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fipuaa
« « Moi je pense qu'ils font un concours de connerie et il est vrai que celui qui est en photo est un favori à la gagne, » »
Faux ! Archi-faux ! Les cons ne sont pas ceux que tu crois.
Ceux que tu dis être cons savent très bien exploiter la combine pour vivre princièrement sur notre dos. En divisant judicieusement les citoyens-contribuables. En nous vendant leurs potions taxatives enrubannées d’un joli noeud-nœud rose parfumé à l’eau de vertu, en cherchant, comme les sportifs de haut niveau, à aller au-delà de leurs limites, du niveau de prélèvements acceptable.
Les vrais cons de l’histoire sont de l’autre côté de la limite. Du côté des citoyens.
Ils acceptent tout. Le mépris, le « toujours plus » des prélèvements , la baisse du pouvoir d’achat et la paupérisation, etc.…
Ils râlent un peu pour la forme, et ils capitulent bien vite , afin de permettre à la caste supérieure de nous exploiter encore et toujours plus, par crainte de la répression.
Faut-il attendre le moment où nous n’aurons plus que de la brioche à manger pour réagir ?
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Moi je pense qu'ils font un concours de connerie et il est vrai que celui qui est en photo est un favori à la gagne, il ne respire pas l'intelligence!
il l'a trouvé où ce benêt?
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Nous ne voulons plus d'impôt et de taxe, c'est sur ces quelques mots qu'il faut se battre. NOUS NE VOULONS PLUS D'IMPÔT ET DE TAXE, ce doit être le leitmotiv des Français.
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On appelle cela une mentalité de cons , il y en a un en-dessous en photo
D'ailleurs il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis, c'est bien connu.
Par contre on ne gagne pas toujours, il peut y avoir des revers très sévères, seul l'avenir le dira ……………
Il faudrait peut-être mettre nos dirigeants au régime sec et leur montrer qu'un peuple ça se respecte, un exemple à suivre :
www.lefigaro.fr/international/2013/04/09/01003-20130409ARTFIG00284-normal-comme-un-ministre-suedois.php
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C est bizarre, toujours le mot taxe pour solutionner un problème . ils n' apprennent que ça à Sciences Po et à l' Ena.
Pour aider les petits commerçants, commençons par alléger leurs charges, alignons ces charges sur celles des multi nationales et surtout laissons leurs commerces accessibles.
Tout est fait aujourd'hui pour envoyer les gens sur les grands centres commerciaux ( et oui, toujours les gros) en périphéries des villes.
Mais des petits commerçants qui ferment ou les commerces non repris à la retraite, ça n'intéresse personne et c'est surtout moins sensible et moins médiatique qu'une grande enseigne qui annonce un plan social.
Pourtant le résultat est le meme, mais à petites doses dans le petit commerce.
Selon que vous serez puissant ou misérable...
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O ben merde alors ! Nos z’élites seraient capables de réfléchir ? J'en suis tombé de ma chaise.
Ils z’auraient compris (non, non...c’est pas un gros mot.) que les Français ne tiennent pas spécialement au titre de champions du monde de la taxation ? Et que ce serait un coup à mettre un gilet jaune par-dessus le premier ?
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L'idée d'une taxe d'un euro sur les livraisons à domicile de colis commandés sur internet pour aider les commerces de proximité est "une mauvaise réponse" à "une bonne question", a affirmé vendredi le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin.
Dans le cadre de l'examen du projet de budget 2019, Véronique Louwagie (LR) a défendu un amendement reprenant une proposition en ce sens de l'Association des maires de France (AMF).
L'idée, qui avait aussi été portée en vain par des élus LREM en commission, est de créer une taxe forfaitaire de 1 euro sur les livraisons à domicile commandées par voie électronique pour financer une baisse de la taxe foncière sur les commerces de proximité.
"C'est un sujet qui a fait couler un peu d'encre, mais c'est aussi un sujet qu'il faut regarder avec un petit peu de recul", a affirmé devant les députés M. Darmanin.
"C'est une bonne question mais une mauvaise réponse", a-t-il ajouté, notamment parce qu'"évidemment la taxe sera répercutée sur les personnes". Cela va aussi créer "un problème dans le problème" en détruisant "la compétitivité des entreprises françaises", a-t-il affirmé, citant à titre d'exemple Les 3 Suisses ou La Redoute. "Vous allez tuer ce genre d'entreprises françaises", qui font des livraisons via internet.
Le ministre s'est dit en revanche prêt à "imaginer quelque chose qui touche les plateformes étrangères" tout en respectant le droit européen et les traités commerciaux, évoquant des discussions à venir dans le cadre de l'examen en 2019 du projet de budget dédié aux collectivités.
Mme Louwagie a retiré son amendement, destiné, selon elle, à ouvrir le débat sur "le problème" de la disparité entre le commerce physique et l'e-commerce, et le besoin d'une "réponse en terme de fiscalité locale".
Tout en se disant en accord avec l'objectif, d'autres élus ont aussi observé, à l'instar d'Eric Woerth (LR) ou Amélie de Montchalin (LREM), que l'outil n'était "pas le bon".
Mme de Montchalin a préconisé de soutenir "fortement la proposition du ministre Bruno Le Maire sur une taxation des grands e-commerçants et acteurs numériques basée sur le chiffre d'affaires", qui apporterait "une partie de la solution".
© 2018 AFP
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