  
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michel1993 michel1993
06/09/2018 12:17:01
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"Malheureusement, cette génération était encore trop jeune en 2008 pour avoir contracté un prêt immobilier ou détenir un portefeuille d'actions cotées en Bourse, des actifs dont la valeur s'est beaucoup appréciée ces dernières années"


Hélas , quand j'avais dit à mes parents et proches en 2008-2020 que des biens immobilier à moitié prix était une opportunité historique , ils m'ont pris pour un taré et ont refusé de me prêter 20.000 euro pour un achat de bien , que j'aurais remboursé bien vite par ailleurs ... Par contre ils n'hésitaient pas à me demander de l'argent !



Aujourd'hui ce même bien immobilier à plus que doublé et mon je me retrouvais comme un imbécile avec de l'argent dévaluant en banque et quasi sans possibilité de trouver un travail, Si à ce moment là j'avais su qu'il existait des SIR/SICAFI Dieu que je serais riche aujourd'hui !


Ces mêmes andouilles ne me croyait pas quand je disais en 2011 que c'était intéressant de miner des bitcoins ... Maintenant en 2017 ils m'ont demandé si c'était encore intéressant ... ils ont vu un reportage " à la télé " alors là ils boivent les paroles du présentateur de gens devenu riches , par contre quand je leur expliquaint avec les mêmes mots 6 ans auparavant ils pigent pas ... 6 ans pour comprendre quand même ! Et après on s'étonne d'avoir des abrutis à la tête de l'Etat , mais avec des gens qui mettent autant de temps pour comprendre c'est pas prêt de changer !

Message complété le 06/09/2018 12:17:22 par son auteur.

2008-2010 * erreur de frappe .

  
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lfdp lfdp
06/09/2018 10:38:29
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Que ces jeunes Américains ne se trompent pas.
Ceux d'Hier réélus ne reviendront pas sur leurs erreurs passées, ils chercheraient à les couvrir et que l'Histoire les oublie.
  
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lfdp lfdp
06/09/2018 10:38:29
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Le mouvement "Occupy Wall Street", ici à ses débuts, en décembre 2011, à New York, a laissé des traces sur la jeunesse américaine (GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP/SPENCER PLATT)

Ils avaient pour certains la vingtaine et s'apprêtaient à entrer sur le marché du travail en 2008, mais la crise financière et ses faillites d'entreprises ont contrecarré ces ambitions, ébranlant leur foi en l'avenir et au système.

Cette crise, la plus grave depuis la Grande dépression, a démotivé une grande partie de cette génération, mais elle a aussi éveillé leur conscience politique, les incitant à rejoindre en grand nombre "Occupy Wall Street".

Ce mouvement de protestation populaire contre la corruption, les lobbies et l'impunité de la finance est né en septembre 2011 dans le quartier des affaires de Manhattan, base de grosses institutions financières américaines et mondiales.

Laura Banks, 31 ans, se souvient avoir écumé à l'époque des foires de l'emploi, sans succès. Des amis se retrouvaient du jour au lendemain au chômage. Son père, avocat, avait du mal à trouver des clients.

"Nous nous sentions acculés. On avait l'impression d'être des laissés-pour-compte", narre Laura, aujourd'hui superviseuse de projets pour la société Express Scripts à Saint-Louis, dans le Missouri.

Elle s'est mariée l'an dernier, mais hésite à avoir des enfants: "J'ai peur que le marché s'effondre encore dans les prochaines années".

Ses craintes ont été amplifiées lorsque la banque leur a proposé, à elle et à son mari, un crédit immobilier représentant quatre fois la somme demandée. C'est alors que lui sont revenues les images de familles expulsées de leurs maisons parce qu'elles ne pouvaient pas rembourser leur emprunt.

Laura fait partie de cette génération née entre 1980 et 1996, baptisée "Millenials", qui fait saliver les annonceurs, en dépit du fait qu'elle est écrasée par les prêts étudiant, dont le poids s'est alourdi avec la crise financière, faute d'emplois bien rémunérés.

Du coup, la dette que l'on remboursait avant la crise en dix ans s'étale désormais sur 20 ou 30 ans pour certains. Selon les organismes chargés de surveiller la dette étudiante, celle-ci s'élèverait aujourd'hui à plus de 1.000 milliards de dollars.

Beaucoup de ces jeunes adultes vivent encore chez leurs parents et leurs doutes sur l'avenir se sont intensifiés.

La banque centrale américaine (Fed), via son antenne régionale de Saint-Louis, a évoqué récemment la crainte d'une "génération perdue" car, explique-t-elle, elle a été davantage touchée par la crise que les autres générations.

"Malheureusement, cette génération était encore trop jeune en 2008 pour avoir contracté un prêt immobilier ou détenir un portefeuille d'actions cotées en Bourse, des actifs dont la valeur s'est beaucoup appréciée ces dernières années", regrette la Fed.

- "Capitalisme compassionnel" -


Alexandria Ocasio-Cortez, égérie de l'aile gauche progressiste du parti démocrate, à Los Angeles le 2 août 2018 (GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP/MARIO TAMA)

Le poids démesuré des emprunts étudiant était l'une des revendications d'Occupy Wall Street, dont le gros des rangs était constitué d'étudiants en colère contre un système "corrompu" ne profitant qu'à 1% de la population, les plus riches.

Même si Occupy Wall Street a disparu des écrans de télévision, le mouvement a toujours une présence sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter, où il promeut les causes progressistes --politiques environnementales--, critique la gentrification et la politique anti-immigration de Donald Trump.

Son gros héritage est l'impact laissé dans la mémoire des Millenials: une étude d'avril 2016 de l'université d'Harvard montre que seulement 41% des 18-29 ans soutiennent le capitalisme, un chiffre médiocre au pays héraut du libéralisme, d'autant que dans la même enquête, un tiers des jeunes adultes se disaient favorables au socialisme.

Pour John Della Volpe, qui a dirigé cette enquête, les Millenials gardent de mauvais souvenirs de la crise et en ont tiré "une définition différente du +rêve américain+".

Ils prônent un "capitalisme compassionnel", sont sensibles aux inégalités sociales, embrassent l'économie du partage et se méfient des banques, auxquelles ils préfèrent les applications financières souvent créées par d'autres Millenials.

Ils gardent leurs distances avec les grands partis politiques américains, à l'exception des campagnes électorales des démocrates Barack Obama en 2008 et de Bernie Sanders en 2016.

"Nous, les Millenials, étions au collège lors du 11-septembre. La crise financière est arrivée quand nous étions à l'université. Nous n'avons vraiment jamais grandi dans une période de prospérité économique", a déclaré récemment à la télévision Alexandria Ocasio-Cortez, 28 ans, étoile montante du parti démocrate, dont elle est devenue une égérie de l'aile gauche progressiste.

© 2018 AFP

  
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