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Philippe: sur la hausse des taxes carburant, "il n'y a pas le choix"

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realnogains realnogains
05/11/2018 11:32:16
2

Salut aux collègues


Bon je me fends d'un petit message le sujet est bien triste ( pour moi)

Moi qui avait voté Macron!

Nous avons un président qui est tout simplement en train de mettre sur la paille beaucoup de français avec tout ses nouveaux impôts .

CSG et surtout augmentation sur les carburants

Ce n'est pas en ruinent les gens que l'ont redresse un Pays.

Moi ce qui me gène le plus de la part du cher ( emanuel ) c'est un vrai manque d'idée NEUVE ,lui qui expliquait au moment de son élection,qu'il était temps de changer et d'avoir de grandes ambition .

Bon en fait il nous a vendu un président des années 1970 .

Il est en fait le ROY du manque d'idées et du retour en arrière .

Dommage il savait s'exprimer intelligemment en public .

Je pense que Mr Macron devrait demain imposer une TAXE sur la betise.

Ainsi il ferait partis des contribuables et en tête de liste nous aurions aussi.


Phillipe dit :........................Edouard aux mains d'ARGENT qui ne sait pas dire un texte sans se fourvoyer .

Moi quand je le vois à la télé je zappe direct mr cheveux gras!

Alors moi au moins je sais que j'aurais le CHOIX aux. prochaines élections

Donc LREM ou la La République en marche .

Mais vu le prix du carburant se sera :...........TSL:ou...... tout sauf LUI.

bon va falloir d'ici là trouver quelqu'un qui tienne mieux la route ( de toute manière faire pire que ce qu'il vient de faire sans avoir l'impression d'une certaine médiocrité )

Encore un de nos président qui vient de casser son beau train électrique!


Bonne journée à tous et moi avec mon vieux gaz oil de 1993 ( matériel français ) que je n'ai pas les moyens de changer.

Et bien je vais rouler au fioul dès demain .

Certains vont me dire je pollue ma réponse allez voir les milliers de Camions qui traverse la france chaque jour .

Moi j'étais pour l'éco taxe pour tous les poids lourds étranger

Moi j'étais pour le ferroutage et transport fluviale ( voilà ça c'est écolo pour notre pays ) le reste c'est de la branlette!

Moi ce que je veux: .....comme dirait Jean Louis Aubert .

C'est enfin voir arriver de vrais voitures écolo : en tête voiture à eau de mer ( oui elle existe vraiment)

Voiture électrique avec des bornes un peu partout

ensuite ou sont passé les voitures à éthanol ( pollution moins 60% par rapport aux essences)

C'est vrai edouard et emanuel eux son rester dans le passé................................et OUI

cordialement

on a toujours le CHOIX

@ plus


  
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fipuaa fipuaa
04/11/2018 18:51:37
2
whatelse whatelse
04/11/2018 16:16:09
0

Philippe, quand il va faire pipi, il prend l'avion, c'est super écologique, mais lui et nous, c'est pas pareil. Lui il est premier ministre, nous de simples quidams.

  
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gars d'ain gars d'ain
03/11/2018 19:08:10
1

ET DONC ...


Aucune réaction à mes 2 Posts sous "Fusion des régions : le grand gaspillage"...


Comme c'étrange !... Manifestement, on fait encore la sieste à plus de 19 h, le pastis a du tanker l'eau plate au vestiaire...

: )

  
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sergiobress sergiobress
03/11/2018 18:46:39
2

Posez donc la question à Macron pourquoi on en est arrivé là ? Il vous répondra ou pas ………….

Message complété le 03/11/2018 18:48:21 par son auteur.

Mais ne vous inquiétez pas, comme dit Fipuaa on va rire bientôt………….

  
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CRI74 CRI74
03/11/2018 18:35:28
2

Il nous fallait effectivement une idée hyper lumineuse : acheter étranger !

On est bien tombé au fond du trou avec une telle résolution des problèmes ....

  
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fipuaa fipuaa
03/11/2018 18:31:46
2

comme ça "ventre mou" peut faire écrire des livres où il raconte toutes ses conneries d'énarque médiocre et gangrené par le pouvoir et les lobbys

Quand notre roi ne sera plus au pouvoir , notre Brigitte (si elle est encore vivante!) pourra raconter les centaines de taxes passée par son monarque, les humiliations permanentes au peuple, les culpabilisations subies, les tapis rouges déroulés au monde de la finance des lobby des pays arabes des entreprises des copains.... Qu'est ce qu'on va se fendre la gueule ! Pauvre France!

