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Budget italien: "la main reste tendue", assure Moscovici

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fipuaa fipuaa
27/11/2018 18:58:45
1

oui mais un type qui créé de la dette c'est un type qui réalise le rêve des copains et la perte des plus pauvre et ça à Bruxelles on aime ce genre de crâne d’œuf qui vend père et mère pour avoir un poste !

  
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moicmoi moicmoi
27/11/2018 18:48:57
2

Maintenant qu’il est de l’autre côté de la barrière ce pignouf, il donne des leçons.
Mais quand il était aux manettes, il était le pire des mauvais ministres des sous.
Et c’est pas moi qui le dis :

Lisez donc son carnet "scolaire"

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/moscovici-parmi-les-plus-mauvais-ministres-des-finances-selon-le-financial-times_1431571.html

Zéro pointé, Ducon !!!

Le coup de la chaussure, ce n’est pas sur son chiffon que le député italien devait le mettre, mais sur son arrière train, avec gros élan.


  
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jipes jipes
27/11/2018 18:20:05
1

la main est tendue, "avec retenue" !

  
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chris-brse chris-brse
27/11/2018 18:17:31
1
il serait amusant de regarder avec quel déficit M Moscovici jonglait quand il était ministre de l'économie :)
  
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chris-brse chris-brse
27/11/2018 18:17:31
0

Le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici, le 21 novembre 2018 à Bruxelles (AFP/Archives/JOHN THYS)

Le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici a assuré mardi que la main de la Commission européenne restait "tendue" envers Rome, après que le gouvernement italien a semblé disposé à modifier son budget 2019 afin d'éviter un bras de fer avec Bruxelles.

"Notre porte reste ouverte. La main reste tendue", a affirmé le commissaire lors d'une conférence de presse à Paris, changeant de ton par rapport à des interventions précédentes qui avaient suscité des polémiques en Italie.

Le commissaire, qui avait auparavant présenté l'Italie comme un "problème" en zone euro, l'a qualifié cette fois-ci "d'incertitude" pour l'économie européenne, au même titre que les tensions commerciales provoquées par Donald Trump et le Brexit.

"La Commission est ouverte au dialogue parce que c'est dans un cadre commun que nous devons trouver une solution. Et ce cadre commun est la zone euro", a-t-il affirmé.

M. Moscovici a d'ailleurs qualifié de "constructif, utile, amical et détendu" le dîner de travail samedi dernier entre le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, et des membres du gouvernement italien, auquel il a également participé.

"Des changements (dans le budget) sont possibles et sont nécessaires", a insisté M. Moscovici, dans une allusion implicite aux déclarations la veille du vice-Premier ministre italien Luigi Di Maio se disant ouvert à un déficit moins élevé dans son projet de budget.

Le commissaire s'est présenté comme "l'homme de la flexibilité", assurant que les règles ne sont ni rigides ni stupides. Elles sont flexibles", a-t-il affirmé.

"Je suis convaincu que nous devons chercher de toutes nos forces des solutions partagées dans l'intérêt des Italiens et de la zone euro, parce que nous sommes interdépendants", a souligné le commissaire.

"Je pense qu'une sanction est toujours un échec, c'est l'échec du pays sanctionné et l'échec des règles à convaincre. J'ai toujours préféré l'incitation à la sanction", a-t-il affirmé.

La Commission européenne a rejeté le 23 octobre le projet de budget italien pour 2019, qui prévoit officiellement un déficit à 2,4% du PIB.

Bruxelles juge irréalistes les prévisions italiennes, estimant que le déficit atteindra 2,9%, bien loin des engagements du précédent gouvernement de centre gauche (0,8%).

La coalition populiste avait, depuis, maintenu une ligne inflexible, semblant prête à assumer le risque d'une "procédure de déficit excessif" et donc de sanctions financières.

© 2018 AFP

  
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