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Abattoir de Mauléon: six mois avec sursis pour l'ancien directeur

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gars d'ain gars d'ain
30/10/2018 19:17:59
0

La tenue idéale à offrir pour noel aux L214, ça leur évitera de se cailler les steaks dehors....

.

  
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moicmoi moicmoi
29/10/2018 21:50:52
1

Ben...Et puis les ours et les loups qui égorgent quantité de brebis , en montagne,...on leur cherche pas de poux dans la tête. Au contraire, on les protège ! (Je me trompe p’être , mais je me souviens pas avoir lu quelque part que ces prédateurs estourbissaient les moutons avant de leur bouffer la carotide.)
Et quand les écolos jugent qu’il n’y en a plus assez, on en ré-introduit. Et en parlant d’introduire, qui c’est qui l’a dans……..heu… dans le ….ben...c’est l’éleveur, tient.
Et c’est bien connu : les écolos ne sont pas éleveurs, et donc, ne subissent pas les même pertes financières que les bergers.
Et là, nos amis du L machin, y vont pas affronter les nounours des Pyrénées, pour leur parler entre hommes, entre 4 yeux, que je sache.
Bon ! Faudra p’être que j’arrête de raconter des conneries au jour.

  
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CRI74 CRI74
29/10/2018 21:20:01
0

Ils sont quasiment tous Hallal , bien malheureusement .

  
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gars d'ain gars d'ain
29/10/2018 21:15:36
1

Et pourquoi donc L214 va t'y pas filmer dans les abattoirs Hallal ?


Hein, bonne question, Non?


y'z"ont p'tre peur de finir comme les moutons ou les poulets...

Message complété le 29/10/2018 21:22:13 par son auteur.

Vous noterez encore que "Les actes de cruauté reprochés ont été invalidés par le tribunal et c'est bien ce qui comptait".

Et donc pourquoi donc L214 passe par la Casse départ du monopoly judiciaire et touche 8000 euros ? On se fout de notre gueule, s'il n'y a pas maltraitance, il n'y a pas indemnisation ...

mais là, on leur verse de l'argent : pourquoi ? surtout que je le répète, cette personne morale n'est abolument pas une association 1901... 0 quoi va donc servir l'argent récolté?

Mais c'est simple... à payer les salaires et les frais de la structure ...

  
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moicmoi moicmoi
29/10/2018 21:11:24
3

francleon

« « Que disent ces mêmes associations sur l' Aïd el-Kebir en France ou les moutons sont égorgés sans être estourbis ? » »

Ben….peut-être que là, elles disent que c’est différent, que c’est une coûtume de par là-bas, que c’est un truc religieux et que certaines religions, il faut respecter, et que on est tous frères, et que pas d’amalgame, et que les fêtes l' Aïd el-Kebir, c’est la fête du partage, ...et puis aussi, que si les affaires sanitaires, le ministère de la santé, le PM , et tout et tout, ne trouvent rien à y redire, c’est parce que c’est tout bon , que c’est que y a pas à y redire!
Et p’ête aussi qu’ils n’ont pas trop envie de se faire égorger comme les moutons s’ils ramène trop leur fraise sur le sujet. On ne sait jamais : des fois qu’il reste 1 extrémiste en France.
Donc, là-dessus, c’est botus et mouche cousue. Fermez le ban.
Et puis, comme l’association (de malfaiteurs ? ) sait fort bien de quel côté tourne le vent de la justice, ils seraient bien cons de ne pas exploiter ce filon très rentable.
Reste la question : pour eux, qu’est-ce qui est plus important ? Le mouton ? , ou le pognon ?
Moi, je croirais bien que …..mais on s’en fout de ce que je crois.

  
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gars d'ain gars d'ain
29/10/2018 19:18:05
3

8 000 euros pour L214...


C'est de l'escroquerie, c'est même pas une association 1901... Je l'ai déjà plusieurs fois dénoncé. En dehors des animaux à qui ont doit un respect, Les L214 ont créé un nouveau business modèle qui commence à payer et dont la rémunération des dirigeant n'est pas exclu...


De plus, il sera bon de rappeler encore comment L214 produit ses reportages à sensation... sur le nombre d'animaux abattus, il est raisonnable d'estimer qu'un certain nombre minime se fera en dehors des clous.

Est-ce pour autant une justification pour brûler des abattoirs, jeter l'anathème sur des corps de métiers, casser des boucheries ou encore invectiver les mangeurs de viandes comme d'ignobles individus????


Je crois qu'il y a une monde entre les 2...

  
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CRI74 CRI74
29/10/2018 18:46:52
2

On serait également bien inspiré de limiter fortement la procédure d'abattage Hallal pourtant présente dans la quasi totalité des abattoirs et donc imposée bien qu'elle n'apporte aucun enrichissement , bien au contraire .

Entre souffrance des animaux et amoindrissement qualitatif et gustatif , cette limite représenterait aussi un gros progrès réalisable aisément

  
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francleon francleon
29/10/2018 18:40:50
2
Que disent ces mêmes associations sur l' Aïd el-Kebir en France ou les moutons sont égorgés sans être estourbis ?
  