  
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sergiobress sergiobress
03/11/2018 18:17:20
3

Bonsoir,


Ben oui ils se sont aperçus qu'il y avait moins de rentrer d'argent dans le commerce donc il faut bien compenser …………

Mais bientôt ce sera encore pire , les frontaliers même à 50 kms de la frontière ils seront gagnant , donc moins de fric……

Ils sont pris dans un tourbillon et ne savent même pas ce qui les attend ; mais ça vient doucement …………..no problème...

Si on veut les plonger dans le coma c'est très facile ………….ne plus acheter en France………… j'ai déjà commencé par les vêtements et la suite viendra, no problème ……….

Bonne soirée à tous

  
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CRI74 CRI74
03/11/2018 12:19:48
3

En fait , ce n'est pas nécessairement la réforme elle même qui est en cause mais la manière dont les responsables et élus l'ont organisée .

_ Elle devrait limiter le nombre d'élus ..

_ Elle devrait rationaliser la gestion

_ Elle devrait rationaliser les structures

Hors , on nivelle les salaires par le haut et à coup de promotions faramineuses (ça me rappelle furieusement les communautés de communes , le machin inutile ....sauf pour le déficit )

On multiplie les déplacements (on ne voit pas pourquoi les élus locaux , puisqu'ils n'ont pas diminué , devraient parcourir deux fois plus de kilomètres en faisant les mêmes opérations .Maintenant , s'il faut deux élus au lieux d'un pour couper le ruban à l'autre bout de la région , effectivement , on trompe son monde )

Les structures sont restées et n'ont pour le moment pas été réduites

Message complété le 03/11/2018 12:21:53 par son auteur.

Au fait , les modes de déplacements moins polluants sont où dans le fonctionnel de ces régions ?
Voitures ,voitures , voitures ....????

  
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gars d'ain gars d'ain
03/11/2018 11:13:54
3

Toujours pour suivre le sujet :

A écouter à 13 h 30 ce jour, "Secrets D'infos" sur France Inter / "Fusion des régions : le grand gaspillage"

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Le sujet du jour : France Inter a enquêté sur les économies que devait permettre la fusion des régions, et là aussi, vous allez sûrement tomber de votre chaise devant l'énormité de ce qui n'avait pas été prévu et comment le contribuable est roulé dans la farine fiscale...

Il n'y a aucun région qui a réussi à faire des économies et les compteurs sont exposés à la hausse.

► Une enquête de Cécile Hautefeuille


<a href="https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-03-novembre-2018">https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-03-novembre-2018</a>

Le reste est ici avec des documents à l'appui en jpeg !

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Notons " Fusion des régions : le grand gaspillage

Née de la réforme territoriale, la fusion des régions était censée dégager des économies. Trois ans plus tard, on observe au contraire une hausse des dépenses. Entre surcoûts inévitables et dépenses contestables, enquête sur un grand gâchis d’argent public.


En Occitanie, dépenses en hausse et gaspillages suite à la fusion des régions.

En Occitanie, dépenses en hausse et gaspillages suite à la fusion des régions. © AFP / PASCAL PAVANI


Quand on regarde les comptes individuels des régions sur le site des collectivités locales, quelque chose saute aux yeux : les charges de fonctionnement des régions qui ont fusionné ont toutes augmenté entre 2016 et 2017. Et la région où le coût par habitant est le plus élevé, c’est l’Occitanie.



Née de la fusion entre Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées, cette nouvelle région compte aujourd’hui près de 6 millions d’habitants, répartis dans 13 départements. Son siège est situé à Toulouse. Mais pour dédommager Montpellier, qui a perdu son statut de capitale régionale avec la fusion, il a été décidé que toutes les sessions plénières des élus auraient lieu là-bas, quatre fois par an. Et c’est là que les dépenses commencent à déraper.


L'ancien hôtel de région de Montpellier est trop petit pour accueillir tous les élus.

