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Macron écarte tout "recul" avant la venue de "gilets jaunes" à Matigno

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whatelse whatelse
30/11/2018 10:01:55
1

c'est exactement mon cas, 50+15

  
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gars d'ain gars d'ain
30/11/2018 09:57:11
1

Et comble de l'ironie, il y a beaucoup de gilets jaunes qui ont autour de 70 ans, soit 50 + 15 à 20 ans...

: (

  
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whatelse whatelse
30/11/2018 09:50:11
2

Je crois que Macron et son gouvernement ne voient pas venir un nouveau Mai 68 en Décembre 2018. Ce serait la fête du cinquantenaire.

  
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gars d'ain gars d'ain
30/11/2018 09:35:44
2

Le jeu médiatique actuel du Président et du gourvement consiste à tenter d'occuper plus de terrain médiatique que les gilets jaunes...

... et surtout diviser, reporter dans le temps, faire mine de ..., polluer, ...


Bref gagner du temps pour différer le conflit afin de le pourrir...


En parlant de pourrir, il est des pourritures qui se transforment en gangrène...


Et pour l'instant, il n'y a rien a gagner à aller s'assoir à une table, vu le mépris et le manque de considération ouverte affiché...

  
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furay furay
30/11/2018 09:21:32
1

Il a provoqué le peuple en annonçant "qu'ils viennent me chercher" on arrive tu perd rien pour attendre.

  
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furay furay
30/11/2018 09:21:32
0

Il a provoqué le peuple en annonçant "qu'ils viennent me chercher" on arrive tu perd rien pour attendre.

  
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christof71 christof71
30/11/2018 09:01:13
1
pour mieux reculer en janvier et dissoudre l' assemblée
au fait il devait pas ne pas parler de la France à l' étranger mais il répond à #Hollande depuis l' Argentine .
en janvier la seule solution sera la dissolution !

Message complété le 30/11/2018 09:03:37 par son auteur.

le cynisme ? il était pas ministre lui aussi sous Hollande donc ça il oublie !

  
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christof71 christof71
30/11/2018 09:01:13
0

Le président Emmanuel Macron s'adresse à la communauté française, le 29 novembre 2018 à Buenos Aires, en Argentine (AFP/Ludovic MARIN)

Emmanuel Macron a écarté tout "recul" alors qu'Edouard Philippe doit recevoir des "gilets jaunes" vendredi, à la veille de l'acte III de cette mobilisation moins visible dans la rue mais de plus en plus populaire.

De Buenos Aires, à la veille du G20, le président a répété entendre "la colère légitime, l'impatience, la souffrance d'une partie du peuple" français. Et vouloir y répondre par "des décisions supplémentaires dans les semaines et les mois à venir" mais qui "ne seront jamais des reculs".

Dans un geste d'apaisement après deux semaines de crise, le gouvernement avait auparavant annoncé que les Champs-Elysées seraient ouverts aux piétons samedi, comme le demandaient les "gilets jaunes" pour la troisième journée d'action de ce mouvement contre la hausse des taxes et la baisse du pouvoir d'achat.

Objectif : éviter les échauffourées qui ont émaillé la précédente journée d'actions du 24 novembre sur l'une des avenues les plus touristiques au monde.


Le Premier ministre Edouard Philippe (g) et le ministre de la Transition écologique François de Rugy, le 29 novembre 2018 à l'Hôtel Matignon, à Paris (AFP/ALAIN JOCARD)

Autre geste, Edouard Philippe doit accueillir, vendredi à 14H00, plusieurs "gilets jaunes" censés représenter le mouvement, marquant le point d'orgue de deux jours de rencontres commencées jeudi matin à Matignon pour dessiner la "grande concertation" locale de trois mois voulue par Emmanuel Macron.

Difficile de savoir combien d'entre eux viendront. Plusieurs ont déjà jeté l'éponge, comme Éric Drouet, l'un des deux premiers "gilets jaunes" qui avaient été reçus mardi par le ministre de la Transition écologique, François de Rugy.

