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Bruxelles rejette le budget italien, le bras de fer se durcit

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jipes jipes
24/10/2018 12:43:02
1
Mes amis Italiens chez qui je vais aller passer les Fêtes de Noël et de Nouvel-An n'acceptent absolument pas qu'on veuille diriger leur façon de vivre de l'étranger. Et pourtant, ils sont socialistes et communistes. Mais pour eux, la nation est sacrée.
  
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sergiobress sergiobress
24/10/2018 12:10:57
2

Bonjour,
Le lien de Augustus a le mérite d'être clair, merci.
Ciao

Message complété le 24/10/2018 12:14:19 par son auteur.

On a l'impression que la France a des leçons à donner à l'Italie, je croirai plutôt que l'inverse serait mieux mais c'est pas dans la mentalité des italiens……..

  
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Augustus Augustus
24/10/2018 12:02:53
2
CRI74 CRI74
23/10/2018 23:29:13
0
Jipes , vous ne comprenez pas (volontairement j'espère ) mes réponses .Donc ce sont les vôtres qui sortent systématiquement du jeu .
  
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jipes jipes
23/10/2018 23:26:11
0

CRI,


encore une fois tu réponds à travers. Tu ne vois que ce qui arrange ton asservissement à l'UE et aux guignols (le mot est faible) qui la dirigent.
Tu ne portes aucune attention à l'explication donnée par les Autorités Italiennes, cela n'a malheureusement pas pu t'échapper.
Donc une nouvelle fois, tu te mets hors-jeu de ce débat.
  
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CRI74 CRI74
23/10/2018 23:10:15
0
"Quant à la dette publique, actuellement à quelque 131% du PIB, soit le ratio le plus élevé de la zone euro après la Grèce ...."


C'est bizarre cette manière d'en oublier la moitié en route et de ne lire que ce qui arrange dans cette file .
C'est bien avec cette manipulation constante d'information que les anglais se sont fait berner , et l'on voudrait bien , côté français , du moins sur certains forums , trouver d'autres dindons du populisme .


Après la crise des dettes européenne de 2010/11 , on ne va quand même pas accuser la CE de veiller au grain envers l'endettement des pays conformément aux mesures votées à l'époque par les dirigeants de l'ensemble de ces pays .
Un rappel à la France serait également judicieux concernant là aussi son paquet de dettes qui se dirige vers 2400 MDS€ si rien n'est fait en 2019 .
La règle des 3% ne suffit pas !
  
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fipuaa fipuaa
23/10/2018 20:38:33
2
avec notre champion du monde ça va se décanter (ouf ouf ouf...)
  
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moicmoi moicmoi
23/10/2018 20:30:35
3
Et alors ? Où est le mal ?
Mosco aurait préféré que le sieur Angelo Ciocca remplace ses notes par un rouleau de PQ ?
Ça ne vaut pas plus. Et moi, j’aurai applaudi.
Petit rappel : quand mosco était ministre Français, il n’a pas brillé.
Il faudrait que les députés européens le lui rappellent à chaque occasion de la fermer que mosco loupe.
  
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jipes jipes
23/10/2018 20:18:09
4
nodless nodless
23/10/2018 17:16:14
4
L’excédent commercial italien: 47,4 Md€ Deficit: 2,4%


L'excédent commercial Français: déficitaire de 59,7 milliards d'euros Deficit: 2,9%
  
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wilvir wilvir
23/10/2018 17:01:29
6
On taquine l'Italie alors que nous, nous ne valons pas mieux, il n'est pas si loin que cela lorsque nous dépassions les 3% avec en plus une balance déficitaire de nos échanges commerciaux alors qu'en même temps l'Italie affichait une balance excédentaire de plus d'un milliard
  
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jipes jipes
23/10/2018 16:56:43
0

Le ministre italien de l'Economie, Giovanni Tria (à gauche), et le commissaire européen aux Affaires économiques, Pierre Moscovici, le 18 octobre 2018 (AFP/Alberto PIZZOLI)

La Commission européenne a durci mardi son bras de fer avec la coalition populiste au pouvoir en Italie en rejetant son projet de budget 2019, une première dans l'histoire de l'UE, a-t-on appris auprès d'une source européenne.