L'ancien hôtel de région de Montpellier est trop petit pour accueillir tous les élus. © Radio France / Cécile Hautefeuille

137 170 euros pour une journée de session plénière


L’hémicycle de l'ancien hôtel de région de Montpellier est trop petit pour accueillir tous les élus. Avant 2016, la région Languedoc-Roussillon comptait 67 conseillers régionaux, mais depuis la fusion avec leurs collègues de Midi-Pyrénées, ils sont 158. Du coup, ces sessions plénières ont lieu au Parc des expositions en périphérie de Montpellier. Moquette, cloisons, sièges, bureaux, climatisation : il faut tout monter puis démonter, et ça coûte très cher.


L’assemblée plénière du mois de juin 2017 a ainsi coûté 137 170 euros, sans compter les frais de restauration.


Document rendu public par les élus de l'opposition de la région Occitanie.

Document rendu public par les élus de l'opposition de la région Occitanie.

Sur une année, cette seule dépense se chiffre à 400 000 euros, selon Carole Delga, la présidente de la région Occitanie. Cette dernière assume cette dépense. D’abord, parce qu’elle veut respecter son engagement de campagne, celui de maintenir l’équilibre des territoires. Mais surtout, elle refuse d’engager des travaux d’agrandissement des hémicycles (estimés à 800 000 euros pour celui de Toulouse) parce qu’Emmanuel Macron a laissé entendre que le nombre d’élus pourrait baisser.


8 heures de trajet pour trois heures de réunion


Qui dit territoires plus grands dit plus de déplacements. Et l’Occitanie est immense ! C’est la 2e plus grande région de France métropolitaine. Conséquence, selon des chiffres que nous avons pu consulter, le nombre de kilomètres effectués par les agents ont augmenté de 78 % en 2016 par rapport à 2015.


L'Occitanie est la 2e plus grande région de France métropolitaine.

L'Occitanie est la 2e plus grande région de France métropolitaine. / Google Maps

Les élus aussi passent énormément de temps sur la route. "Pour se rendre aux commissions permanentes qui ont lieu à Montpellier, certains qui sont à l’autre bout de la région font huit heures de trajet aller-retour pour une réunion de travail de deux à trois heures" détaille l’élue aveyronnaise de la droite et du centre, Anne-Sophie Monestier-Charrié. En 2017, les frais de déplacements des élus ont atteint 646 000 euros.


► VIDÉO | Fusion des régions : le grand gâchis



Pour les limiter, la visioconférence a été développée. Aujourd’hui, 36 salles en sont équipées sur les sites de Toulouse et Montpellier. Mais cet investissement a un coût : 612 000 euros. Enfin, chaque jour, des agents de la région font les trajets entre les sites de Toulouse et Montpellier. Un système de navette a été mis en service : deux véhicules de huit places font, quatre jours par semaine, les allers-retours entre les deux hôtels de région.


5,4 millions d’euros pour aligner les primes des agents


Autre conséquence de la réforme : l’augmentation de la masse salariale.


Qui dit fusion, dit mise en commun de personnels qui, à compétence égale, n’avaient pas les mêmes primes. Il y avait des dizaines voire plusieurs centaines d’euros de différence sur la fiche de paie des agents de Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées. Il a donc fallu harmoniser ces primes, et cela s’est fait par le haut. Coût de l'opération : près de 5,5 millions d’euros par an avec, en contrepartie cependant, une augmentation du temps de travail.


Indemnités d’élus régionaux en augmentation


Ce qui se produit en Occitanie est loin d’être un cas isolé. Dans toutes les nouvelles régions, les dépenses de fonctionnement ont augmenté. Il faut préciser que c’est en partie lié à des compétences supplémentaires, et à la gestion de fonds européens.


Pour autant, les surcoûts liés à la fusion sont généralisés. La Cour des comptes est d’ailleurs assez sévère dans son premier bilan de la réforme publié l’année dernière. Elle pointe les "inévitables coûts de transition". Outre les dépenses liées à l’harmonisation sociale et aux déplacements, on peut ainsi relever les onéreux changements de logos qui ont eu lieu dans les Hauts-de-France, où le nouvel habillage des trains a coûté 10 millions d’euros.


La Cour des comptes engage à la vigilance sur les risques de surcroîts de dépenses en cas de fusion dans son rapport sur la situation financière des collectivités territoriales, en octobre 2017.