"Aucune délégation n'a encore le rôle de représenter les +gilets jaunes+", a écrit sur Facebook ce chauffeur routier de Seine-et-Marne.

Le Grenoblois Julien Terrier, figurant également parmi les huit porte-paroles du mouvement désignés mais contestés, a lui aussi décliné l'invitation "car la réunion sera à huis clos" alors qu'il souhaitait une diffusion "en direct", a-t-il indiqué à l'AFP.


Le ministre de la Transition écologique François de Rugy reçoit deux représentants des "gilets jaunes", Piscilla Ludosky (d) et Eric Drouet (g), le 27 novembre 2018 au ministère des Transports, à Paris (AFP/JACQUES DEMARTHON)

Dès jeudi après-midi, à l'abri des caméras, le Premier ministre a, selon son entourage, reçu Patrick de Perglas, "gilet jaune" venu à pied de Chalon-sur-Saône.

Interrogé par France 3 Bourgogne Franche-Comté, et visiblement affaibli, il a dit avoir transmis son message à Edouard Philippe qui "le fera passer" au président.

M. de Rugy a lui rencontré sept "gilets jaunes", sous l'oeil du Parisien. "Se donner trois mois pour apporter des réponses, c'est presque à la limite du mépris", lui a dit l'un d'eux, selon une vidéo diffusée par le journal sur son site internet, soulignant que "pour nous les fins de mois se situent aux alentours du 15".

Le ministre a lui rappelé les 500 millions d'euros d'aides déjà annoncés, comme le "chèque énergie". "On est prêt à regarder d'autres solutions", a-t-il ajouté, sans les détailler mais en précisant que certaines peuvent "être faites rapidement".

- Un million de signatures -

En attendant, ce mouvement protéiforme, qui s'étend dans tout le pays, maintient la pression et tente de se structurer, galvanisé par le soutien des deux tiers des Français.


Des "gilets jaunes" font face aux forces de police devant un dépôt de carburant, le 29 novembre 2018 au Mans (AFP/JEAN-FRANCOIS MONIER )

A Pau, des gilets jaunes se sont invités dans la mairie où le centriste François Bayrou présidait une réunion.

Signe de popularité, une pétition "pour une baisse des prix du carburant à la pompe", lancée sur internet par l'une des figures du mouvement, a dépassé jeudi le million de signatures.

De nombreux députés ont reçu un courriel jeudi contenant de nombreuses revendications comme le SMIC à 1.300 euros nets, un plan d'isolation des logements, la fin de la hausse des taxes sur le carburant ou la retraite à 1.200 euros minimum.

Cette crise a conduit la quasi-totalité des élus locaux reçus à Matignon à réclamer un nouveau "geste" de l'exécutif, en plein débat parlementaire sur le budget.

A La Réunion, paralysée depuis treize jours par le mouvement, la ministre de l'Outre-mer Annick Girardin a annoncé la création de 1.000 emplois aidés supplémentaires avant la fin de l'année.

L'idée d'un moratoire fait débat au sein même de la majorité macroniste. A droite, Laurent Wauquiez (Les Républicains) veut referendum et Marine Le Pen a elle évoqué l'hypothèse d'une dissolution de l'Assemblée.

A gauche, l'ex-président François Hollande est allé voir des "gilets jaunes" pour rappeller qu'il avait donné "un coup de pouce" au Smic.

De Buenos Aires, Emmanuel Macron a ironisé sur ceux "qui sont sans doute plus à l'origine de la situation que nous vivons que le gouvernement qui est aux affaires que depuis 18 mois", raillant le "cynisme" en politique.

© 2018 AFP

Message complété le 30/11/2018 09:02:18 par son auteur.

le cynisme ? il était pas au gouvernement lui aussi avec Hollande !

  
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