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Faut bien leur rembourser la hausse des carburants et de la CSG, c'est eux la France qui travaille.
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Message complété le 12/11/2018 13:19:53 par son auteur.
J’ai parfois un peu l’impression qu’on se fout de notre gueule. Pas vous ?
Mais peut-être que NOUS, nous sommes des méchantes gens ? Et EUX, les gentils qui ne pensent qu’à NOTRE bonheur.
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Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a dénoncé lundi le "tir au pigeon" dont la classe politique serait "victime", après des informations de presse évoquant une forte hausse de la rémunération de ses conseillers calculée à partir de données "erronées" selon son cabinet.
Selon l'annexe au projet de loi de finances 2019 consultée par l'AFP, la rémunération brute totale des cinq membres du cabinet du porte-parole du gouvernement est passée de 295.530 euros en 2017 à 550.782 euros en 2018. Soit une augmentation de 86,4%, évoquée par le magazine Capital.
"C'est faux", a réagi Benjamin Griveaux sur Europe 1, interrogé sur ces chiffres. Il a dénoncé "une mise en cause bien rapide qui donne peu la parole à la défense". Le vrai chiffre, "c'est 27%", a-t-il toutefois admis.
Le chiffre de la ligne "rémunération brute totale" pour 2017 est "erroné" car il inclut la rémunération de seulement quatre conseillers, et non des cinq du cabinet, ce qui crée une base de comparaison défavorable dans le document en l'état, selon le cabinet de M. Griveaux.
La rémunération pour 2017 est de 431.580 euros, et non de 295.530 euros, a-t-on précisé, ce qui ramène la hausse en 2018 à 27,6% par rapport à 2017.
Benjamin Griveaux a également justifié cette progression par le fait que ses conseillers "sont plus expérimentés et plus âgés" que les précédents.
Si la rémunération totale de son cabinet est "2,2% au-dessus de la moyenne des cabinets", le quinquennat Macron compte 311 conseillers de cabinet, contre 596 sous Sarkozy ou 522 sous Hollande, a-t-il aussi fait valoir.
Il a critiqué "des gens qui lisent [l'annexe du PL] manifestement avec un parti pris", et indiqué qu'il allait "demander un droit de réponse par voie d'avocat". "Car j'en ai assez que la classe politique soit en permanence victime d'un tir au pigeon", a-t-il ajouté, en assurant que Capital n'avait pas contacté son cabinet.
© 2018 AFP
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