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Nucléaire: entre 0 et 6 fermetures de réacteurs d'ici 2028, trois scén

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Obywan Obywan
21/11/2018 16:45:07
0

L'important est de minimiser les faits : <u style="font-style: italic;">la réalité n'est pas bonne à avouer !! (on sait juste que si ça pète, on ne sera pas épargné)


Septante ans après Hiroshima et Nagasaki, les hôpitaux de la Croix-Rouge japonaise continuent de soigner des personnes atteintes de divers cancers et leucémie imputables aux radiations des explosions atomiques et près de deux tiers d’entre elles en meurent.

Pour la seule année 2014, les hôpitaux de la Croix-Rouge du Japon qui prennent en charge les rescapés des bombardements sur Hiroshima et Nagasaki ont respectivement traité 4.657 et 6.030 survivants.

Par ailleurs, jusqu’en mars 2014, près des deux tiers des décès (63%) à l’hôpital de Hiroshima étaient imputables à diverses formes de cancers dus aux bombardements atomiques. Le cancer du poumon arrive ainsi largement en tête (20%) suivi du cancer de l’estomac (18%), du cancer du foie (14%), de la leucémie (8%), du cancer de l’intestin (7%) et du lymphome malin (6%). Durant cette même période, plus de la moitié de tous les décès survenus à l’hôpital de la Croix-Rouge de Nagasaki (56%) étaient également dus au cancer, précisent les organisations humanitaires


Trente ans après Tchernobyl, l’impossible bilan humain

Reportage près de Kiev, où une polyclinique assure le suivi des enfants ukrainiens. Sa directrice fait état de « plus de 5 000 cancers de la thyroïde » après l’accident nucléaire.


(Ce ne sont que des récupérations partielles des conséquences du nucléaire)

...........

"Parenthèse" : MONSANTO

VIETNAM. AGENT ORANGE, LES ENFANTS DU POISON

Mardi, 27 Mars, 2018

Plus de quarante ans après la fin du conflit, les descendants de la troisième et de la quatrième génération continuent de souffrir de pathologies liées à la dioxine. Extrêmement coûteuse, la décontamination se fait au compte-gouttes.


Mais non... on ne nous veut que du bien !! et tout ce que l'on fait c'est pour le progrès !!

  
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moicmoi moicmoi
21/11/2018 14:18:02
0

A Don Qich

Je sais, tu vas me parler de Fukushima : 18 000 morts
Faisons le calcul
population mondiale 7,5 milliards d’individus.
Fuku : 18 000 morts
Soit le taux faramineux de : 0,00025 (mais sur un an. Et impossible d’extrapoler sur 10, 50, 70 ans). Si on divise par le Nb d’années depuis l’utilisation du nucléaire, ça nous fait….je te laisse le soin de la réponse.
Mais, cumulons avec Tchernobyl : entre 4 000 et 400 000 décès, selon les sources.
Donc, au total, et prenant les chiffres les plus alarmistes : 418 000 décès sur 7,5 milliards d’individus (monde entier)
Ce qui donne …..un ratio de : entre 3 et 5,6 , % . En ...combien d’années ?…..Je te laisse le soin de la réponse.
Je te remercie pour ton absence de réponses, à cet instant.
Mais je pense que c’est pour très bientôt.

  
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moicmoi moicmoi
21/11/2018 12:43:24
2

Et toi ? Quels sont tes chiffres ? Sur quelles bases sont fondées tes analyses ?
Dis-nous tout, STP !

Depuis la décision de fournir de l’électricité par le biais du nucléaire , en 1957, et sur la base d’un accident nucléaire grave , ….disons 1 000 morts ? Plus ? Moins ? Et, c’est bien connu de tous , nous avons eu 1 accident nucléaire grave par an !
Soit : 1 000 morts, multiplié par 70 ans, cela fait 70 000 morts. (pour l’instant, je n’ai pas connaissance d’un accident majeur en France. En 70 ans.)
Moins que la route, Moins que le cancer non lié au nucléaire. Moins que la tabagie. Moins que la vieillesse. Moins que la mal bouffe. Moins que la sédentarité. Moins que ….etc.
Doit on TOUT arrêter ?
Plutôt que de nous asséner de l’idéologie stérile, Il me serait agréable que tu nous chiffres les effets économiques induits par l’abandon du nucléaire. Et je te remercie vivement pour ta contribution , qui ne tardera pas , j’en suis convaincu, à ce côté financier .

