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A brel
"réfléchir à quoi?"
« « Etant donné que Fillon était out, Mélenchon et son hyper inflation et Le Pen et son Frexit.
Il n'y avait rien d'autre de cohérent en face et encore...de cohérence ! » »
Qui a mis Fillon out ? Et par quel procédé ? Un véritable lynchage, et pour des raisons pas vraiment « mise en péril de la Nation ». Il ne fallait pas y voir la patte des donneurs d'ordres de macron ?
D’accord pour les autres, mais est on obligé de mettre en place la peste à la place du choléra ?
Le rejet de la peste et du choléra serait tout à l’honneur des électeurs. Cela signifierait qu’ils ont quelque chose entre les deux oreilles qui leur serve à réfléchir.
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"réfléchir à quoi?"
Etant donné que Fillon était out, Mélenchon et son hyper inflation et Le Pen et son Frexit.
Il n'y avait rien d'autre de cohérent en face et encore...de cohérence !
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A fipuaa
Analyse on ne peut plus juste.
Mais dans analyse, il y a anal. Et c’est nous qui l’avons dedans, à cause d’une fange d’individus incapables de, justement, analyser.
Que les plus riches, que les banquiers, aient voté pour lui, c’est normal vu que ce sont eux qui l’ont poussé en avant, sous conditions de suivre à la lettre leurs instructions.
Que les femmes aient voté pour lui parce qu’il a une belle gueule, c’est à regretter qu’on leur ait accordé le droit de vote (je parle uniquement de celles qui votent sur photo).
Mais que les gens de la France d’en bas, des classes moyennes, des retraités, aient voté pour lui, j’ai beaucoup de mal à les comprendre.
Sa campagne et les saloperies y attenantes étaient très révélatrices .
A quand la comptabilisation des bulletins blancs, nuls, et abstentions ? La vraie expression du Peuple . (je mets toujours une majuscule à Peuple)
Et de plus, à quand un vote sanction à mi-mandat ?
Les z’élus feraient un peu plus attention à ce qu’ils font, et garderaient la queue entre les pattes.
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@moicmoi
le problème est que les plus riches ont voté pour notre roi aidé par quelques rêveurs non avisés, quelques naïfs et quelques femmes qui le trouvaient beau et quand tu cumules ça fait qu'un français sur 5 à peine donc le problème est ce grand nombre des 80% qui souffrent et qui n'ont pas voté pour la monarchie !
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Eh oui. Parfois, de réfléchir, de peser le pour et le contre, de tout mettre dans la balance, ça peut éviter de jouer à la girouette. Certains appellent ça : le tango argentin.
Mais, il est trop tard pour pleurer : Les choses étaient prévisibles dès la campagne hors-norme.
Là aussi, il fallait réfléchir avant.
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Les dispositifs pour aider les ménages à alléger leur facture énergétique sont déjà nombreux en France. Au moment où le gouvernement souhaite en améliorer certains, voici un tour d'horizon des principales aides.
Chèque énergie
Créé pour remplacer les tarifs sociaux de l'électricité et du gaz, c'est un dispositif d'aide au paiement des dépenses d'énergie (factures d'électricité, de gaz, rénovation énergétique...).
Il s'agit concrètement d'un chèque non encaissable qui ne peut être utilisé que pour le paiement des factures. Il est attribué en fonction du revenu fiscal de référence, qui doit être notamment inférieur à 7.700 euros pour une personne seule et 11.550 euros pour un couple.
Les bénéficiaires n'ont pas de démarche à effectuer pour le recevoir. Le chèque leur est envoyé directement, sous format papier ou numérique.
L'an prochain, il sera augmenté à 200 euros par an en moyenne, contre 150 euros cette année.
Il est versé à environ 3,7 millions de ménages en situation de précarité pour un coût de 710 millions d'euros en 2019 (+22%).
Mais il pourrait être être "élargi" à certains contribuables imposables, a annoncé mardi le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin, qui souhaite également simplifier le dispositif.