La Cour des comptes engage à la vigilance sur les risques de surcroîts de dépenses en cas de fusion dans son rapport sur la situation financière des collectivités territoriales, en octobre 2017.

Que dire également de l’hôtel de région flambant neuf construit à Clermont-Ferrand (pour 80 millions d’euros) pendant que la réforme territoriale se préparait ? Aujourd’hui sans réelle utilité puisque le siège de la région Auvergne-Rhône-Alpes est à Lyon. Enfin, dans certaines régions, les indemnités des élus ont augmenté. Une hausse justifiée par le passage à un échelon démographique supérieur dans leur région. En Bourgogne-Franche-Comté, le montant de l’indemnité des conseillers régionaux a ainsi grimpé de 380 euros par mois.


+++++++++++++++++++++++++++++++++++

On y apprend encore dans la bande annonce de l'émission que les déplacements des élus ont augmentés en moyenne d'environ 60% et on vient encore faire la morale aux français qui se déplacent juste pour vivre et travailler...


Dehors ! les branquignoles !!!..., j'espère qu'on leur bottera le cul à coup de fourche, nous, les cul-terreux de la République.


.



  
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gars d'ain gars d'ain
03/11/2018 10:55:57
1

Panorama exhaustif des soit-disant redresseurs de tord de la pollution diesel...


Attention, certains vont sûrement tomber de leur chaises, car cela signifie en gros que les déplacement de certains sont effectués avec des voitures de fonction et probalement aux frais du contribuable avec des voitures diesel, et des taxis...


çà m'étonnerait fort qu'ils fassent du blablacar en face leur ministère...


Notons donc qu'il n'y a aucun véhicule électrique chez les membres du gouvernement et que la plupart de ceux qui en ont une de voiture, c'est une diesel. De qui se moque-t-on ?

L'article nous apprend que :

COMMENT NOUS AVONS PROCÉDÉ


La Haute Autorisé pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) publie à chaque prise et fin de mandat des élus, leur déclaration d'intérêt ainsi que leur patrimoine. Nous avons donc analysé le parc automobile de chacun des ministres. Sans surprise, la majorité des ministres disposent de véhicules assez insignifiants, qui ne respirent rien d'autre que le désir de se rendre d'un point A à un point B. Notons que nous n'avons pas pris en compte les éventuels scooters et quads. Découvrez sans plus attendre les voitures ministres 2018.



LES MINISTRES SANS VOITURES


12 ministres (dont le premier-ministre) n'ont pas de voitures personnelles. Un nombre en très nette haute puisque cela représente plus du tiers des membres du gouvernement. La raison ? La présente de chauffeurs pour les événements ou bien l'utilisation possible de transports alternatifs.


• Jean-Michel Blanquer

• Geneviève Darrieussecq

• Benjamin Griveaux

• Sébastien Lecornu

• Nathalie Loiseau

• Mounir Mahjoubi

• Françoise Nyssen

• Florence Parly

• Muriel Pénicaud

• Édouard Philippe

• Brune Poirson

• Marlène Schiappa



LES MINISTRES POSSÉDANT UNE SEULE VOITURE



13 ministres ne possèdent qu'une seule voiture. Nous observerons que bien trop souvent, seule la marque est spécifiée, impossible donc d'analyser le choix du modèle ni la véracité des cotes estimées. Malins nos ministres ! Première mention spéciale à Annick Girardin, Ministre des Outre-Mer, qui a déclaré une Audit A3 dans son patrimoine. Oui, avec un T. Il paraît que ça marche aussi bien qu'une Alpha Roméo. Seconde spéciale pour Bruno Le Maire, Ministre de l'Économie et des Finances, qui précise que la faible cote de son véhicule s'explique par "un kilométrage annuel élevé".


