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Pouvoir d'achat: le gouvernement entend la colère des Français mais ma

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moicmoi moicmoi
29/10/2018 00:17:50
2

Quand je regarde la photo, je pense plus à un sourire « foutage de gueule » qu’à l’ange au sourire du portail de la cathédrale de Reims.
Allez savoir pourquoi.
Un sondage nous dit que : près de 75 % des Français ne croient pas son discours. Et plus de 80 % ne pensent pas qu’ils verront une augmentation de leur pouvoir d’achat avant la fin de ce quinquénat.
Il faut dire que Darmarin, menteur patenté lui aussi, de la pire espèce, affirme que la hausse du pouvoir d’achat va se ressentir ces jours-ci . (Mon oeil !!!)
Ben voyons ; A quel titre ? Les cotisations sociales sur le bulletin de salaire ? 10 euros de moins, alors que les salariés vont voir le plein de carburant augmenter de 50 euros ?
La taxe d’habitation ? Au compte-gouttes,. Mais, dans….si elle est maintenue…..Et les communes vont rester passives face à la baisse de leurs revenus ? OUI, j’y crois fermement.
Les retraités ? On leur fait des cadeaux ….enfin….un ou deux petits. La CSG, en hausse de 25 % depuis cette année, est effective, elle.
Beaucoup de retraités ont bossé dur pour se payer leur habitation. La sagesse même, car les revenus , le jour de la retraite, baissent de 40 % .
Eh ben NON ! Ils sont cons, puisqu’ils vont voir la taxe foncière faire un sacré bond vers le haut. CQFD. (pour compenser la suppression de la taxe d’habitation). Et puis aussi, ne pas oublier que l’on a parlé, à plusieurs reprises, de taxer un loyer fictif. Et ça va se faire !
De tout ceci, Darmarin n’en dit pas un mot. Pourquoi ?

Message complété le 29/10/2018 00:19:14 par son auteur.

Qu’est-ce qu’on attend pour virer toute cette racaille , Avec pertes et fracas.

  
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corte28 corte28
28/10/2018 23:36:56
4
Nous devons dégager ces parasites du pouvoir, ce sont des racketteurs qui ne pensent qu’à se remplir les poches sur notre dos, alors STOP agissons tous pour y mettre fin. Commençons le 17 novembre par le blocage des routes et allons plus loin si nécessaire.
  
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FREDFR91 FREDFR91
28/10/2018 21:04:57
3
un gouvernement au service des plus modestes....
cela signifie-t-il que les moins modestes sont oubliés ?
Au fait c'est quoi un moins modeste ?
Quelqu'un qui bosse qui paye des impôts comme en gros 47% des contribuables ?
Qui est en gros la seule vache à lait, hormis les entreprises qui n'ont pas de siège social à l'étranger comme par exemple Airbus mais cela n'est pas la seule, qu'il reste au gouvernement à taire et pour payer, sachant que les très riches se sont déjà barrés avec deux paters et un notre dame et qu'il ne reste que le classe disons moyenne à ponctionner ?
Putain, désolé, vivement la retraite que je me barre de ce pays aux politiciens de merde, encore une fois désolé,lesquels politicien ne voient pas plus loin que leur réélection et pas l'avenir de ce merveilleux pays !
Honte à vous mais je sais qu'un peu de honte est si vite passé !

Message complété le 28/10/2018 21:35:32 par son auteur.

Houpss qui ont leur siège social à l'étranger !
Désolé !

  
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FREDFR91 FREDFR91
28/10/2018 21:04:57
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Le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, à la sortie du Conseil des ministres, le 24 octobre à Paris (AFP/Archives/Eric FEFERBERG)

Face à l'inquiétude croissante des Français pour leur pouvoir d'achat, les ministres Gérald Darmanin et Bruno Le Maire ont défendu dimanche une politique fiscale "courageuse", notamment en matière de taxation des carburants, de laquelle Bercy n'entend pas dévier.