Actuellement, 560.000 Français reçoivent ce chèque mais ne l'utilisent pas, selon lui.
Les aides aux transports
La région des Hauts-de-France propose une aide de 20 euros par mois pour les personnes qui habitent à plus de 30 km de leur lieu de travail et qui n'ont pas d'autre choix que d'utiliser leur véhicule pour s'y rendre.
Elle s'adresse à ceux qui perçoivent un salaire net inférieur ou égal à deux fois le SMIC.
L'aide est versée trimestriellement et directement sur le compte bancaire du salarié.
Elle est normalement imposable mais elle "sera défiscalisée" a annoncé mardi Emmanuel Macron. Cela sera le cas sur tout le territoire si d'autres régions adoptent un dispositif similaire.
Prime à la conversion
La prime à la conversion, mise en place en 2015, vise à favoriser le remplacement de véhicules anciens par des véhicules plus propres.
Un acheteur, qui met au rebut un vieux véhicule polluant, peut bénéficier de cette prime allant jusqu'à 2.500 euros. Son montant dépend des performances du véhicule acquis en matière d'émissions de CO2 et de la situation fiscale du demandeur. Depuis cette année, cette prime s'applique aussi sous certaines conditions à l'achat de voitures d'occasion.
La prime à la conversion subventionne également l'achat de trois-roues ou deux-roues motorisés, pour un montant de 1.100 euros pour un foyer non imposable et de 100 euros pour un foyer imposable, dans la limite du coût d'acquisition.
Un montant maximum de 200 euros est également prévu pour l'achat d'un vélo à assistance électrique.
Le gouvernement souhaite doubler, à partir de 2019, la prime à la conversion versée pour l'achat d'une voiture plus propre, à l'aide d'une contribution des constructeurs automobiles. Environ 250.000 primes à la conversion devraient être versées en 2018, contre un objectif initial de 100.000.
Bonus écologique
En plus de la prime à la conversion, l'achat d'un véhicule électrique neuf donne droit à un bonus écologique. Ce dispositif, initié en 2008, vise à encourager les efforts des constructeurs pour commercialiser des voitures moins polluantes.
Ce bonus, ouvert à tous, sans conditions de ressources, consiste en une prime de 6.000 euros. Il est cumulable avec la prime à la conversion, soit un total pouvant aller actuellement jusqu'à 8.500 euros pour l'achat d'une voiture électrique neuve.
Le bonus écologique doit être élargi aux hybrides rechargeables à partir de l'année prochaine.
Le CITE
Le crédit d'impôt transition énergétique (CITE) permet de déduire de ses impôts une partie des dépenses engagées pour les travaux réalisés dans son logement principal.
Sont concernés des travaux encourageant les économies d'énergie et l'isolation thermique, ou encore l'installation d'équipements de production d'énergie utilisant une source d'énergie renouvelable (pompes à chaleur, chaudière à bois, chauffe-eau solaire, etc.).
Le crédit atteint jusqu'à 30% du montant des dépenses admises (hors main d'œuvre sauf exceptions), avec un plafond.
Le gouvernement avait envisagé de le transformer en prime en 2019, afin de permettre aux ménages de toucher l'aide financière plus rapidement, avant de renoncer.
Les certificats d'économies d'énergie
Les vendeurs d'énergie (fournisseurs d'électricité, de carburants, etc.) sont obligés de financer des travaux visant à diminuer les dépenses énergétiques auprès de leurs consommateurs.
Ils le font notamment via le versement de primes aux ménages, collectivités ou professionnels qui engagent certains travaux (isolement des combles...). Pour obtenir ces primes, les consommateurs doivent en faire la demande avant d'engager leurs travaux.
En échange, les vendeurs d'énergie reçoivent des certificats d'économies d'énergie (CEE) qui confirment qu'ils ont bien rempli leurs obligations.
Ce dispositif complexe a été jugé trop peu connu, "kafkaïen" et injuste par l'association de défense des consommateurs UFC-Que choisir.
© 2018 AFP
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