Les "gilets jaunes" déterminés avant "l'acte V", malgré Strasbourg et

"le marché est méconnaissable ...." Depuis plusieurs mois nous avons un krach lent continu sur le marché actions français. Toutefois disons les valeurs/action "à la casse" ne sont pas encore en vue. Attendre ou tenter?

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(C'est la 1ere fois que j'observe en µ-économie un tel krach lent et continu ou sans discontinuité ou gap). A surveiller. Rire

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Je soutiens le mouvement des Gilets jaunes qui représente vraiment selon moi le mieux la France d'en bas et celle des riens. Toutefois soutenir des revendications certes mais selon un principe ici socio-économique : Aussi Haut que Raisonnablement Possible pour avoir un maximum de chances de réussite. Les propositions actuelles du gvt de Mr Macron sont hélas insuffisantes au niveau logement, pouvoir d'achat, ... d'où mon soutien aux Gj.

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le marché est meconnaissable , il y a des robots tueurs de petits porteurs sur toutes les valeurs -ils ont ete mis en place par les banquiers pour deshabiller le peuple .Le marché ne reagit plus aux news ou aux anticipations ,ni meme a la logique - c'est devenu un casino ou une boite en quasi faillite peut faire des 200% voir hybrigneics et des boites qui gagnent de l'argent , travaille ,produissent des biensn paient l'impot sont completement ignorées!.

moi je vous dit y en a marre

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les petits porteurs vache a lait du systeme devraient rejoindre le mouvement pour denoncer ce qui se passe sur les marchés - les derigeants s'en mettent plein les poches sur des societes en perte ...des salaires de fous , des ak , des pertes , des oca a gogo alors que l'argent va souvent pour payer leurs avantages-primes , action gratuite , stock options ect .

yen a marre !

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@ foncille,

Tu ne comprends rien à la démocratie.

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Coucou Mélou ! On t'a reconnu , tu avances tapis sous un gilet révolutionnaire !

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Cette histoire de référendas à gogo me rappelle les dires d'un certain parti politique.On voit ce que donne le vote sur le BREXIT en Angleterre : une grosse farce !

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jamariuscky

« « Les GJ sont petit à petit en train de se faire récupérer par LFI. » »

Je ne pense pas.
Certes, certains partis et syndicats ( mon post : https://www.abcbourse.com/forums/msg656437_mobilisation-du-17-novembre-contre-les-taxes-du-diesel) mettent des jupes ultra courtes, à raz de la salle des fêtes, se maquillent à outrance,.... dans l'espoir d’entraîner les G.J. dans une chambre d’hôtel bienveillante.
Mais les G.J. sont bien trop fiers de pouvoir annoncer, urbi orbi, qu’ils n’ont besoin ni des politiques, ni des syndicats pour faire entendre leur colère.
Les partis politiques et syndicats pourront lancer tous les appels du pied qu’ils veulent, les G.J. ne se laisseront pas commander par ces « résistants de la dernière heure »

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Les GJ sont petit à petit en train de se faire récupérer par LFI. Il n'est que voir les slogans de ceux qui n'accepte pas le jeu démocratique. Ils ont leur 3éme tour électoral. Ceux qui ont des revendications justes, absentes d'arrières pensées politiciennes, ont tout à perdre à suivre ces extrémistes.

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Un mois après le début de leur mouvement, les "gilets jaunes" maintenaient la pression vendredi à la veille d'un "acte V" qui fait débat après une semaine marquée par les annonces d'Emmanuel Macron et l'attentat de Strasbourg.

Les mesures dévoilées lundi par le chef de l'Etat - hausse de 100 euros des revenus au niveau du Smic, exemption de la hausse de la CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois... - et les appels à "suspendre" le mouvement après l'attentat du marché de Noël mardi soir n'ont guère entamé la détermination des "gilets jaunes".

"C'est le moment où justement il ne faut pas lâcher (...). On doit continuer", a exhorté jeudi Eric Drouet, un des initiateurs du mouvement, dans une vidéo sur Facebook : "Ce que Macron a fait lundi, c'est un appel à continuer parce qu'il commence à lâcher quelque chose et, venant de lui, c'est inhabituel."

"Dans l'Ariège, ça ne désarme pas, les annonces de Macron ne suffisent pas. Les gens au pouvoir sont très déconnectés de ce que les Français vivent", estime Guilhem Boudon, pasteur à Mirepoix venu à Paris dès vendredi en vue de l'acte V.

Après quatre samedis de mobilisation, dont trois émaillés de spectaculaires violences et dégradations, certains prônent toutefois l'apaisement. Le collectif des "gilets jaunes libres", qui a fait dissidence du "canal historique" qu'ils jugent trop radical, appelle ainsi à une "trêve", estimant que "le temps du dialogue est venu".

L'association Robin des Bus, qui a amené des "gilets jaunes" nordistes depuis trois weekends, a, elle, annulé les départs prévus samedi, signe que les manifestants ne "se sont pas mobilisés pour aller à Paris", a déclaré Thibault Vayron, son président, à l'AFP.

Mais sur Facebook, principal canal de mobilisation de ce mouvement, les nombreux appels à un "acte V" réunissent toujours plusieurs milliers de "participants".

Samedi dernier, la quatrième journée de mobilisation a rassemblé 136.000 manifestants en France, selon le ministère de l'Intérieur, et s'est soldée par un nombre record d'interpellations (près de 2.000), plus de 320 blessés et des dégâts et affrontements dans plusieurs villes, comme Paris, Bordeaux et Toulouse.

Le dispositif policier dans la capitale sera "assez semblable" à celui du 7 décembre, avec 8.000 forces de l'ordre déployées et appuyées notamment par 14 véhicules blindés à roues (VBRG), a indiqué le préfet de police Michel Delpuech.

Le weekend dernier, un total de 89.000 forces de l'ordre avait été déployé sur le territoire.

- Référendum -

Les initiateurs du mouvement réclament désormais un référendum sur quatre propositions, notamment l'instauration d'un référendum d'initiative citoyenne et la baisse des taxes sur les produits de première nécessité.

"Ces demandes, c'est ce qu'on a recueilli (via des sondages Facebook) et on aimerait que le président les soumette aux citoyens par voie de référendum. L'idée n'est pas d'imposer quoi que ce soit à qui que ce soit mais de faire un référendum pour voir si tout le monde est d'accord sur ces points", a expliqué jeudi Priscillia Ludosky, une autre figure à l'origine du mouvement.

Après l'attentat de Strasbourg qui a fait ressurgir le spectre terroriste et dont l'auteur a été tué jeudi soir, de nombreuses voix, notamment au sein de la majorité et du gouvernement, s'étaient toutefois élevées pour appeler à la "responsabilité" et à ne pas manifester.

"Je préfèrerais que les forces de l'ordre soient en train de faire leur vrai métier, c'est-à-dire poursuivre les criminels, diminuer le risque terroriste plutôt que de devoir sécuriser des ronds-points", a rappelé vendredi le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner sur Europe 1.

"Quel rapport entre le tueur de Strasbourg et le mouvement des +gilets jaunes+ ? Aucun. Si on commence à céder à un assassin en modifiant toute notre vie, c'est lui qui a gagné", s'était indigné la veille le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon.

La détermination des "gilets jaunes" inquiète aussi les commerçants et le secteur de la distribution, frappée de plein fouet en pleine période d'achats de Noël.

L'activité du secteur privé est tombée en décembre à son plus bas niveau en deux ans et demi, selon le cabinet IHS Markit.

© 2018 AFP

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