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Il est tout à fait certain que les propriétaires de véhicules très âgés ne les gardent que par pur et ridicule attachement à leur « bonne vieille Titine ». (Les propriétaires de véhicules de collection ont bien du mourron à se faire.)
Et il est encore plus que tout à fait certain que ces gens-là ont un compte bancaire très bien garni. Ils ont de quoi se payer au moins 2 ou 3 véhicules nouvelle génération, même si ces véhicules coûtent deux fois le prix d’un véhicule « banni des z'élites ».
Allons ! Un p’tit effort, que diable !
A quand un Grand Paris ville morte ? Pour le bonheur des piétons . Pour le bonheur des fabricants de brouettes. (pour les livraisons de victuailles et matérieux)
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Ils vont avoir du mal à refourguer le stock de véhicules d'occasion !
anticipons:
à quand l'interdiction des hybrides sont aussi des thermiques ?
je pense que ça viendra .
Message complété le 12/11/2018 21:00:48 par son auteur.
...qui sont aussi.... bien sûr
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Qu' on m'explique comment , au moins d'août , la qualité de l'air progresse subitement en région parisienne et Paris notamment alors que les températures chaudes ne militent par pour une amélioration des mesures ?
Il n'y a qu'une explication plausible : la diminution sensible du trafic automobile et camions !
C'est rigoureusement la même chose dans les montagnes où vous suivez les tracés d'autoroutes depuis les sommets , la ligne gris merdique dans les fonds de vallées où sont nichées les autoroutes .
Il faudrait aussi ne pas raconter de contre vérités sur la pollution des moteurs thermiques , diesels ou essence , peu importe
Libre à vous de réclamer l'empoisonnement à vie dans lequel vous semblez vous complaire
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Le mensonge de l'électrique et de la pollution qui viendrait uniquement du diesel continue...
C'est pire que l'enfumage...
Paris, ville de riche... A 120 euros les 6 heures de stationnement, ça calme....
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La métropole du Grand Paris (MGP) a voté lundi l'interdiction de circulation des véhicules les plus polluants dès juillet 2019, soit les véhicules diesel de plus de 18 ans et essence de plus de 21 ans, dans un large périmètre autour de la capitale.
"Nous devons faire preuve de courage collectif", a déclaré devant les élus le président de la MGP, Patrick Ollier, évoquant les "5.000 à 6.000 morts par pollution chaque année dans la région".
Pour entrer en vigueur, l'interdiction doit faire l'objet de consultations auprès de la population de chacune des communes et les 79 maires concernés doivent ensuite prendre des arrêtés.
Selon le vice-président en charge de l'environnement, Daniel Giraud (PS-DVG), sont frappés d'interdiction "les véhicules diesel immatriculés et mis en circulation entre le 1er janvier 1997 et le 31 décembre 2000" et les "voitures essence de plus de 21 ans" soit les véhicules "qui ne respectent pas les normes européennes et nationales en termes d'émissions de polluants et de particules fines".
La mesure concerne "de vieux véhicules, très vieux véhicules qui sont en principe en fin de parcours", a avancé M. Giraud auprès des élus, inquiets pour certains.
Ce projet dit de création d'une "zone à faibles émissions" (ZFE) concerne 79 communes de la zone située à l'intérieur de l'A86, qui forme une boucle autour de Paris, et relie de grandes villes de la banlieue parisienne comme Versailles (Yvelines) ou Bobigny (Seine-Saint-Denis), par exemple.
"Je mesure tout à fait les réactions que les maires peuvent avoir, l'inquiétude qui peut être la vôtre", a déclaré Patrick Ollier (LR) devant les élus, tout en soulignant que "Lisbonne, Vienne, Helsinki... Tous (sont) très en avance par rapport à ce que nous ambitionnons de faire".
"Je ne demande pas aujourd'hui de voter une ZFE calée et bloquée", a-t-il ajouté, mais de "voter sa mise en place" pour ensuite "se tourner vers l'Etat, la région Ile-de-France, IDF mobilités et mettre en place toutes les conditions de réussite de la mesure", avec notamment des moyens financiers supplémentaires.
"On sera capable de revenir sur ce vote si l'Etat n'est pas capable de nous accompagner, si la région n'est pas capable et si les villes ne sont pas capables de faire des efforts nécessaires", a-t-il assuré aux élus.
Cette décision s'inscrit dans une volonté globale de plusieurs élus métropolitains, notamment de la Ville de Paris, de diminuer le niveau de pollution de l'air à horizon 2030.
© 2018 AFP
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