Renault: dernières nouvelles des investigations du C. Ghosn

N'importe quoi, guignol...

depuis 10 ans, le cours de l'action renault à été miltuplié par 10 sur la base du pic de cet été. Et Renault est devenu numéro 1 mondial.

Quand on sait pas de quoi on parle, on ferme sa gueule... C'est bien facile derrière son ordinateur de crier avec la meute des des accusations servies sur un plateau mais nullement démontrées...

Pitoyable et affligeant

Message complété le 15/12/2018 10:17:54 par son auteur.

Et juste entre 2015 et 2018 les actifs nets sont passés de 95,5 euros en 2015 à 127 euros pour 2018 et 134 euros pour 2019.

La moindre des choses quand on accuse , c'est apporter des éléments. Ce que vous faites nullement...

Message complété le 15/12/2018 10:21:45 par son auteur.

MESSAGE adressé à laleur
: (

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les rémunérations de ces dirigents d'un système capitaliste sont inadmissible on vole l'entreprise et tout les actionnaires grace aux conseille d'administration complice tous les copain ériger en association de malfaiteur !!!

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Quand donc le DG de NISSAN d'une part, et le procureur concerné d'autre part communique-t-ils à RNO leurs documents établissant ce qu'ils avance. Au passage on peut se remémorer que l'homme de NISSAN a proposé des slides à la place d'un doc, est-ce la progression d'une certaine forme d'illetrisme?

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(CercleFinance.com) - Selon l'agence de presse Bloomberg, Renault espère parvenir 'dans une semaine environ' aux premières conclusions de l'enquête interne diligentée par le constructeur automobile français. Il s'agit d'établir si les rémunérations de Carlos Ghosn, en titre toujours patron du groupe et de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, et d'autres hauts cadres ont été rendues publiques dans les règles.

Conduite par Eric Le Grand, ex-chef de la sécurité de Renault récemment nommé responsable de l'éthique et de la conformité, et Claude Baland, autre cadre du groupe, l'enquête porte sur les salaires et les avantages consentis à ces cadres dirigeants, rapporte l'agence de presse.

Rappelons que M. Ghosn, arrêté le 19 novembre au Japon, est depuis lors placé en détention sur des soupçons de sous-déclaration de ses revenus en tant que président de Nissan. Sa mise en examen par la justice japonaise devrait intervenir lundi, ajoute Bloomberg, ce que corrobore le journal japonais Nikkei.




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