  
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DonQuich DonQuich
21/11/2018 11:46:53
0

à combien évaluez-vous un accident nucléaire grave ?

  
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moicmoi moicmoi
21/11/2018 11:26:35
3

Ça y ressemble un peu.
Il est évident que EDF va dire OUI, avec un grand sourire.
Alors, OK : passons à autre chose. Mais à quoi ?….le charbon ? C’est NIET ! D’ailleurs macron veut fermer les dernières. Le gaz ? On dépend aussi de l’extérieur. L’hydraulique ? Encore de belles vallées vertes à noyer pour suffire à la demande. Et les écolos vont monter aux créneaux contre. Comme pour le barrage de Sivens ?
L’éolien, ou le solaire ? Oui disent les écolos. Et en plus, ça va créer des milliers d’emplois. (chez les autres, le matériel étant fabriqué à l’étranger) . Question : sur quelles bases sont annoncés ces milliers d’emplois ? Au doigt levé ? Sur du concret ?
Et puis aussi, quelle gueule auront nos jolis paysages couverts de « moulinettes » ? Combien de M3 de béton et ferraille mis en terre ?
A combien revient le Kw/H vert ? Dans un avenir proche, combien paierons-nous notre électricité ? Sachant qu’actuellement, NOUS versons des millions (milliards?) d’euros aux lobbies « énergie verte » ?
EDF sera t’elle en capacité de revendre de l’électricité aux voisins avec des tarifs multipliés par ????..2 ?….2,5 ?...3 ?..
A combien se chiffrera l’arrêt et le démantèlement des centrales ? (à moins d’en faire des super-marchés ou des salles de sports?). En terme de finances et impact sur l’emploi.
Mais, c’est bien connu , les écolos sont tous expert-comptables et économistes.
Bof . D’ici là, les Gvt changeront d’étiquettes, les voix des écolos seront quantité négligeable, et tout peut changer.

Message complété le 21/11/2018 11:28:50 par son auteur.

Si on veut tuer EDF , on dit que ses centrales nucléaires ont la rage.

  
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gars d'ain gars d'ain
21/11/2018 00:35:28
1

Vu qu'on est déjà même pas capable de fermer ce que l'on s'est engagé à fermer, ça me fait tristement sourire...


Encorte une énième annonce pourrie au sujet d'EDF, le joyau électrique en perdition de la France qui râme, celle qui marche occupe les palais et marche dans les escaliers... en cas de coupure de lumière, çe pourrait bien être la chûte...


  
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tankoua tankoua
20/11/2018 15:27:45
0
Comme leur prédécesseurs, en fait, ces gens ne servent qu'a nous pondre des lois (d'ailleurs, certaine portent même leur nom... quel humilité) et il y en a tellement, qu'on ne les connait même plus... on est mal... on est très mal.
  
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alpine122b alpine122b
20/11/2018 12:24:33
0
Arrêtons de parler d'avenir, le gouvernement actuel ne sera plus qu'un souvenir
  
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alpine122b alpine122b
20/11/2018 12:24:33
0

Le gouvernement va annoncer fin novembre entre zéro et six fermetures de réacteurs nucléaires d'ici 2028 (AFP/Archives/GUILLAUME SOUVANT)

Trois scénarios pour un arbitrage très attendu: l'exécutif va annoncer la semaine prochaine entre 0 et six nouvelles fermetures de réacteurs nucléaires d'ici 2028, sans compter les deux de Fessenheim qui seront les seuls à s'arrêter durant le quinquennat, selon un document obtenu par l'AFP mardi.