"Nous avons choisi, et c'est effectivement très courageux et très difficile, de taxer la pollution (au diesel) et les produits nocifs comme le tabac plutôt que de taxer le travail et les entreprises", a soutenu le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, invité de l'émission "Le Grand Rendez-Vous" sur Europe 1, organisée avec CNews et Les Echos.

"C'est un choix politique", a-t-il poursuivi, rappelant que le diesel et les particules fines provoquent "des dizaines de milliers de morts par an".

Des propos en écho à un entretien au Journal du Dimanche où le ministre a martelé que le gouvernement "assume une politique conçue pour réduire le réchauffement climatique et les morts prématurées liées à la pollution de l'air et au tabagisme".

"L'objectif, c'est la prochaine génération, ce n'est pas la démagogie de l'instant", a-t-il argué sur Europe 1, ajoutant que ces "mesures courageuses" étaient nécessaires si l'on ne voulait pas se rendre "complices d'un scandale sanitaire du même niveau que l'amiante". "Nous ne sommes pas souverains dans notre pouvoir d'achat vis-à-vis du pétrole", a aussi plaidé M. Darmanin, à propos de la flambée récente des cours du brut.


Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, à l'Assemblée nationale à Paris, le 24 octobre 2018 (AFP/Archives/Bertrand GUAY)

Même son de cloche du côté du ministre de l'Economie Bruno Le Maire, qui, dans Le Parisien, a également défendu la fiscalité écologique. "Une bonne politique, c'est de garder le cap. Nous ne ferons pas de retour en arrière" sur la taxation des carburants, a-t-il déclaré.

Outre les prix à la pompe, la hausse de la CSG et des mesures sur la taxe d'habitation (dont la baisse a été atténuée par des augmentations dans certaines communes) ont mécontenté de nombreux Français, préoccupés pour leur pouvoir d'achat.

"Le gouvernement n'est pas sourd" à cette grogne, a assuré M. Darmanin et peut "comprendre cette colère des Français devant des difficultés de la vie quotidienne". "Mais le rôle des responsables politiques, (...) c'est de regarder l'avenir", s'est-il défendu.

- Un gouvernement au service "des plus modestes" -

Un avenir qui devrait s'éclaircir un peu pour les contribuables, à en croire Bercy, et se matérialiser dès la feuille de paie d'octobre.

"C'est l'heure de la preuve – la preuve que nous tenons nos promesses", a souligné M. Darmanin dans le JDD, en égrainant les mesures prises et que les "Français vont pouvoir constater de visu", en octobre sur leurs feuilles de paie et comptes en banque.

Baisse de la taxe d'habitation pour 17 millions de contribuables, disparition des cotisations chômage et maladie pour les salariés, hausse de certaines allocations et minimum vieillesse: "notre politique profite à tous les Français, particulièrement aux classes moyennes", s'est félicité le ministre des Comptes publics.

Or, selon un sondage Ifop réalisé pour le Journal du Dimanche, 72% des Français estiment que leur pouvoir d'achat a "plutôt diminué" depuis la dernière élection présidentielle de 2017. Et 84% pensent que la politique du gouvernement ne permettra pas de l'améliorer d'ici la fin du quinquennat.

"Si le pouvoir d'achat est une priorité – en particulier pour ceux qui travaillent –, le rétablissement des comptes publics en est une autre", a expliqué M. Darmanin. "Nous assumons d'avoir baissé en priorité les impôts des plus modestes qui travaillent. C'est le contraire du gouvernement des riches, non ?", a-t-il ajouté.

Reste, a concédé sur Europe 1, M. Darmanin, "à peut-être davantage expliquer nos mesures de transition écologique" aux Français.

Le gouvernement entend aussi les accélérer en impliquant notamment les constructeurs automobiles dans le financement de la prime à la conversion versée pour l'achat d'une voiture plus propre, mesure phare destinée à compenser la hausse de la fiscalité sur les carburants. "Nous devons forcer les constructeurs à participer à ces changements", a dit M. Darmanin.

Une réunion est prévue lundi après-midi entre Bruno Le Maire, le ministre de la Transition écologique François de Rugy et les constructeurs.

© 2018 AFP

  
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