Ministre Véhicule Valeur 2017

Nicole Belloubet Citroën C4 Picasso

acheté neuf 23 600 € en 2016 15 000 €

Elisabeth Borne Citroën

achetée 12 825 € en 2015 10 780 €

Sophie Cluzel Renault Scenic

acheté 18 000 € en 2017 18 000 €

Gérard Collomb Renault

achetée 21 852 € en 2007 3 170 €

Gérald Darmanin Citroën

achetée 16 000 € en 2013 8 200 €

Julien Denormandie Citroën C4 Picasso

acheté 8 900 € en 2014 6 500 €

Laura Flessel Renault Twingo

acheté 4 000 € en 2016 5 000 €

Annick Girardin Audi A3

achetée 25 000 € en 2006 7 000 €

Jacqueline Gourault Peugeot

achetée 32 797 € en 2016 30 000 €

Jean-Yves Le Drian Lancia Ypsilon

achetée 13 000 € en 2012 6 210 €

Stéphane Travert Citroën C5 Tourer

achetée 32 403 € 18 105 €

Frédérique Vidal Mercedes-Benz

achetée 13 500 € en 2017 13 500 €

Bruno Le Maire Peugeot

achetée 28 000 € en 2012 15 000 €


CES MINISTRES ONT DEUX VOITURES


4 ministres disposent de deux voitures. Là encore, les imprécisions demeurent puisque la moitié des véhicules ne sont identifiés que par leur constructeur. Mention spéciale à Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'État, pour rouler dans une authentique Citroën BX, que n'approuverait pas Anne Hidalgo.


Ministre Véhicule Valeur 2017

Christophe Castaner Peugeot

achetée 26 200 € en 2011 5 500 €

Renault

achetée 11 500 € en 2012 4 000 €

Agnès Buzyn Volkswagen Polo

achetée 11 000 € en 2003 2 000 €

Volkswagen Sharan

acheté 16 000 € en 1999 2 000 €

Jean-Baptiste

Lemoyne Mercedes GLK 220

acheté 25 500 € en 2016 19 000 €

Citroën BX 19 TRD

achetée 0 € en 2015 300 €

Jacques Mézard


+++++++++++++

Le lien :

http://www.palais-de-la-voiture.com/2017/12/gouvernement-macron-en-quoi-roulent-les-ministres.html

  
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gars d'ain gars d'ain
03/11/2018 10:48:06
1

Voilà comment se comportent les donneurs de leçons du gouvernement...


Tirez-en les leçons pour le 17 novembre 2018 !

C'est facile de donner des leçons de morale aux autres quandd soi-même, on roule avec une voiture qui n'est pas la sienne et que c'est la ville ou l'état qui paie le carburant... Je passe le débat sur les 80 km/H...

Les guignols sont aux pouvoirs et ça fait un moment que ça empire...


Notons que "Édouard Philippe arrêté en 2015 en excès de vitesse avec une voiture de la ville !

Le premier ministre actuel s’était fait arrêter par les gendarmes pour un excès de vitesse de près de 50 km/h alors qu’il vient nous expliquer aujourd’hui qu’il faille limiter la vitesse des routes secondaires à 80 km/h ! Tout ceci n’est pas très sérieux comme vous pouvez le constater. L’histoire ne dit pas s’il était au téléphone au moment de son interpellation…

Chopé par la patrouille en excès de vitesse, à 150 km/h, le député-maire LR du Havre Édouard Philippe a joué la carte de la transparence.

Ainsi ce proche d’Alain Juppé a-t-il rendu lui-même publique, via un communiqué, son infraction, lui qui a été contrôlé à 150 km/h sur l’autoroute A13 et encourt le retrait de son permis de conduire.

Se rendant à Paris vendredi, pour un motif familial, à bord d’une voiture de la ville qu’il dirige, l’édile a été arrêté par les gendarmes qui surveillaient avec des jumelles cette portion de l’autoroute limitée à 110 km/h, à hauteur de Tourville-la-Rivière, au sud de Rouen. Et Édouard Philippe de détailler dans son communiqué :

Conformément à la législation en vigueur relative aux excès de vitesse compris entre 40 et 50 km/h au-dessus de la limite autorisée, et aucune autre infraction au code de la route n’ayant été constatée, mon permis de conduire a été suspendu pour une durée de 72 heures. La gendarmerie nationale m’a également informé de ce que cette infraction impliquera une amende forfaitaire, un retrait de 4 points sur mon permis, une mesure de suspension administrative de ce permis et une mesure complémentaire qui fera l’objet d’une décision du tribunal de police.