Ce document préparatoire rassemble les trois scénarios sur lesquels planche l'exécutif pour la future programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), qui doit être annoncée la semaine prochaine par Emmanuel Macron et Edouard Philippe.

Il recense trois scénarios: le premier, soutenu par le ministère de la Transition écologique, prévoit six fermetures de réacteurs outre Fessenheim d'ici 2028, et six de plus d'ici 2035, sur les 58 du parc nucléaire français actuel d'EDF.

Le deuxième, dit "intermédiaire", ne prévoit aucune fermeture supplémentaire d'ici la fin de la PPE en 2028, et 12 entre 2028 et 2035.

Enfin le troisième, poussé par Bercy, ne prévoit aucune fermeture d'ici 2028, neuf entre 2028 et 2035, et la construction de quatre réacteurs de nouvelle génération EPR d'ici 2040.

L'objectif de 50% d'électricité nucléaire est atteint en 2035 dans les deux premiers, mais attend 2040 dans celui de Bercy. Les scénarios prévoient une part de 40% d'électricité renouvelable, atteinte en 2030, 2032 ou 2034 suivant les trois cas.

La priorité du gouvernement, répétée maintes fois par Emmanuel Macron, est dans l'immédiat de fermer les quatre dernières centrales à charbon du pays, très polluantes.

Le gestionnaire du réseau à haute tension, RTE, a estimé la semaine dernière que cet objectif était tenable mais à condition de ne pas arrêter de nouveau réacteur nucléaire d'ici cinq ans.

Sollicité par l'AFP sur ces informations, Matignon n'a pas fait de commentaires "sur des scénarios préparatoires à une décision", confirmant simplement que "des annonces seraient faites la semaine prochaine".

"Pour l'instant le gouvernement est encore au travail. On est en train d'ajuster les scenarii", a abondé mardi la secrétaire d'Etat à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, sur Radio Classique.

"Les décisions sont en cours, il y a encore des discussions. C'est un choix très important de trouver le bon chemin de l'autonomie et de la sécurité énergétique à 2028 ou à 2030", a-t-elle souligné.

"Il n'y a d'ailleurs pas que la question du nucléaire, il y a aussi la place des énergies renouvelables dans ce chemin, il y a aussi la place des économies d'énergie", a rappelé la secrétaire d'Etat.

- "Calendes grecques" -

Le mouvement anti-nucléaire a pour sa part aussitôt estimé que le gouvernement n'allait pas assez loin pour réduire la part de l'atome.

"Notre ligne rouge, c'est des fermetures (de réacteurs) dans ce quinquennat", rappelle Alix Mazounie de l'ONG Greenpeace. "Aucun des trois scénarios n'est acceptable ni raisonnable", a-t-elle déclaré à l'AFP.

"Le gouvernement plie sous le poids des lobbys et remet en cause les économies d'énergie qui apporteraient du pouvoir d'achat aux Français et les filières d'avenir, créatrices d'emplois, que sont les énergies renouvelables", juge pour sa part Anne Bringault, du CLER-Réseau Action Climat.


Les centrales nucléaires françaises (AFP/Sophie RAMIS, Alain BOMMENEL)

Pascal Canfin, directeur général du WWF France, a appelé à ne "pas repousser aux calendes grecques" les fermetures de réacteurs. "Il y a déjà un premier enjeu qui est de ne pas remettre nos billes dans une technologie, qui s'appelle l'EPR, qui est incapable de faire ses preuves", a-t-il estimé sur France Inter.

Quant à la part du nucléaire à 50%, "on ne peut pas être au-delà de 2035 parce que sinon on fait une fausse transition dans la mesure où les centrales arriveraient de toute façon en fin de vie et de toute façon il faudrait les fermer".

À la Bourse de Paris, l'action EDF perdait 0,13% vers 10H30 dans un marché en recul de 0,81%.

"Les scénarios 2 et 3 apparaîtraient globalement en ligne avec EDF, qui ne veut pas fermer de réacteur avant 2029", relèvent les analystes de Bryan Garnier dans une note.

© 2018 AFP

  
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