Lors d'une conférence de presse mardi après-midi à Strasbourg, le commissaire européen aux Affaires économiques, Pierre Moscovici, va demander à l'Italie "de réviser son budget", qui sort largement des clous, a déclaré cette source à l'AFP.

Cette décision a été prise en début d'après-midi par le collège des commissaires de l'UE, réuni dans l'enceinte du Parlement européen.

Selon les règles européennes, l'Italie dispose maintenant de trois semaines pour présenter un budget révisé.

Dans le cas contraire, elle se heurte à l'ouverture d'une "procédure pour déficit excessif", susceptible d'aboutir à des sanctions financières correspondant, en théorie, à 0,2% de son PIB (soit 3,4 milliards d'euros en prenant les chiffres de 2017).

La marge de manoeuvre de la Commission est étroite, entre recherche de fermeté, afin d'assurer sa crédibilité, et volonté de dédramatiser, pour éviter un choc frontal avec Rome qui affolerait les marchés.

"Dès demain, nous continuerons à expliquer cette loi de finances", a déclaré avant même l'annonce de la Commission le vice-Premier ministre italien, Luigi Di Maio, chef de file du Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème) l'un des deux partis de la coalition italienne avec la Ligue (extrême droite).

"Les prochaines semaines seront des semaines de grand dialogue avec l'Europe, les marchés", a-t-il promis.

"Nous écoutons tout le monde, mais nous ne revenons pas en arrière", a pour sa part prévenu le ministre italien de l'Intérieur, Matteo Salvini, le patron de la Ligue, lors d'un déplacement en Roumanie.

- "Pas la prochaine Grèce" -

Bruxelles avait déjà pointé du doigt dans un courrier à Rome la semaine passée le dérapage budgétaire "sans précédent" de l'Italie depuis les nouvelles règles mises en place en 2013 et le risque de "non-conformité grave" de son budget avec les règles européennes.

Mais en dépit de ces critiques, le gouvernement italien avait maintenu lundi ses prévisions.

Alors que le précédent gouvernement de centre gauche avait promis un déficit public de 0,8% du PIB en 2019, Rome prévoit désormais d’atteindre 2,4% l'an prochain, puis 2,1% en 2020 et 1,8% en 2021.

Quant à la dette publique, actuellement à quelque 131% du PIB, soit le ratio le plus élevé de la zone euro après la Grèce, Rome a promis de la ramener à 126,5% en 2021.

En gage de sa bonne volonté, le gouvernement italien a dit qu'il respecterait à la lettre ces objectifs, sans creuser davantage le déficit ou la dette.

Il a aussi réaffirmé lundi son attachement à l'UE et à la zone euro, assurant qu'il n'y avait "aucune chance" que l'Italie en sorte.

Les échanges entre Rome et la Commission sont observés de près par les autres pays de la zone euro, soumis aux mêmes règles budgétaires que l'Italie.

"Personne ne peut s'affranchir de ces règles, qui sont les mêmes pour tous", a rappelé, avant la décision de Bruxelles, le ministre français des Finances Bruno Le Maire.

"C'est aussi dans l'intérêt des Italiens d'avoir des règles solides, une monnaie stable, une zone euro qui se renforce", a-t-il ajouté lors d'un déplacement à Strasbourg.

Klaus Regling, le patron du Mécanisme européen de stabilité (MES), une organisation de l'UE chargée de venir en aide aux pays de la zone euro en difficulté, a lui assuré mardi que l'Italie n'était "pas la prochaine Grèce".

"Il ne faut pas paniquer (...) Le risque de contagion à d'autres pays est très limité", a-t-il ajouté.

© 2018 AFP

  
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