Communiquer sur son infraction lui permet de devancer les critiques et polémiques politiques que son écart de conduite aurait pu engendrer, tout en faisant d’emblée son mea culpa. « Cette infraction est regrettable (…) Si je choisis de la rendre publique, c’est que nos concitoyens attendent légitimement de leurs élus l’exemplarité et que je suis convaincu, par ailleurs, de la nécessité d’être ferme en matière de […] "


Le lien :

https://www.lelibrepenseur.org/edouard-philippe-arrete-en-2015-en-exces-de-vitesse-avec-une-voiture-de-la-ville/

  
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CRI74 CRI74
03/11/2018 10:41:08
1

"Il faut pouvoir inciter nos concitoyens à changer un certain nombre de comportements qui sont problématiques du point de vue des équilibres environnementaux", a-t-il ajouté".

Oui , et les entreprises encouragées par ce gouvernement à utiliser de plus en plus le transport routier , polluant majeur et principal sur le territoire

Avec quelle détaxe du carburant maintenue au fait ....

  
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gars d'ain gars d'ain
03/11/2018 10:05:44
2
Philippe Enmarche :

CV :

menteur patenté

joueur de pipeau sans être passé par conservatoire

peut mieux faire
  
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bourbern bourbern
03/11/2018 09:40:15
3
Par contre, pour celui qui se déplace en jet privé, pas d'augmentation de taxe: il n'y en a pas sur le kérosène...
  
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whatelse whatelse
03/11/2018 09:13:20
2
Bawa, un peu nul votre intervention. Un plein par mois, contrairement aux propos de l'autre débile, qui traversait la rue pour trouver un emploi, certaines personnes et même beaucoup, ont besoin d'un plein par semaine pour aller travailler et là, la note, elle devient salé, surtout, comme c'est souvent le cas, ce sont des personnes qui ont de très bas salaires, donc des voitures plutôt vieilles, qui consomment énormément. Pour eux c'est très lourd. Et ne pas oublier qu'en France, 80% des employés gagnent moins de 1500€ par mois.
  
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BAWA50 BAWA50
03/11/2018 07:50:04
1

Le Premier ministre français Edouard Philippe a inauguré une école à Hanoï à l'occasion de sa visite au Vietnam, le 3 novembre 2018 (AFP/Jewel SAMAD)

"C'est compliqué mais il n'y a pas le choix": Edouard Philippe est revenu samedi lors de son déplacement au Vietnam sur la hausse impopulaire des taxes sur le carburant en France, en soulignant le besoin de combattre les émissions de gaz à effet de serre.

"J'entends parfaitement la grogne, le mécontentement parfois, la colère aussi qui peut s'exprimer, mais je dis aujourd'hui comme je l'ai toujours dit qu'il n'y a pas de solution magique au problème du dérèglement climatique", a-t-il insisté.

Lors d'une rencontre avec des jeunes au nouveau lycée français d'Hanoï, le Premier ministre a été interrogé sur le réchauffement climatique, et est de lui-même revenu sur la polémique en France sur la forte remontée des prix des carburants, sous l'effet conjugué des hausses des prix du pétrole et de l'augmentation chaque année de la "taxe carbone".

"Il faut pouvoir inciter nos concitoyens à changer un certain nombre de comportements qui sont problématiques du point de vue des équilibres environnementaux", a-t-il ajouté.

"Alors c'est facile à dire comme ça, et puis quand on rentre dans le détail, ça râle un peu il faut reconnaître. Je ne sais pas au Vietnam mais en France, parfois ça râle", a reconnu M. Philippe.

"Théoriquement, tout le monde est d'accord (pour réduire les émissions) mais en pratique c'est difficile", a-t-il souligné.

"Il faut accompagner ça. Il faut que les gouvernements essaient de dire à la fois +attention il faut changer les comportements+, mais en même temps qu’ils accompagnent leurs concitoyens pour que ces changements soient possibles", a-t-il plaidé, citant les primes à la conversion du gouvernement dans l'automobile ou pour changer les chaudières au fioul.

"C'est compliqué, mais il n'y a pas le choix, il n'y vraiment pas le choix et d'une certaine façon il y a urgence", a insisté le Premier ministre.

"Et même si ça râle beaucoup, même si c'est difficile à assumer, à mettre en pratique, il y a beaucoup de gens, et notamment de votre génération, qui savent que c'est indispensable", a-t-il dit aux lycéens.

© 2018 AFP

  
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