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francleon francleon
29/10/2018 18:40:50
0

L'abattoir de Mauléon dans les Pyréenées-Atlantiques, le 29 mars 2016 (AFP/Archives/GAIZKA IROZ)

Deux ans et demi après des images choc de l'association L214 sur des souffrances animales à l'abattoir de Mauléon (Pyrénées-Atlantiques), l'ex-directeur de l'établissement a été condamné lundi par le tribunal correctionnel de Pau à six mois de prison avec sursis et les employés à des amendes.

Le tribunal, qui a estimé que les conditions d'exercice ne "permettaient pas de faire le travail correctement", en pointant une faute "plutôt imputable à l'employeur", a ainsi suivi les réquisitions à l'encontre de l'ex-responsable.

Aujourd'hui retraité, Gérard Clemente, condamné pour "tromperie" - un non-respect du cahier des charges passible de deux ans de prison et 300.000 euros d'amende - devra également s'acquitter de 180 euros d'amende tandis que l'abattoir en tant que personne morale, a été condamné à 10.000 euros d'amende de peine principale, contre 50.000 euros requis.

Les quatre autres prévenus, des employés, sont condamnés à des amendes de 80, 520 et 910 euros pour maltraitance "sans nécessité". La maltraitance animale n'est punie que d'amendes, que le parquet avait réclamées (de 100 à 420 euros).

Me Denise Pombieilh, avocate du directeur et de l'abattoir, a annoncé ne pas faire appel, estimant les peines "modérées et justes". Le "tribunal n'est pas tombé dans le piège d'être pris en otage, il s'en est tenu au dossier et n'est pas rentré dans le débat idéologique", a poursuivi l'avocate en regrettant la "pression médiatique (qui) a joué pendant tout le temps du procès".


Trois prévenus au premier rang du tribunal correctionnel de Pau, le 17 septembre 2018, avant le début du procès pour maltraitance animale des abattoirs de Mauléon (AFP/IROZ GAIZKA)

Benoît Thomé, président de l'association Animal Cross, a regretté une "extraordinaire mansuétude, quand on pense que ce sont des animaux qui ont été égorgés à vif dans d'incroyables souffrances. Comment peut-on avoir des sanctions aussi faibles, comme si ces gens là n'étaient pas vraiment coupables ? On a l'impression qu'en fait, les gens ne sont pas vraiment responsables de leurs actes", a-t-il ajouté.

Antoine Tugas, avocat de trois des quatre salariés, a estimé que "le droit est passé et le message juridique d'aujourd'hui met de côté le dogmatisme et certains esprits chagrins qui ont voulu faire de ce procès un exemple (...) Les actes de cruauté reprochés ont été invalidés par le tribunal et c'est bien ce qui comptait".

L'affaire de l'abattoir de Mauléon avait éclaté en mars 2016 avec la diffusion de vidéos de l'association de défense des animaux L214, prises en secret. Des images difficilement soutenables montrant des animaux mal étourdis, des moutons saignés encore conscients, un agneau écartelé vivant. Même si dans ce cas précis, le ministère public avait requis une relaxe, invoquant "un accident".

- 8.000 euros pour L214 -

Quatre employés, l'ex-directeur et l'abattoir en tant que personne morale, étaient jugés pour "mauvais traitements infligés sans nécessité à un animal domestique", accusation qu'ils avaient vivement contestée lors des deux jours de procès.

La direction avait invoqué une situation de "petit" abattoir (35 salariés) et la difficulté à trouver du personnel qualifié, faute de formation spécifique. Les employés s'étaient plaints des "cadences" subies, plus particulièrement avant Pâques. Leur avocat a plaidé la relaxe.


Brigitte Gothière, porte parole de L214, s'exprime devant le tribunal à Pau, le 17 septembre 2018 (AFP/IROZ GAIZKA)

Les services de contrôle, bien que poursuivis, avaient d'ailleurs été malmenés au procès. Un responsable des services vétérinaires du département avait concédé qu'"on aurait dû avoir plus de fermeté", au regard d'infractions passées constatées.

"Des mauvais gestes, du matériel qui ne fonctionnait pas, peut-être, un manque de personnel certain", et une "cadence exceptionnelle" juste avant Pâques. Mais "à aucun moment, il n'y a eu de volonté de faire souffrir", avait appuyé une enquêtrice de la brigade vétérinaire chargée de l'enquête.

Les dix parties civiles, dont L214, la SPA, la Fondation Bardot, se sont vu accorder par le tribunal des montants de dommages et intérêts allant jusqu'à 10.000 euros pour l'association UFC-Que choisir et 8.000 euros pour L214.

Le procès avait eu lieu en septembre au moment des débats sur la loi Agriculture et alimentation, aujourd'hui adoptée, qui renforce certaines sanctions et prévoit une expérimentation du contrôle vidéo dans les abattoirs.

© 2018 AFP

  
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