Les consommations d'énergie en France et leur impact sur le climat

Tiens, parlons-en de la prime de 4000€, qui paye ?

c'est très facile de donner des primes quand c'est pas son propre argent, lol

on me donnerai 15000€ que j'en achèterai point car je sais d'où vient l'argent.

Maintenant les discours que peut faire Macron à la TV pour endormir encore la population n'a plus aucun intérêt , la ligne rouge a été franchie depuis bien longtemps.

La côte de popularité de 20 % va encore prendre une claque.

Cqfd

Répondre

la voiture electrique est deja la , dans 5 ans je pense qu'elle sera partout -faut eviter d'ailleurs d'acheter du neuf dans le diesel ou l'essence aujourd'hui ce sera invendable dans 5 ans ...si ils retardent sa commercialisation c'est pour des raisons de couts encore et pour commercialiser les modeles existants en energie fossile -d'ou d'ailleurs la prime des 4000 euros -ils n'ont jamais ete aussi genereux .Le prix de la voiture electrique devrait a terme representer bcp moins que celui de la voiture a energie fossile -moins de pieces ,moins de panne et moins de consommation.

il faudra s'interesser en bourse aux societes qui permettent d'economiser l'energie electrique car l'energie electrique va devenir un enjeu majeur dans les années a venir ,pour nourrir ces vehicules il faudra economiser de l'energie ailleurs en limitant les deplacements inutiles , en dematerialisant certaines taches -par le developpement du covoiturage,le stationnement intelligent, la ville intelligente ect ...l'internet des objets , l'intelligence artificielle seront les secteurs de demain .

Répondre

Arrêtez de rêver au tout électrique, qui paye les subventions ? C'est nous, je crois qu'il est ni l'heure ni le jour de s'endetter encore plus pour des idées qui n'iront nul part à terme.

De l'hybride peut-être, cela semble plus sérieux.

https://www.hybridforall.fr/la-voiture-electrique-n-est-pas-notre-avenir

Répondre

Perso je suis pas pret d’acheter une voiture electrique !

Dans 15/20 ans peut etre !

Répondre

bonjour Gars d'Ain .

Je ne suis pas d'accord sur la présentation concernant la voiture électrique .

Il s'agit d'une évolution majeure , mondiale , du développement de la voiture . Tous les constructeurs de la planète ont plusieurs modèles soit commercialisés , soit en essai .

Il ne s'agit pas de rater une fois de plus un progrès industriel et désertifier un peu plus l'industrie française qui n'a vraiment pas besoin de cela s'il on loupait ce virage .

Après , que la distribution de puissance nécessaire soit dévolue à tel ou tel acteur , ce sera aux collectivités à choisir , et pourquoi pas via d'autres sources .

Par contre , s'il on en reste au volet écologique , la priorité dont on ne parle pas serait de trouver une solution urgente concernant le transport routier au niveau européen , le camion électrique n'étant pas pour demain compte tenu des puissances requises .

Répondre

Et voilà...

Comment tout doucement le lobby du tout nucléaire continue à avancer ses pions pourris pour survivre alors que la plupart des pays tentent d'en réduire l'exposition...

Pitoyable et affligeant...

Comme je l'avais écrit précdemment cet été : le scénario des voitures électriques est un vaste tissu de mensonges destinée à promouvoir la construction de nouveaux EPR pour sauver le soldat EDF de la merde dans laquelle il se trouve et d'une faillite potentielle, ou à défaut d'une obligation de recapitalisation...

L'écologie est un alibi pour crédules et crétins, un parapluie contre la grêle et la gangrène financière qui rongent le groupe...

Répondre

Quelle énergie consomme la France? Pour quels usages? Comment et où est-elle produite? Tour d'horizon du paysage énergétique français avant la présentation par l'exécutif de sa feuille de route pour les 10 ans à venir.

Un bouquet énergétique particulièrement nucléarisé

La consommation (primaire) d'énergie de la France s'élevait l'an dernier à 248,2 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep).

Avec un parc de 58 réacteurs en France, le nucléaire en représentait la plus grande part (40%), devant le pétrole (29%), le gaz (15%), les énergies renouvelables (10%) et le charbon (près de 4%).

La répartition est toute autre si on considère le seul mix-électrique. L'atome a fourni autour de 72% de la production de courant, devant les énergies renouvelables (environ 18%, dont 10% d'hydroélectricité), le gaz (près de 8%), le charbon (moins de 2%) et le fioul (moins de 1%).

Quelle consommation par secteur?

Le secteur du résidentiel-tertiaire (logements et bâtiments) est celui qui consomme le plus d'énergie (près de 45%), notamment du gaz et de l'électricité pour le chauffage et les différents usages nécessitant du courant (éclairage, informatique, électroménager, climatisation, etc.)

Les transports concentrent eux le tiers de la consommation énergétique finale française, via les carburants issus en quasi totalité du pétrole et une petite part de biocarburants (environ 6%).

L'industrie ne représente aujourd'hui plus qu'environ 20% de l'énergie consommée. Le gaz et l'électricité représentent chacun plus du tiers de ces consommations, tandis que le pétrole et le charbon ont perdu du terrain.

Enfin, l'agriculture totalise moins de 3% de la demande d'énergie, mais il s'agit essentiellement de produits pétroliers pour les machines agricoles.

D'où vient l'énergie consommée en France?

Si la France a globalement un solde d'échanges positif en matière d'électricité, elle doit importer le pétrole et le gaz qu'elle consomme.

En termes d'or noir, l'Arabie saoudite et le Kazakhstan sont les premiers fournisseurs du pays, devant le Nigeria. Suivent dans un ordre qui évolue selon les années, la Russie, l'Angola et la Norvège.

En ce qui concerne le gaz, la Norvège reste le principal fournisseur de la France, loin devant la Russie, les Pays-Bas ou l'Algérie.

En conséquence, la facture énergétique de la France évolue fortement avec les cours du brut, dont dépend également le prix du gaz. En 2017 par exemple, elle a bondi de 23% à 38,6 milliards d'euros.

Combien d'émissions de CO2 liées à l'énergie?

En 2015, les émissions de gaz à effet de serre (CO2, méthane, etc.) françaises liées à la production ou à la consommation d'énergie ont atteint 316 millions de tonnes, dont l'essentiel proviennent du CO2.

Elles représentaient 70% de l'ensemble des émissions françaises, selon les dernières données publiées par le ministère de la Transition écologique et solidaire.

Près de 30% des émissions liées à l'énergie proviennent des transports, devant l'industrie manufacturière et de construction, le bâtiment, puis le secteur de la production d'énergie.

Depuis 1990, les plus fortes réductions d'émissions sont issues du secteur de l'industrie manufacturière (-38%) et de la production d'énergie (-37%). A l'inverse, les émissions du secteur du bâtiment ont progressé (+4,9%).

sources: CGDD, RTE.

© 2018 AFP

Répondre